• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Actualités > Religions > Religio duplex : Les francs-maçons fascinés par l’Egypte et (...)

Religio duplex : Les francs-maçons fascinés par l’Egypte et l’avènement d’homo duplex

La pyramide du Louvre représente pour un public « assez informé » le symbole des complicités maçonniques du président Mitterrand. Oui mais pourquoi la pyramide ? Eh bien parce que l’une des marques de fabrique de la maçonnerie européenne remonte à l’ancienne Egypte et si cette fascination est inscrite dans les gènes maçonniques, ce fait remonte aux 17ème et 18ème siècles. Pour s’en convaincre, on suivra avec grand intérêt l’enquête savante et érudite de l’égyptologue allemand Jan Assmann, dont le livre Religio duplex vient d’être traduit aux éditions Aubier (janvier 2013). Cet essai, bien que de facture très universitaire avec un foisonnement de notes et références, s’avère d’une lecture fort agréable, pour ne pas dire assez facile pour un lecteur doté d’un minimum de connaissance en histoire de la philosophie et des religions. Néanmoins, une large vision est nécessaire pour saisir les enjeux épistémologiques et sociaux liés à cette période intense de controverses et d’édifications dont nous héritons en subissant quelques conséquences. Les Lumières maçonniques s’inscrivent dans une période de tensions spirituelles, politiques et religieuses sans précédent où elles sont partie prenante.

L’étude menée par Assmann n’est pas théologique et se veut historique et sociologique. Il est question de développement et transmissions d’idées au sein des loges maçonniques et notamment d’une idée-force ayant puissamment marqué les confréries. C’est à cette époque que se cristallise la thèse d’une double religion présente en Egypte depuis la haute antiquité et que la maçonnerie aurait peu à peu retrouvée en la décelant dans diverses sources bibliographiques. Assmann reste discret sur l’existence de la religio duplex, tentant essentiellement de comprendre comment et pourquoi les francs-maçons ont cru à cette thèse dont le développement se dessine sur quatre strates. La double symbolique, puis la double religion, ensuite la dualité entre théologie politique et mystères et enfin l’homme dédoublé et cosmopolite à l’ère de la globalisation.

 

1. Double sens des signes. Les franc-maçonneries européennes se sont constituées comme des sociétés basées sur le secret, l’initiation, la hiérarchie, la transformation spirituelle. Ces quatre ingrédients ont été cherché et « retrouvés » par les frères à travers les signes et symboles égyptiens. Les textes sacrés de cette époque ont été compris selon la thèse du double sens (sémantique à double fond), littéral et mystique. Le second sens conférant à ces écrits un effet transformatif. Celui qui en use lors d’un rituel bien réglé se transfigure. Assmann y voit un procédé permettant de forger une interprétation sacramentelle qui présuppose la distinction entre un monde matériel et temporel où se déroulent les rites et un monde des dieux ; cette dualité remontant à la haute Egypte, deux à trois millénaires avant notre ère. L’interprétation sacramentelle voit dans le culte un sens caché inaccessible aux individus non initiés. Une couche d’influences secrètes se superpose au monde visible. Le culte, dans la mesure où il tente de percer la couche profane pour accéder au second monde, transforme un acte du monde cultuel en événement du monde des dieux (p. 31). Lequel est partagé par les initiés si bien qu’on retrouve un ingrédient essentiel étudié par Simmel qui voyait dans le secret le moyen le plus efficace pour cristalliser un groupe pénétré par un puissant lien relationnel (p. 33), ce qui est le cas des francs-maçons bien évidemment, et d’autres groupes et corporations aisément identifiables. Néanmoins, le secret dont il est question relève du sacré et doit être préservé de la dégradation, protégé du monde extérieur si prompt à profaner les choses divines.

Les francs-maçons du 18ème siècle n’avaient pas accès à la signification des hiéroglyphes si bien qu’ils projetèrent leurs idées sur l’Egypte, non sans user de sources dérivées mais plus précises et fiables. Notamment les textes du philosophe néoplatonicien Jamblique dont les écrits sur Platon, Pythagore et les mystères ont profondément influencés les sociétés secrètes européennes. L’émanatisme plotinien étant de surcroît parfaitement consistant avec l’idée d’une déperdition de qualité lorsqu’on se déplace depuis le Un vers le monde sensible. Pour Jamblique, la puissance du théurgique se transmet non pas par contrariété et différence mais par un accord identitaire entre l’initié et le monde invisible du divin. En résumé, le 18ème siècle a supposé qu’avant Rome et la Grèce, ce fut l’Egypte qui instaura l’alliance entre l’écrit et le secret. D’où découle la double culture et la distinction classique entre ésotérique et exotérique. Avec une autre thèse tout aussi fondamentale, celle d’une science ésotérique véhiculée par les signes et symboles. Une science directe, qui ne passe pas par la raison discursive (on retrouve du reste ce thème chez Proclus).

