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Les commentaires de Loan



  • Loan 18 janvier 2010 16:46

    « un peuple est constitué d’hommes et de femmes qui sont des communistes » des millions de gens sont morts pour avoir refusé le communisme. Tous des bourgeois, je présume ? Non, les Gaulois ne sont pas morts, ils ont des descendants.



  • Loan 14 janvier 2010 16:02

    Toujours pas arrivé dans toutes les librairies. Virgin traîne les pieds.



  • Loan 14 janvier 2010 11:03

    « une prise de position claire et tranchée sur la criminalité sexuelle, doublée d’une cohérence entre les actes et les discours, afin que la « tolérance zéro » s’applique d’abord à celui qui s’en réclame » Je ne comprends pas que l’on ne soit pas d’accord sur ce point là avec l’auteur.



  • Loan 11 janvier 2010 14:08

    BOUBI, Amora c’est la Dijonnaise. Amara a déclaré dans une interwiew que son père faisait partie du FLN. Rien à voir avec le bachaga qui était un grand homme.



  • Loan 11 janvier 2010 14:04

    Aussaresses a fait de l’excellent travail en éradiquant les terroristes qui avaient eux mêmes le sang des civils sur les mains. Si De Gaulle n’avait pas trahi nous n’aurions pas hérité du merdier actuel. Aussaresses, avant de parler, aurait dû méditer la phrase de son grand homme : La vieillesse est un naufrage.



  • Loan 11 janvier 2010 13:17

    Quel est le nom du ministre de la Justice ? J’ai oublié, c’est juste pour voir si c’est assorti.=)



  • Loan 6 janvier 2010 14:09

    Priorité gouvernementale ? Contre la pédophilie



  • Loan 2 janvier 2010 20:26

    pour tonifier son périnée ?



  • Loan 2 janvier 2010 17:40

    Manu, il y a pire :

    Une petite fille pakistanaise de 7 ans et sa famille se sont vu accorder l’asile au Canada après qu’on ait appris que l’enfant avait subi un viol et avait été abandonnée à une mort certaine [au bord d’une route] lorsque son père qui est chrétien avait refusé de se convertir à l’islam.

    Les identités de Baby Neeha et de sa famille sont gardées secrètes par les services de l’immigration, selon Chantal Desloges, avocate engagée pour les droits de l’Homme, et One Free World International, église qui joua un rôle essentiel dans leur demande d’asile.

    La famille est arrivée au Canada le 12 décembre, après que l’Eglise se fut battue pendant trois années pour la mettre en sécurité loin du Pakistan.
    Le Révérend Majed El Shafie, fondateur de l’Eglise, a déclaré que les sept membres de la famille s’étaient cachés des extrémistes au Pakistan pendant trois années.
    À l’age de 2 ans et demi, Baby Neeha a été violée par le fils de l’employeur de son père, et abandonnée à une mort certaine au bord d’une route, explique-t-il. Personne n’a été arrêté pour ce crime.

    « Ces événements horribles se sont produits parce que le père, qui est chrétien, avait refusé de se soumettre aux pressions de son employeur musulman pour le faire se convertir à l’islam », explique El Shafie.

    La famille s’est cachée au Pakistan pour fuir les extrémistes musulmans qui cherchaient à se venger de son absence de conversion, ajoute-t-il.

    « La famille a vécu pendant des années cachée et dans la peur continue d’être découverte par la famille de l’employeur ou par des extrémistes musulmans. Nous sommes très heureux qu’elle soit enfin au Canada. »
    Source : Toronto Star


  • Loan 1er janvier 2010 15:41

    Comment peut-on défendre Seselj ? L’auteur aurait certainement justifié les discours et les actes d’Hitler et Staline. 





  • Loan 28 décembre 2009 09:39

    Shaytan
    « Je n’ai pas écrit que tous le prélats étaient des collaborateurs, disons plutôt qu’ils ont fait preuve d’un neutralité bienveillante envers l’envahisseur. » J’en connais beaucoup qui étaient résistants et parmi eux des déportés. 



  • Loan 28 décembre 2009 09:34

    Il faut obligatoirement compter en chiffres hallal ?



  • Loan 28 décembre 2009 09:32

    Jean-Dominique Durand est professeur d’histoire contemporaine à l’Université Jean Moulin-Lyon III. Il est spécialisé dans l’histoire du catholicisme. Il fait notamment partie de la commission d’historiens sur Pie XII mise en place par le mémorial Yad Vashem de Jérusalem. Il répond à LCI :

    « Il est surtout le témoin de la montée du nazisme -il est en poste à Munich lors du putsch d’Hitler en 1923. Les rapports qu’il envoie au Vatican lors de cette période sont très violents contre le nazisme. Lorsqu’il revient à Rome pour être secrétaire d’Etat du Saint-Siège, l’équivalent d’un Premier ministre, il est confronté à l’arrivée des nazis et d’Hitler au pouvoir. [...] En mars 1933, deux mois après la victoire d’Hitler aux élections, il signe un concordat pour protéger l’Eglise catholique, menacée par le nouveau régime. Mais il sait aussi être très ferme. En 1937, il tape du poing sur la table en étant le principal auteur de l’Encyclique Mit brennender Sorge, que l’on peut traduire par »avec une très grande inquiétude". C’est une position forte contre le nazisme. Nous ne sommes alors plus dans la diplomatie. [...] Fin 39-début 40, Pie XII a, de fait, participé indirectement à un complot visant à tuer Hitler. Il a en effet été contacté par la résistance allemande, qui lui demandait de servir de relais avec l’Angleterre en transmettant la question suivante à Londres : quel serait le sort de l’Allemagne si Hitler mourrait ? Mais Churchill n’a pas donné suite. [...]

