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Les commentaires de Jason



  • Jason Jason 20 juin 2007 10:19

    @ JL & Stradivarius,

    Vous avez tout à fait raison de montrer du doigt la structure opaque, complexe, confuse de ce collage surréaliste qu’est l’Europe. Tout le monde s’y perd, y compris les médias.

    Si l’économie française se portait mieux, les français se laisseraient plus facilement influencer et bercer par les cliquetis de la grande machine. Mais voilà...

    Concernant les positions et les déclarations des leaders européens et nationaux, j’ai trop souvent l’impression d’entendre ce que Helmut Kohl disait au moment de la réunification allemande : Le citoyen lambda ne sait pas ce qui est bon pour lui, il ne faut pas trop en parler, cela l’inquièterait, et c’est aux hommes politiques de décider pour « le peuple ».

    Comme je le soulignais plus haut, je n’ai pas vu à ce jour un tableau de décisions, de gestion claire de la situation européenne, à part des discours émaillés de concepts vagues.

    Et je crains fort qu’on en reste là.



  • Jason Jason 19 juin 2007 16:22

    Comme ça se comprend. Surtout si tout est dans tout et réciproquement.

    J’en rajoute une louche de Vialatte : "L’homme n’est que poussière, c’est dire l’importance du plumeau.

    La Bible assure que lorsque Dieu eut fabriqué l’homme et la femme, il en pleura. Comme on le comprend !

    La conscience, comme l’appendice, ne sert à rien, sauf à rendre l’homme malade.

    Le bonheur date de la plus haute Antiquité. Il est quand même tout neuf car il a peu servi.

    Le sage doit garder un vice pour ses vieux jours."

    Quant à cette histoire de flatulences, c’est en écoutant le duo des nonnes que vous avez eu cette idée ?

    Jason(s)



  • Jason Jason 19 juin 2007 11:47

    Très bien dit ! Mais qui va créer une sorte d’Europavox ? et dans quelle(s) langue(s) ?



  • Jason Jason 18 juin 2007 13:29

    Excellent. Continuez cette logothérapie. Ne cherchez pas et vous trouverez. En attendant, vous avez un bon talent pour l’écriture.



  • Jason Jason 18 juin 2007 13:06

    Bonjour,

    La question de savoir si la France devrait opter pour une autre voie me semble tout à fait pertinente. La cohabitation européenne n’étant pas obligatoire, rien n’empêche de remettre sur le métier l’adhésion de la France au club. Mais avant cela il faut dresser un inventaire ou une matrice de décisions. Cela existe-t-il aujourd’hui ?

    Existe-t-il un mouvement dans ce sens ? Merci de nous mettre sur la voie.

    Cordialement



  • Jason Jason 18 juin 2007 11:29

    Le serpent de mer, qui n’avait pourtant pas entièrement disparu est de retour dans l’actualité. Se mettre d’accord à 27 sera difficile, voire impossible. Agiter l’épouvantail de la concurrence asiatique ou latino-américaine, on y est habitués. Soit on s’aligne sur eux avec une économie de marché sauvage, soit on crée nos propres critères et fixons nos positions, surtout économiques. La puissance financière, politique, économique et démographique de l’Europe nous le permettent. Quant à ceux des 27 qui sont trop mécontents, qu’ils s’en aillent. Rien ne les retient sinon l’aspect purement économique (aides, échanges commerciaux).

    Quant à l’opacité dont vous parlez, elle est nécessaire. Vous savez très bien qu’un projet bien ficelé et bien préparé (et dans la plus grande discrétion) aura plus de succès qu’un beau déballage verbal de tribune qui se fait descendre en vol. Si vous allez à la chasse, laissez votre tambour à la maison !!

    Les USA, ne pouvant influencer le cours économique de l’Europe comme ils le souhaiteraient, càd. en faire un satellite plus docile, se sont invités, via la porte discrète de l’OTAN et deux pays de l’est, dans le programme de défense de l’Europe et enfoncent un coin malsain dans ces régions. Puisqu’on s’entend déjà si mal, autant en rajouter un petit peu...