 

2. L’idée de la double religion. Il semble logique que la distinction entre deux compréhensions des signes accompagnées d’un double usage puisse conduire à l’idée d’une double religion. C’est le pas que franchit Assmann en effectuant un détour par le philosophe médiéval Maimonide chez qui on peut voir se dessiner la conception d’une religion à double face déduite de l’interprétation des lois rituelles juives. Il n’est pas question de degrés comme dans la thèse scolastique des quatre niveaux de sens mais de la distinction entre deux modes de communication, l’un ésotérique et l’autre exotérique. Avec en aval deux finalités, l’une plus sociale et politique et l’autre visant la pratique intérieure et l’élévation de l’âme vers la vraie religion en se dépouillant des formes idolâtres considérées comme inférieures et dégradées. On comprend alors la possibilité d’une connivence entre la religion juive interprétée par Maimonide et les mystères égyptiens. L’ensemble va permettre aux philosophes anglais du 17ème siècle d’esquisser la théorie de la religio duplex en ces terres où la Réforme a semé ses germes modernes. Cette voie sera parcourue par John Spencer puis généralisée par le philosophe platonicien de Cambridge, Cudworth, contemporain de Locke, Newton et Leibniz.

Le plaidoyer de Cudworth est sans ambiguïté. D’un côté les victoires de l’esprit, Socrate, Pythagore et Aristote et de l’autre les englués dans le sensible matériel, Epicure, Straton, Anaximandre (p. 63). Toutes les religions authentiques et les philosophies supérieures sont adossées à une position théiste qui, dans le contexte du 17ème siècle, se déplace vers le déisme. Ainsi, Cudworth tente de défendre les mystères égyptiens en imaginant la religion des prêtres initiés comme relevant du théisme et ce, afin de défendre la théologie de l’Egypte contre ceux qui pensent que les Egyptiens n’ont en fin de compte qu’adoré les astres et le cosmos. Le schéma final de Cudworth s’oriente vers un classique pour son époque et celle qui suit ; il y a le Dieu des pères et celui des philosophe, le premier étant personnel, révélé, alors que le second est un dieu ontologique partiellement accessible à la connaissance moyennant une initiation scientifique, celle qui sera proposée dans les loges maçonniques. Néanmoins, la vérité est difficile d’accès.

 

3. Théologie politique et religio duplex, voire triplex et le secret et les Lumières. La troisième étape du parcours proposé par Assmann nous conduit vers les arcanes du pouvoir et des réflexions sur le politique dont on sait, si l’on se réfère à l’œuvre de Leo Strauss, qu’elles se sont construites avec une modernité radicale. Nous voilà au 18ème siècle. Les loges maçonniques se sont unifiées en 1717 et les questions sur l’homme, la société et l’Etat ont préoccupé les philosophes des Lumières, les princes, les ecclésiastes ainsi que les frères rassemblés dans les loges, soucieux de préserver le lien avec le grand architecte et pour certains, de parvenir à un état de vérité et de dignité permettant d’améliorer la société. On voit se dessiner les grandes tensions de cette époque. Avec cette question majeure posée par l’entrelacs bien compliqué entre la religion, la morale et l’Etat. La religion dédoublée se déplace alors dans un autre champ, celui de la politique. Un ecclésiaste anglican du 18ème siècle se signale par la postérité accordée à son œuvre que les maçons germaniques vont particulièrement apprécier. Warburton infléchit la thèse de la religio duplex vers une dualité sociologique entre le peuple et les sages. Aux premiers est dispensé une religion accessible, faite de symboles compréhensibles et d’allégories, avec des figures proposées à l’adoration, bref, une sorte de mythologie populaire pour ne pas dire populiste. Aux sages est réservée la religion supérieure, secrète, avec une vérité accessible moyennant une initiation. Pour le peuple, la divinité se fait connaître par une manière dérivée, allégorique, accessible à tous et universellement communicable. Pour les initiés, la divinité est une et sa compréhension est directe, intellectuelle, ontologique, philosophique pour ne pas dire scientifique.

