Tout cela est un faramineux tissu de mensonges.
Cet « euro de 2006 » que vous évoquez fièrement n’a strictement rien à voir avec l’évolution du prix de ce que vous achetez en magasin.
Un seul exemple le prouvera :
Il est vrai que pour calculer le niveau de vie pour une zone donnée, on s’intéresse généralement au revenu par habitant réel, et donc en prenant en compte l’inflation
Cependant, ce n’est pas la façon de faire de l’INSEE, qui définit le niveau de vie comme le revenu disponible d’un ménage divisé par le nombre d’unités de consommation, coefficient qui dépend de la taille du ménage (pour être complet, une unité pour le premier adulte, 0.5 unité pour chaque personne supplémentaire de plus de 14 ans et 0.3 pour chaque enfant de moins de 14 ans). On le voit bien ici : pour l’INSEE, l’inflation n’a rien à voir avec le niveau de vie des Français.
Mais c’était un article pro Sud-Rail, monsieur.
Si vous n’êtes pas content, rabattez-vous sur le Figaro.
Voyez-vous, le problème, c’est justement qu’il est opposé à la grève.
Oui, sauf que la phrase citée comme la première partie de l’article était ironique, au cas où vous ne l’auriez pas remarqué. En réalité, il était évident que Pepy s’insurgerait contre ses propres employés. Je me suis simplement mis dans l’esprit des téléspectateurs et des naïfs qui croyaient peut-être, eux, qu’il était un directeur digne des cheminots et des conducteurs.
A Carlo Revelli,
Je n’ai aucune réponse à mes questions posées hier soir.
Je me permets donc de les renouveler.
Le premier article que j’ai écrit, "Roublard même le 11 novembre", a été placé à la une le mercredi 12 novembre.
Je voulais savoir qui prenait les décisions quant à l’agencement des articles, le fait qu’ils apparaissent an haut ou en bas de page, si c’était le nombre de votes des rédacteurs / modérateurs qui en décidait...
De même, pourrait-on connaître le nombre d’articles qui sont soumis au choix des rédacteurs / modérateurs par jour ? Combien sont acceptés ? Combien sont refusés ?
Est-il arrivé que des journaux "sur papier" reprennent des articles publiés sur Agora Vox ? Si oui, avons-nous des droits d’auteur ?
Enfin, combien y a-t-il de connexions par jour sur Agora vox ? En deux mots, par combien de personnes un article qui paraît peut-til être lu ?
Merci.
Le premier article que j’ai écrit, "Roublard même le 11 novembre", a été placé à la une le mercredi 12 novembre.
Je voulais savoir qui prenait les décisions quant à l’agencement des articles, le fait qu’ils apparaissent an haut ou en bas de page, si c’était le nombre de votes des rédacteurs / modérateurs qui en décidait...
De même, pourrait-on connaître le nombre d’articles qui sont soumis au choix des rédacteurs / modérateurs par jour ? Combien sont acceptés ? Combien sont refusés ?
Est-il arrivé que des journaux "sur papier" reprennent des articles publiés sur Agora Vox ? Si oui, avons-nous des droits d’auteur ?
Enfin, combien y a-t-il de connexions par jour sur Agora vox ? En deux mots, par combien de personnes un article qui paraît peut-til être lu ?
Merci.
Je réalise avec fierté que la plupart des citoyens qui ont lu notre article sont conscients des fourberies de l’homme qui fait office de président de la République.
Non, la France n’est pas partie en guerre "la fleur au bout du fusil", éternel mythe destiné à entretenir notre flamme patriotique.
Or le président de la République ne conçoit pas qu’on puisse être mutin sans être un faible (par rapport aux braves soldats qui, eux, combattaient l’ennemi sans relâche), qu’on puisse être un déserteur sans avoir cédé sous la pression trop forte d’une guerre trop dure, trop physique, trop épuisante...
Ce que M.Nicolas Sarkozy ne conçoit pas, c’est qu’on puisse être déserteur parce qu’on est un homme, et un homme responsable.
Non, les Français n’étaient pas heureux d’être en guerre.
Non, ils n’ont pas fait preuve de courage si l’on entend par là qu’ils ont défendu la France en tuant leurs semblables, là-bas, dans les tranchées d’en face.
Ce qu’il tait, cet homme, c’est que nos ancêtres, dont il ne reste plus personne pour témoigner, étaient sous la menace permanente de leurs chefs, et qu’un refus de combattre, c’était la pour eux la peine capitale.
Oui, pourquoi se battaient-ils ? Pour ne pas mourir.
Dans leur camp au-dessus de leurs têtes les sinistres balles ennemies étéaient prêtes à les anéantir, les balles de leurs chefs étaient plus dangereuses encore que celles des Allemands.
Des deux solutions, rester dans les tranchées ou partir à la bataille, ils choisirent la moins risquée : se donner à ceux qu’on présentait comme leurs adversaires.
Quand leurs adversaires étaient ceux qui parlaient la même langue qu’eux.
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