  • Jason Jason 17 juin 2007 19:37

    Vous faites absolument fausse route en nommant subvention la répartition de charges, ou encore la distribution des coûts de fonctionnement d’une société sur certaines classes (au sens statistique et économique du terme). Cette terminologie ne cadre pas du tout avec les explications argumentées que vous donnez ailleurs. La notion de subvention est trop galvaudée et utilisée à mauvais escient. Mais bon, c’est votre droit.

    Quant à l’assurance accident que j’ai évoquée, cela mérite des développements plus conséquents. Il s’agissait du cas dans lequel une entreprise décidait, unilatéralement, de la valeur de la vie de ses employés. Cela dans le contexte de création d’unités de compte hors du travail salarié ; mais c’est une autre histoire.

    Cordialement



  • Jason Jason 16 juin 2007 13:59

    Bonjour Chimère, réf. votre billet du 16 à 11h33 :

    Je sors une phrase, hors de son contexte, il est vrai. Vous dites « savoir si un impot est principalement supporté par les personnes aisées, subventionnant ainsi les moins aisés. »

    Le mot subvention est ici mal approprié. Une subvention est une somme attribuée pour un but, un domaine, des effets, précis. Or, tel que vous employez ce terme, on devine aisément une arrière pensée empreinte de jalousie et d’amertume, ou encore d’un esprit comptable très abusif.

    Le fait de vivre en société a un coût. C’est la participation sociale aussi bien qu’économique qui est inhérente au "vivre ensemble. En suivant votre raisonnement, vous pouvez dire que : les personnes sans enfants subventionnent ceux qui en ont (écoles), les jeunes actifs subventionnent ceux qui sont à la retraite, ceux qui n’ont pas de voiture subventionnent ceux qui en ont une (infrastructures), le contribuable lambda subventionne les entreprises (via l’Etat : 60 Mds d’€), etc, les bien portants subventionnent les malades, etc.

    Votre raisonnement préconise un clivage social très malsain. Introduisez des unités de compte dans tout, et vous verrez que les choix ne sont pas simples. Et que les pauvres ne le sont que parce qu’ils sont volés par un système établi, qui perpétue l’escroquerie généralisée dont ils sont victimes. Le prix d’une vie humaine en cas d’accident du travail, aux USA, dans les années 60, c’était US$ 5.000. Pour vous, c’est combien ?



  • Jason Jason 15 juin 2007 14:26

    @ 2004 ecp

    Oui, jusque là vous menez la course du marathon de ces billets agoravoxiens. La clé, ce sont les entreprises, parce que l’on n’a pas fait mieux jusque là. Encore que ça se discute.

    Votre dilemme, je crois : soit on (l’Etat, le Travail) donne des avantages incitatifs aux entreprises, genre politique laisser-faire timide et honteux et plus subventions (c’est le cas présent), et on ne demande rien en contrepartie, soit on met des conditions attachées à cette aide.

    Voyez-vous d’ici le tollé ! Comment ! une entrave à la libre entreprise, encore un contrôle de l’Etat ! C’est inadmissible ! etc. Soit on donne a fond perdu, en se basant sur un civisme qui n’existe pas, Rappelez-vous Turgot : « Le commerce ne connaît d’autre loi que celle de son propre intérêt », soit on ne donne rien.

    Donc on ne donne rien. Mais en ne donnant rien on ampute sur le capital d’espérance qu’il existerait quelque part un capitalisme raisonnable. Le vrai dilemme, quoi ! dans les deux cas de figure, ce n’est pas la bonne solution.

    Un cas de figure diamétralement opposé serait de faire en sorte que les dépenses des ménages baissent. Donc exigences salariales moindres. Il faudrait se pencher sur les courbes ou « pie-charts » les fameuses tartes à secteurs, et voir dans quels cas les dépenses des ménages pourraient être comprimées. Donc se tourner vers le capital (moindres revenus) dans un premier temps pour stimuler la relance. Là aussi, tollé... etc.