Ainsi le devenir des Mystères prend un sens éminemment politique en ce siècle des Lumières où se dessine peu à peu un Etat dont l’un des ressorts principaux est la religion populaire alors que la vraie religion, celles des Mystères et de l’Etre suprême, doit être pratiquée dans des lieux protégés que sont les loges et se doit d’être frappée du sceau du secret pour ne pas s’altérer en se répandant dans la société profane. Les loges sont garantes de la morale et de la vérité. Alors que la tromperie des prêtres dénoncée par la critique athée de la religion devient une tromperie des princes (p. 95). Le modèle de Warburton penche même vers une tripartition avec la politique et sa religion d’Etat populaire, la morale et les petits mystères puis la Nature avec les grands Mystères et par conséquent, une allusion à ce que deviendra la scission du religieux partagé au 18ème siècle en une religion révélée amenée à s’abîmer dans les rouages de la politique enchevêtrée au peuple et la religion naturelle, celle pratiquée dans les loges et se réclamant de la vérité philosophique puis de la légitimité universaliste.

 

Dans un quatrième chapitre dont on complètera la lecture par les documents fournis en annexe, l’auteur déroule progressivement les relations troubles impliquant des sociétés secrètes se jaugeant les unes et les autres en redoutant force complots alors que d’autres tensions se dessinaient avec l’Etat et les autorités de l’Eglise catholique qui ne voyait pas d’un bon œil ces initiés partis en quête d’un Dieu qui, il faut bien le dire, était devenu un rival. D’ailleurs, même les jésuites étaient devenus suspects auprès des autorités pontificales de Rome sous le règne d’un Clément XIV complice des princes ; alors que dire de ces maçons considérés comme crypto-jésuites à juste titre si l’on considère les exercices spirituels comme point commun entre ces deux catégories d’initiés. Le mérite de l’étude menée par Assmann est de faire apparaître, à travers les quêtes des Mystères égyptiens et autres cultes antiques hébraïques, chrétiens et mêmes orientaux, l’essence même de la franc-maçonnerie au 18ème siècle qui, contrairement à ce que pense l’opinion mal instruite, s’est constituée comme une authentique religion avec des membres pratiquant des cultes et des rites dont la finalité était de conduire l’homme vers le chemin haut, vers le divin. C’est d’ailleurs le thème du fameux opéra la Flûte enchantée de Mozart, le seul en son genre, pouvant faire l’objet d’une double interprétation (opera duplex) et qui révèle en son sein un contenu ésotérique évident. Nulle surprise, Mozart et ses acolytes étaient maçons.

 

Se dessine alors le paradoxe de l’envers de l’alliance entre le secret et les Lumières, avec les initiés maçonniques cultivant le secret et fuyant la lumière de la société, comme s’il s’agissait d’une luminosité dégradée susceptible de faire de l’ombre à la lumière divine censée se répandre au sein des frères initiés dans les loges qui se pensaient comme une élite digne, éclairée et morale, émigrée dans le souterrain de la société secrète. Et dont l’une des justifications prenait sa source dans les mystères antiques bien souvent intégrés sous forme de fables, mythes et légendes. Les maçons se pensaient comme les héritiers des sages antiques et comme les légitimes héritiers habilités à poursuivre l’œuvre d’élévation humaine en espérant un nouveau monde plus éclairé et moins entaché par les déliquescences des peuples rendus ignorants par des Etats cherchant à obtenir l’emprise sur la société. Les maçons avaient deux rivaux, l’Eglise et l’Etat. Mais ils se sont aussi tiré une balle dans le pied avec leurs égarements. Le secret a autant affaire avec la Lumière qu’avec le pouvoir. Les références maçonniques à Plutarque en attestent (p. 235). Le 18ème siècle mettait en étroite relation les Mystères et le magistère, l’initiation et le pouvoir. Aufklarüng, initiation et explosion. Un universel dilemme entre Plutarque et Platon, très bien saisi en d’autres pages par Leo Strauss (je suis étonné qu’Assmann ne le cite pas dans son étude)

 