    Ce supposé « silence » est à la fois vrai et pas vrai. Il a bien pris position et s’est exprimé sur le massacre des Juifs, mais de manière peu claire pour le grand public. A Noël 1942, dans un discours relayé par la radio, il utilise le mot italien « stirpe », que l’on peut traduire par la « race », au sens très fort du terme. Cela fait bien sûr référence aux Juifs. Mais comme le fait alors remarquer un diplomate américain, c’est incompréhensible pour les non-initiés. Ce message de Noël, aujourd’hui fortement critiqué, est un message de diplomate. Il a d’ailleurs été très bien compris par les nazis puisque la presse allemande se déchaîne contre le pape. [...] Plutôt que taper du poing sur la table, le pape fait le choix de mobiliser les catholiques pour sauver le maximum de Juifs. Les nonciatures participent au sauvetage, notamment en Grèce ou en Bulgarie, et les congrégations religieuses cachent des réfugiés. Cela a même été le cas de femmes cloîtrées, qui ont accueilli des hommes. Or, vu le fonctionnement de l’Eglise à l’époque, c’est impossible que Pie XII n’ait pas donné son accord. On peut donc bien parler de stratégie diplomatique et souterraine plutôt que celle du choc frontal. A titre de comparaison, début 1943, la Croix-Rouge a également choisi la même option pour continuer à pouvoir intervenir dans les camps de prisonniers.

    TF1 News : Au lendemain de la guerre, il n’y a pas de polémique.
    J.-D. Durand :
    Pie XII est même remercié par les Juifs. Fin 1945, il reçoit des rescapés des camps de la mort et prononce un discours important qui renforce son image positive auprès d’eux."



  • Loan 28 décembre 2009 09:29

    A vero l’anti-catho, la parole d’un historien :

    Jean-Dominique Durand est professeur d’histoire contemporaine à l’Université Jean Moulin-Lyon III. Il est spécialisé dans l’histoire du catholicisme. Il fait notamment partie de la commission d’historiens sur Pie XII mise en place par le mémorial Yad Vashem de Jérusalem. Il répond à LCI :

    « Il est surtout le témoin de la montée du nazisme -il est en poste à Munich lors du putsch d’Hitler en 1923. Les rapports qu’il envoie au Vatican lors de cette période sont très violents contre le nazisme. Lorsqu’il revient à Rome pour être secrétaire d’Etat du Saint-Siège, l’équivalent d’un Premier ministre, il est confronté à l’arrivée des nazis et d’Hitler au pouvoir. [...] En mars 1933, deux mois après la victoire d’Hitler aux élections, il signe un concordat pour protéger l’Eglise catholique, menacée par le nouveau régime. Mais il sait aussi être très ferme. En 1937, il tape du poing sur la table en étant le principal auteur de l’Encyclique Mit brennender Sorge, que l’on peut traduire par »avec une très grande inquiétude". C’est une position forte contre le nazisme. Nous ne sommes alors plus dans la diplomatie. [...] Fin 39-début 40, Pie XII a, de fait, participé indirectement à un complot visant à tuer Hitler. Il a en effet été contacté par la résistance allemande, qui lui demandait de servir de relais avec l’Angleterre en transmettant la question suivante à Londres : quel serait le sort de l’Allemagne si Hitler mourrait ? Mais Churchill n’a pas donné suite. [...]

    Ce supposé « silence » est à la fois vrai et pas vrai. Il a bien pris position et s’est exprimé sur le massacre des Juifs, mais de manière peu claire pour le grand public. A Noël 1942, dans un discours relayé par la radio, il utilise le mot italien « stirpe », que l’on peut traduire par la « race », au sens très fort du terme. Cela fait bien sûr référence aux Juifs. Mais comme le fait alors remarquer un diplomate américain, c’est incompréhensible pour les non-initiés. Ce message de Noël, aujourd’hui fortement critiqué, est un message de diplomate. Il a d’ailleurs été très bien compris par les nazis puisque la presse allemande se déchaîne contre le pape. [...] Plutôt que taper du poing sur la table, le pape fait le choix de mobiliser les catholiques pour sauver le maximum de Juifs. Les nonciatures participent au sauvetage, notamment en Grèce ou en Bulgarie, et les congrégations religieuses cachent des réfugiés. Cela a même été le cas de femmes cloîtrées, qui ont accueilli des hommes. Or, vu le fonctionnement de l’Eglise à l’époque, c’est impossible que Pie XII n’ait pas donné son accord. On peut donc bien parler de stratégie diplomatique et souterraine plutôt que celle du choc frontal. A titre de comparaison, début 1943, la Croix-Rouge a également choisi la même option pour continuer à pouvoir intervenir dans les camps de prisonniers.