    Il va donc y avoir un grand-écart politique et il faudra caresser tout le monde dans le sens du poil. Les résultats sont faciles à anticiper : le jeu du « qui gagne perd ».



  • Jason Jason 14 juin 2007 16:26

    J’aurais plutôt tendance à me joinde aux positions d’aurelie (IP:xxx.x2.41.91) le 14 juin 2007 à 15H06, et Parkway un peu plus bas.

    Vous parlez de la TVA à 19,6% pour les articles de luxe. Fort bien. Mais, expliquez-moi un peu en quoi la TVA à 19,6% pour la construction d’une maison d’habitation est un impôt sur un produit de luxe ? Il est vrai que, vu de Sirius, les gens pourraient habiter dans des boîtes en carton. C’est très à la mode au Brésil.

    Vous maniez fort habilement la macro-économie, et c’est impressionnant. Cependant, au dire de nombreux spécialistes, la TVA est un impôt qui pèse davantage sur les faibles revenus. Pour le cynique, puisqu’ils sont pauvres ils ne sont pas intéressants. Seuls les solvables font marcher le système. Si c’est le cas, qu’on le dise ouvertement, et foin des ronds de jambe et des circonlocutions !



  • Jason Jason 14 juin 2007 10:51

    juste ou injuste ? Je n’en donnerai pas une définition philosophique, mais ceci : payer 100€ de plus pour un revenu de 1000€ est plus pénalisant que de payer 100€ pour un revenu de 5000€. Tout est dit.

    Quant à la TVA, c’est l’impôt le plus abusif qui soit. J’ai été faire un tour sur wikipedia et le graphique proposé est rien moins qu’effarant.

    La TVA sociale pour soulager les entreprises n’aura qu’un effet d’aubaine, et c’est tout. Comme souvent, sans exigence de contrepartie de la part des entreprises, ce sera un coup d’épée dans l’eau. Mais, en attendant, l’effet d’annonce est beau, et le futur rien moins que radieux...



  • Jason Jason 14 juin 2007 10:40

    Merci pour cette mise au point. Question : qu’est-ce qui a primé dans la décision de l’Etat de dérèglementer le marché de l’énergie ? Les pressions financières des investisseurs ? les économies budgétaires ? les pressons de Bruxelles suite au lobbying ? le boulet des retraites et leurs statuts particuliers (s’il y en a) ?

    De toutes les façons le consommateur paiera, avec peut-être un encouragement à consommer moins. Ce qui s’est passé en Allemagne (explosion des tarifs) n’annonce rien de bon pour le scénario français.

    Cordialement



  • Jason Jason 12 juin 2007 15:10

    Elire juges, procureurs, et commissaires est d’une insigne sottise. J’ai vécu ce genre de chose aux USA où les conflits d’intérêts sont permanents. N’y revenons pas. Il y a déjà assez de problèmes avec les tribunaux de commerce en France, sans parler des autres juridictions.

    Vous évoquez le « plus de démocratie » ? Allez visiter les contournements des pouvoirs démocratiques par les lobbyistes, les clubs d’influence financière, les pouvoirs des associations ou chambres de..., ordres de... Sans faire de paranoïa, il existe des pouvoirs de groupes socio-professionnels qui s’exercent par le truchement de voies non démocratiques. Ce n’est pas en vain que la France a une réputation douteuse en matière de corruption, pas seulement financière, mais de principes, de procédures.

    Il serait bon de regarder cela de plus près, hors tout clientélisme électoral. Un candidat, que je ne nommerais pas avait proposé l’interdiction, pour toute entreprise ayant des contrats avec l’Etat, de contrôler une station de télévision (ou d’y avoir des investissements importants).

    Français, encore un effort pour devenir démocrates et donner un bon coup de balai !***



  • Jason Jason 12 juin 2007 12:14

    @ Icks PEY (IP:xxx.x5.232.221) le 12 juin 2007 à 09H52

    Les propos que je rapporte ont été entendus à la télévision, pendant la campagne présidentielle, exprimés par un candidat (UMP ?). Libre à vous d’aller chercher qui a dit quoi, à quelle heure, sur quelle chaîne, etc. Je maintiens, de plus, que ces 25% ne sont pas une utopie. Mais, avant même d’essayer, « on jette le manche après la cognée » et on cherche du côté des expédients.