4. Acte final, globalisation et sécularisation. Pas plus qu’une autre, l’aventure maçonnique ne pouvait échapper aux tendances de l’Histoire. Assmann propose d’ajouter un ultime volet concernant le dispositif théologal hérité des mystères antiques dans le contexte de la fin du 18ème siècle, marqué par une accélération des échanges commerciaux et du sentiment accru de vivre dans un même monde. Ces évolutions induisent le repli pour les uns et l’ouverture pour les autres qui se prennent à rêver de projets cosmopolites et de fraternité universelle. C’est dans ce contexte que Lessing use de la parabole des trois Anneaux pour signifier que toutes les religions fondées sur des écritures sont différentes mais ont toute une légitimité et une égale dignité. Tout en se servant des Anneaux pour tracer une sorte d’odyssée où se succèdent les lumières antiques, égyptiennes ou autres, puis celles du monde islamo-juif médiéval et enfin celles de l’Europe au 18ème siècle (p. 143). A y voir de plus près, on décèle dans la tentative de Lessing le souci d’atténuer cette controverse très datée où quelques apologistes et autres exégètes opposent la religion révélée des pères et celle des philosophes avec un Dieu offert à la connaissance et l’abstraction raisonnée.

Un glissement sémantique de plus se dessine avec Mendelssohn si l’on en croit l’interprétation de Assmann dont l’intention est de projeter ce trait des Lumières au-delà de son contexte historique en y trouvant une sorte de sagesse pour notre époque si trouble. La sécularisation est en marche. A la distinction entre religions publique et secrète fait place un autre doublet. La religion publique devient une religion particulière, qualifiée de positive et inscrite dans la tradition des révélations, alors que la religion des mystères devient une religion naturelle et universelle, car basée sur la connaissance et la raison. Fait nouveau, ces deux volets du religieux ne doivent plus s’opposer mais se compléter selon Mendelssohn. Cette solution suppose de refuser toute prétention d’une religion à se poser comme absolue mais n’interdit pas de reconnaître la validité opératoire d’un absolu à l’intérieur d’une religion.

L’acte final de cette réflexion conduit vers des notions plus sociologiques tirées à partir de l’œuvre de Lessing, penseur jugé très clairvoyantes selon Assmann qui voit les Lumières anticiper les enjeux des deux siècles suivants. Lessing avait vu comme problème majeur la division des hommes, désignée comme pseudo-spéciation, avec (i) les citoyens d’Etats distincts, (ii) les croyants d’obédiences diverses et (iii) les divisions sociales d’ordre professionnel. En 1780, les guerres de religions étaient derrière mais les nationalismes, résultats « fâcheux » de la pseudo-spéciation politique, allaient s’affronter violemment alors que la lutte des classes découlait « naturellement » des divisions professionnelles. Si Lessing voyait dans la franc-maçonnerie une solution à des divisions, d’autres mirent en doute le rôle des sociétés secrètes pour résoudre ces questions cruciales. En guise de mot d’ordre conclusif, Herder affirme que les Lumières, c’est la fin du secret. Assmann a clairement exposé que cette religio duplex née en Angleterre vers 1670 avec Spencer et Cudworth a sensiblement évolué pour finir par se séculariser et s’humaniser en devenant une anthropologie double où la figure de l’homo duplex apparaît. Notamment chez Schiller qui appelle de ses vœux cet homme amené à mettre en accord la pulsion sensible et la pulsion de forme, autrement dit le corps et l’esprit. Cette conception de l’homme remonte à très loin, précisément à Paul et Augustin avec leur concept d’homme intérieur tourné vers Dieu et l’homme du dehors en relation avec la vie sociale et naturelle. La différence étant que l’homme intérieur des Lumières est en fait un homme civilisé, porteur des valeurs universelles, relié non pas à Dieu mais à l’Humanité. On s’est plus très loin de la religion positiviste d’Auguste Comte qui lui, est en déphasage avec les Lumières car il croit au progrès en assumant parfaitement un messianisme laïque.

