Courouve, Il ne faudrait tout de même pas faire preuve de mauvaise foi ! Aquérir serait logique et correct puisqu’il garde trace de l’étymologie (ancien français aquerre) et de son lien avec le verbe quérir. Akérir... Ah ! qué rire !
Je suis intimement persuadée qu’une telle technologie, dans les mains d’un peuple déjà libre et éclairé, est un facteur d’émancipation supplémentaire ; mais je ne comprends pas par quel processus un peuple d’esclaves de la technologie deviendrait magiquement libre et éclairé par la simple possession d’un objet supplémentaire de communication.
Il y a loin de la communication au savoir, du savoir à la compréhension et de la compréhension à la sagesse.
L’Homme doit se réapproprier les outils qu’il fabrique et ne doit pas attendre d’eux sa rédemption.
Merci Armelle pour cette replongée dans le monde Dostoïevskien !
Personnellement j’ai un faible pour l’Idiot avec un personnage central christique au milieu d’un peuple russe rongé par le nihilisme... et, juste derrière, Crime et Châtiment. Les romans de jeunesse de Dostoievski sont aussi à découvrir. Les pauvres gens ou le double. A qui n’a jamais lu l’un de ses romans, je conseille de commencer par les démons (quelquefois traduit par les possédés).
La seule difficulté de lecture réside dans le système russe des noms, prénoms, surnoms divers et variés donnés aux personnages qu’il est parfois difficile de suivre au départ. Le jeu en vaut la chandelle !