    TF1 News : Au lendemain de la guerre, il n’y a pas de polémique.
    J.-D. Durand :
    Pie XII est même remercié par les Juifs. Fin 1945, il reçoit des rescapés des camps de la mort et prononce un discours important qui renforce son image positive auprès d’eux."



  • Loan 28 décembre 2009 09:23

    La parole d’un historien :

    Jean-Dominique Durand est professeur d’histoire contemporaine à l’Université Jean Moulin-Lyon III. Il est spécialisé dans l’histoire du catholicisme. Il fait notamment partie de la commission d’historiens sur Pie XII mise en place par le mémorial Yad Vashem de Jérusalem. Il répond à LCI :

    « Il est surtout le témoin de la montée du nazisme -il est en poste à Munich lors du putsch d’Hitler en 1923. Les rapports qu’il envoie au Vatican lors de cette période sont très violents contre le nazisme. Lorsqu’il revient à Rome pour être secrétaire d’Etat du Saint-Siège, l’équivalent d’un Premier ministre, il est confronté à l’arrivée des nazis et d’Hitler au pouvoir. [...] En mars 1933, deux mois après la victoire d’Hitler aux élections, il signe un concordat pour protéger l’Eglise catholique, menacée par le nouveau régime. Mais il sait aussi être très ferme. En 1937, il tape du poing sur la table en étant le principal auteur de l’Encyclique Mit brennender Sorge, que l’on peut traduire par »avec une très grande inquiétude". C’est une position forte contre le nazisme. Nous ne sommes alors plus dans la diplomatie. [...] Fin 39-début 40, Pie XII a, de fait, participé indirectement à un complot visant à tuer Hitler. Il a en effet été contacté par la résistance allemande, qui lui demandait de servir de relais avec l’Angleterre en transmettant la question suivante à Londres : quel serait le sort de l’Allemagne si Hitler mourrait ? Mais Churchill n’a pas donné suite. [...]

    Ce supposé « silence » est à la fois vrai et pas vrai. Il a bien pris position et s’est exprimé sur le massacre des Juifs, mais de manière peu claire pour le grand public. A Noël 1942, dans un discours relayé par la radio, il utilise le mot italien « stirpe », que l’on peut traduire par la « race », au sens très fort du terme. Cela fait bien sûr référence aux Juifs. Mais comme le fait alors remarquer un diplomate américain, c’est incompréhensible pour les non-initiés. Ce message de Noël, aujourd’hui fortement critiqué, est un message de diplomate. Il a d’ailleurs été très bien compris par les nazis puisque la presse allemande se déchaîne contre le pape. [...] Plutôt que taper du poing sur la table, le pape fait le choix de mobiliser les catholiques pour sauver le maximum de Juifs. Les nonciatures participent au sauvetage, notamment en Grèce ou en Bulgarie, et les congrégations religieuses cachent des réfugiés. Cela a même été le cas de femmes cloîtrées, qui ont accueilli des hommes. Or, vu le fonctionnement de l’Eglise à l’époque, c’est impossible que Pie XII n’ait pas donné son accord. On peut donc bien parler de stratégie diplomatique et souterraine plutôt que celle du choc frontal. A titre de comparaison, début 1943, la Croix-Rouge a également choisi la même option pour continuer à pouvoir intervenir dans les camps de prisonniers.

    TF1 News : Au lendemain de la guerre, il n’y a pas de polémique.
    J.-D. Durand :
    Pie XII est même remercié par les Juifs. Fin 1945, il reçoit des rescapés des camps de la mort et prononce un discours important qui renforce son image positive auprès d’eux."



  • Loan 28 décembre 2009 09:16

    GOLIAS comme référence ! Une secte gauchiste au service du nouvel ordre mondial. Une taupe dans l’Eglise.



  • Loan 28 décembre 2009 09:15

    Vous n’êtes qu’un révisionniste rouge. La question de l’imputabilité du massacre de Katyn ne se pose plus. Histoire. Le Massacre de Katyn . Photos d’Archives. Terra Nova 



  • Loan 26 décembre 2009 16:42

    Nous assistons à ube banalisation d’actes criminels contre les enfants. Les juges sont trop indulgents, voir les verdicts pour la Courjault ou la blondasse qui après avoir tué ses deux enfants avec son concubin est partie en vacances sans oublier ses sex-toys ! Papy, bravo pour ce cri de révolte !



  • Loan 25 décembre 2009 19:13


    Pour plaire à Villach il faut reconnaître que tous ces papes, s’ils ne sont pas dénués d’interconciité, sont en total manque de leurre d’appel sexuel.