 

Sans doute, les francs-maçons des Lumières ne croyaient pas plus au progrès que leur contemporain Rousseau. Défiance face à la nature humaine socialisée et l’ordre politique. Si je pouvais interroger Assmann, je lui demanderai si les mystères d’Egypte n’ont pas joué un rôle équivalent à celui de la culture grecque pour les penseurs et artistes de la Renaissance italienne. La religion, qu’elle soit maçonnique, juive, chrétienne ou autre, ne peut faire l’économie d’un ancrage dans les origines. Comme si cette relation à un passé interprété comme radieux permettait de conjurer le désordre et l’entropie galopante associée au temps des actions et de l’Histoire. Les maçons du 17ème siècle comme les penseurs de la Renaissance ont inventé du nouveau mais ont cru fermement qu’ils restauraient un passé érigé en légende, voire en mythe de l’âge d’or. Mais par delà ces considérations historiques, une question reste en suspens, c’est celle de la religio duplex, puis de l’homo duplex, de son actualité et j’irai plus loin que l’auteur en suggérant un soubassement ontologique universel. Et pour clore cette modeste étude, je tracerai volontiers une perspective chronologique en faisant un parallèle avec la kabbale juive dont les métamorphoses se sont déroulées sur une longue période de plus d’un millénaire et demi, avec les strates cosmologiques, philosophiques, sotériologiques, eschatologiques. Les maçons ont sans doute été surpris de leur audace, se trouvant aspirés dans un illuminisme philosophique partiellement maîtrisé, dans une radicalité toute nouvelle nécessitant un ancrage historique (l’Egypte) et vu l’accélération des transformations spirituelles entre 1680 et 1800, les maçons ont condensé en peu de temps ce que d’autres traditions ont mis des millénaires à accomplir. Le mystère n’est pas où l’on pense qu’il se trouve. La maçonnerie ouvre vers le mystère du Temps et c’est mon dernier mot. 

Prospective et devenir du dédoublement ontologique. A suivre

 


Moyenne des avis sur cet article :  2.91/5   (23 votes)




Réagissez à l'article

22 réactions à cet article    


  • soi même 20 mars 2013 11:04

    @ Bernard Dugué, décidément t’es un écrivaillon du bla bla bla, tous ce qui passe chez toi est polémique et reflet bien la bassesse de notre époque !

    .


    • Daniel D. Daniel D. 20 mars 2013 11:36

      Merci pour cet article qui devrais voir quelques « fidèles » descendre essayer de protéger leur façade, certains par ignorance, d’autres par intérêt.

      Informer, pousser a la réflexion, merci pour cette article pertinent qui rempli parfaitement ce rôle en amenant de la matière a reflexion..

      Daniel D.


      • Furax Furax 20 mars 2013 12:11

        "D’ailleurs, même les jésuites étaient devenus suspects auprès des autorités pontificales de Rome sous le règne d’un Clément XIV complice des princes ; alors que dire de ces maçons considérés comme crypto-jésuites à juste titre si l’on considère les exercices spirituels comme point commun entre ces deux catégories d’initiés. Le mérite de l’étude menée par Assmann est de faire apparaître, à travers les quêtes des Mystères égyptiens et autres cultes antiques hébraïques, chrétiens et mêmes orientaux, l’essence même de la franc-maçonnerie au 18ème siècle qui, contrairement à ce que pense l’opinion mal instruite, s’est constituée comme une authentique religion avec des membres pratiquant des cultes et des rites dont la finalité était de conduire l’homme vers le chemin haut, vers le divin.« 

        Bien sûr Bernard Dugué !
        Malheureusement a été créé chez nous le Grand Orient de France ; Une »branche" qui interdit toute référence, toute interrogation sur l’ Etre Suprême. Autant dire un lieu de réflexion pour lapins de garenne...
        Ce n’est plus qu’une organisation mafieuse de corrompus (voir arriver l’ancien Grand Maître smiley Bauer avec Sarkozy aux obsèques de Bongo !)


        • Bernard Dugué Bernard Dugué 20 mars 2013 12:32

          Il n’est pas forcément utile de polémiquer et d’ailleurs, si on va chez Sarko, on aboutit plutôt à la loge de France qui d’ailleurs vient de splitter récemment. Quant au Grand Orient, ne le laissons pas nous désorienter


        • robespierre55 robespierre55 21 mars 2013 09:45

          Pas mieux.
          Ce pauvre Bernard prétend avoir un avis sur tout ,il a sur tout un avis.