    En matière de construction de maisons individuelles, je critique l’Etat de vouloir fonctionner avec des structures et des pouvoirs corporatistes que ce même Etat ne semble pas vouloir changer. Examinez, je vous prie, les intervenants et les étapes nécessaires à la construction d’un pavillon simple. Il suffit de jeter un coup d’oeil au code de l’urbanisme, au code de la construction et de l’habitation, de voir les pratiques (les praxis) dans les milieux du bâtiment, les normes inutiles, etc. pour voir que l’aspect financier n’est pas le seul problême, loin de là.

    Je ne suis pas en faveur du « tout Etat » en matière de logement. Je regrette seulement que nos élus ne s’engagent pas avec plus de pugnacité afin de créer les conditions qui rendraient le logement plus accessible au plus grand nombre, même au prix de tordre le cou à certains corporatismes. Regardons, dans un graphique, le poste logement dans les dépenses des ménages. L’urgence est là.

    Cordialement



  • Jason Jason 12 juin 2007 09:03

    @ Forest Ent

    Je précise ma pensée : L’ICE est un concurrent direct du TGV sur les marchés internationaux. Le fait qu’il soit « admis » à circuler en France procède du « donnant », « donnant ». Par ailleurs, les Allemands ont aussi mis au point un train à sustentation magnétique très prometteur. Cela risque de mettre à mal, à terme, les bons vieux trains à roues. Le TGV : avenir radieux ou chant du cygne ?

    Cordialement



  • Jason Jason 11 juin 2007 19:45

    @ Icks PEY

    Je l’ai entendu, à ma grande surprise, à la télé pendant la campagne présidentielle. Etait-ce un membre de l’UMP ? je ne saurais l’affirmer. Mais je pense que c’est parfaitement faisable en abaissant le coût et la fiscalité de la construction. Aux USA j’ai vécu cette situation, je ne payais jamais plus de 25% de mon salaire pour me loger (dans les années 70). C’est une question de volonté politique, et de priorité. Il faut sortir du malthusianisme à la française dans ce domaine.

    Des loyers raisonnables stabiliseraient les salaires dans un premier temps et permettraient la redistribution du pouvoir d’achat sur d’autres secteurs. L’Etat a un rôle majeur dans ce domaine à jouer, rôle qu’il a toujours très mal rempli.



  • Jason Jason 11 juin 2007 15:15

    L’annonce est intéressante et surtout particulièrement opportune. Il est très facile d’annoncer des mesures financières (limitées d’ailleurs, la loi n’étant pas encore votée). C’est la solution par le « crochet à phynances ». Cela va avoir un effet inflationniste : plus d’argent disponible pour une demande soutenue. Les banques vont profiter de l’aubaine aussi. C’est normal, c’est leur métier

    Mais il existe d’autres solutions qui, elles, sont plus difficiles à mettre en oeuvre. On a construit des maisons à 100.000 € (essais concluants en Bretagne), mais il faut pour en accroître le nombre, convaincre les pouvoirs très discrets des métiers du bâtiment qui sont bien organisés et très puissants et ont leur influence au sénat (consulter le site de la FFB). Regardons aussi du côté du foncier de construction, encadré par des carcans règlementaires (code de l’Urbanisme, répartition des pouvoirs locaux), réduisant l’offre, faisant monter les prix, à la plus grande joie des propriétaires de terrains ex-agricoles en friche (prix multipliés par 4 ou 5 dans mon canton en 5 ans).

    Il y a trop de micro-pouvoirs en place, de normes, de codes de lois, et de clientélisme politique à la clé pour avoir des logements individuels satisfaisant la demande. J’ai entendu parler d’un projet visant à ce que le coût du logement moyen ne ponctionne pas plus de 25% du revenu des ménages. Ce serait là une façon d’enrayer la montée constante des salaires. Pas besoin de travailler plus...