        • gaijin gaijin 20 mars 2013 12:18

          dommage de centrer cette analyse sur les francs maçons ce qui va enkyster tout le fil dans le délire des pour et des contres

          la « double religion » est une réalité quasi universelle que l’on va retrouver aussi bien chez les boudhistes que chez les chrétiens et la symbolique n’est pas seulement a double sens mais a multiples sens qui ne se dévoilent qu’au fur et a mesure que l’on progresse

          histoire de rigoler
          l’ équerre et le compas sont parmi les symboles maçonniques les plus connus
          mais alors pourquoi fo hi et niu wa les grands ancêtres chinois sont ils représentés de la sorte ?
          http://www.google.fr/imgres?hl=fr&newwindow=1&tbm=isch&tbnid=YWi-SlwCPti8-M :&imgrefurl=http://www.arkho.com/grac5.htm&docid=ZBEXXNua7LhFbM&imgurl=http://www.arkho.com/img/foniu.jpg&w=325&h=176&ei=OZpJUYyILcfDhAekioG4CQ&zoom=1&sa=X&ved=0CH8QrQMwDw&iact=hc&vpx=786&vpy=375&dur=3425&hovh=140&hovw=260&tx=92&ty=64&page=1&tbnh=140&tbnw=260&start=0&ndsp=37&biw=1467&bih=678

          .............


          • Bernard Dugué Bernard Dugué 20 mars 2013 12:30

            Cette analyse est un compte-rendu de l’ouvrage consacré aux francs maçons par Assmann, il est donc logique que ce billet parle de la franc maçonnerie. Il n’y a pas à être pour ou contre mais à tenter de comprendre, sans rejeter ou être béat. Mais peut-être que l’époque n’est plus à la compréhension et au dialogue. Les meutes aboient et la caravane passe


          • gaijin gaijin 20 mars 2013 12:40

            « un compte-rendu de l’ouvrage consacré aux francs maçons par Assmann, »
            oups ça m’avait échappé ......( lu trop vite désolé )

             "Il n’y a pas à être pour ou contre mais à tenter de comprendre, sans rejeter ou être béat"
            on est bien d’accord 


          • soi même 20 mars 2013 16:06

            Les Franc maçons sont les héritiers d’une des branches qu’a été les corporation des Bâtisseurs des Cathédrales du 11 siècles, à ce titre ils véhiculaient aux seins de leurs loges, un savoir ésotérique qui faut l’avouez maintenant n’a plus grand sens, du fait que leurs symboles n’est plus compris, et que le monde des copinages et affairistes ont pris le pas.

            A l’origine, il y avait trois grades, aspirant, compagnon, maître, maintenant cela va jusqu’à 33 grands et plus, démontre très bien ce qui avait sa place à une époque précise est devenue une farce mondaine de groupe d’intérêt affairiste !

            Il ne faut pas oublié, ce fait pas très connue du grand public, les hauts dignitaires de la Franc Maçonnerie sont noyautés par les Jésuites, et qu’ils marchent la main dans la main.

            Tout cela grâce à Napoléon qui est à l’origine de cette alliance très discrète qui se fait à l’insu du Franc Maçon de basse et du Jésuite de base.

            Il ne faut pas se leurré la franc maçonnerie est devenue l’ombre de ce qu’elle a été, et il suffit de voir les différentes affairse pour voir qu’ils ne sont plus en odeur de sainteté !


          • bert bert 20 mars 2013 23:57

            en wikipédia on peut trouver que les jésuites sont encore interdits en Ecosse smiley

            ( malgré le travail du cardinal augustin Béa hihihihihihi)


          • Gollum Gollum 20 mars 2013 14:49

            les autorités de l’Eglise catholique qui ne voyait pas d’un bon œil ces initiés partis en quête d’un Dieu qui, il faut bien le dire, était devenu un rival.


            Et l’Église n’a jamais supportée les rivaux, les cathares en savent quelque chose.. C’est bien évidemment là dans ce refus de la concurrence qu’il faut chercher l’anathème posé sur la Franc-Maçonnerie par l’Église. Anathème qui frappait tout aussi bien les protestants que les orthodoxes. « Hors de l’Église point de salut », entendu de façon littérale, a provoqué cet état de fait. Les Maçons de leur côté entendaient regrouper les hommes de bonne volonté et manifestaient une ouverture inhabituelle à l’époque en essayant de se focaliser sur l’essentiel.. le Grand Architecte. Et en accordant à la raison et la recherche une place qui faisait cruellement défaut dans la chrétienté.

            Malheureusement tout cela a dégénéré en rationalisme au fil du temps et le Grand Architecte est passé aux oubliettes.. L’accent fut mis sur l’homme jusqu’à devenir l’humanisme triste d’aujourd’hui...