    On sera toujours très loin du compte tant que l’on ne s’attèlera pas aux micro-pouvoirs, aux règlements, aux codes de lois, aux normes qui figent le marché et le maintiennent dans des cadres économiques avantageux pour un petit nombre. Le logement devrait être un effort national, et foin des corporatismes.

    Pour l’Etat, donner de l’argent ? Après tout, rien de plus facile : il suffit de...



  • Jason Jason 11 juin 2007 14:34

    Pour des raisons anciennes et récentes, la SNCF n’a jamais suscité mon enthousiasme. Tout le monde (ou presque) braie à l’annonce de la modernisation et des records du TGV. Les réalisations de ce dernier vont faire vendre les techniques d’Alsthom dans le monde, et je m’en réjouis.

    Peu enthousiaste je suis car le faible usage que j’ai fait des transports ferrés dernièrement ne m’a pas vraiment impressionné. Un peu enclavé dans un coin de la Bourgogne, prendre le train, pour aller à Lyon, Dijon ou Paris, relève d’un exercice périlleux et surtout coûteux. Programmer un aller-retour dans une de ces villes est un exercice délicat, souvent impossible à faire dans des conditions normales (horaires, changements, attentes, réservations, etc.). Les climatisations des rames, apparemment non filtrées, ne sont que des distributeurs de miasmes pour tous. Mon médecin m’a confirmé qu’il n’y avait pas de vaccination anti-miasmes-SNCF. J’en parlerai à l’Institut Pasteur.

    Le bolide TGV couvre des régions sans s’y arrêter, ce qui n’apporte strictement rien aux bourgades et petites villes qu’il ignore sur son passage. Quant aux vaches, elles n’ont même pas le temps de le voir passer.

    Je ne pense pas que les Allemands, de par leur situation géographique et leurs intérêts économiques se passionnent pour un projet qui concurrence leur ICE. Eux se tournent vers l’Europe centrale qui, vu son économie offre des débouchés potentiels bien plus grands que la France. Il n’y a pas besoin de passer par la France pour aller vers l’Italie, les Balkans ou la mer noire.

    On n’arrête pas le progrès, mais la démocratie, en France, aurait-elle oublié d’emmener tout le monde du même train ?



  • Jason Jason 11 juin 2007 11:58

    La réflexion du gouvernement marocain laisse perplexe et frise le scandale. Il incomberait, selon ce gouvernement, aux pays où la drogue se consomme de faire quelque chose. Plus cynique, on ne fait pas.

    2 ou 3 avions Canadair pulvérisant du Glyphosate sur les plantations marocaines feraient l’affaire. Mais, ça, on n’en parle pas, souveraineté nationale oblige. Et droit d’emmerder les pays voisins en plus. Mesures de rétorsion françaies : taxation des voyages touristiques au Maroc, taxation des résidences françaises dans ce pays, pénalités sur la délocalisation des centres d’appel téléphoniques dans ce pays, etc. Tout cela serait très bon pour le Trésor français, et amortirait les frais engagés de chasse aux passeurs de drogue marocains.

    A cynique, cynique et demi !



  • Jason Jason 10 juin 2007 12:20

    @ JL

    Je partage entièrement vos propos. J’y ajouterai quelques mots.

    Il n’y a pas d’arrière-monde, comme le souligne à bon escient Michel Onfray. Pas de paradis, de purgatoire, d’enfer, etc. Ces lieux hypothétiques n’appartiennent qu’à l’imaginaire. Leur représentation picturale ou littéraire relèvent d’une tradition, ce qui est un fond de commerce comme un autre.

    Voulez-vous la preuve que dieu n’existe pas ? Regardez l’humanité.

    Les Eglises, religions, qui s’insinuent dans toutes les étapes de la vie ne sont que de gigantesques entreprises de marketing, politique, social, économique, aux ambitions démesurées. Je suis étonné qu’on discute encore sérieusement de telles foutaises aujourd’hui. Et qu’il y ait encore autant d’esprits faibles pour y croire.