            Les Bâtisseurs ont rejeté la pierre angulaire (Voir Marc 12 (1-12))

            Toujours est-il que les Maçons avaient sans doute raison de voir en l’Égypte une haute civilisation mère, ce que les Grecs savaient, remontant à 13000 ans d’âge. Connaissant de hauts secrets astronomiques dont la précession des équinoxes (Voir Bauval là-dessus) Il est même probable que les Hébreux étaient en fait les descendants hérétiques d’Akhénaton, comme le suggère Roger Sabbah, ce qui fait du judaïsme, ainsi que du christianisme, les héritiers de l’Égypte. Ce que suggère d’ailleurs les textes qui font émigrer les parents de Jésus en Égypte.. façon allégorique pour suggérer une filiation.

            D’ailleurs le Christ ne fait que reproduire le mythe Osirien, Marie étant la nouvelle Isis.

            Il ne reste plus qu’à attendre la suite des révélations puisque nous sommes maintenant au moment précessionnel quasi symétrique de l’époque qui a vu la construction du Sphinx de Guizeh, celui-ci regardant se lever la constellation du Lion à l’époque, au printemps. Alors que maintenant va se lever le Verseau, annonciateur d’une nouvelle catastrophe cosmique de même ampleur que celle qui a mis fin à cette civilisation mère d’il y a 13000 ans..

            • gaijin gaijin 20 mars 2013 16:39

              « D’ailleurs le Christ ne fait que reproduire le mythe Osirien, Marie étant la nouvelle Isis. »
              pour ce que j’en comprend il y à un recyclage permanent des symboles depuis .........on ne sait pas quand .........


            • ffi ffi 21 mars 2013 11:06

              Gollum, vous nous ressortez les vielles thèses de la société théosophique (Jésus / Horus) ?
              Je crains qu’elles n’aient pas été considérées très exactes.
               
              D’autre part, vous vous trompez dans les dates au sujet du rationalisme.

              Déjà la scolastique pratiquait le rationalisme théologique (12ème- 14ème siècle).

              Gerbert d’Aurillac, Fibonacci, puis Nicole Oresme ont synthétisé du 10ème au 14ème siècle les principes scientifiques qui allaient servir de feuille de route pendant au moins les 5 siècles qui suivirent d’un point de vue scientifique :

              - Nicole Oresme avait déjà prétendu qu’il était plus simple d’imaginer que la terre tourne autour d’elle-même, il avait démontré la loi du mouvement accéléré que reprendra Galilée, il avait montré que l’on pouvait représenter graphiquement les grandeurs physiques de manière géométriques puis que l’on pouvait traiter ces courbes comme toute forme géométrique.

              - Fibonacci a introduit l’arithmétique et l’étude des systèmes d’équations linéaires en rapportant les travaux de Diophante d’Alexandrie. Fermat, pendant son invention de l’algorithme du calcul différentiel s’est inspiré de Diophante, auquel il a emprunté le terme d’adégalisation, opération qui réalise le passage à la limite.

              S’en est suivi le rationalisme classique qui est daté du 16ème à la fin du 18ème siècle.

              La critique du rationalisme classique fut le fait des lumières : Voltaire vs Leibniz dans « Candide », Kant dans « critique de la raison pure », pour tenter de fonder un rationalisme moderne.

              Issu de Kant et des lumières, le rationalisme moderne est un idéalisme.
              Le problème de ce genre de rationalisme, c’est qu’il tend à perdre le lien avec la réalité.
               


            • Gollum Gollum 21 mars 2013 14:46

              Gollum, vous nous ressortez les vielles thèses de la société théosophique (Jésus / Horus) ?
              Je crains qu’elles n’aient pas été considérées très exactes.

               
              Je savais même pas que c’était une thèse de la société théosophique... smiley

              Suffit simplement de percevoir les similitudes (y a des différences aussi..), ça saute aux yeux.. Pas besoin des théosophes donc. Pour ce qui est des similitudes y en a d’autres : les 14 stations de croix qui font écho aux 14 morceaux d’Osiris par exemple...


              D’autre part, vous vous trompez dans les dates au sujet du rationalisme.

              On peut en effet remonter encore plus haut et même jusqu’aux grecs...


              Déjà la scolastique pratiquait le rationalisme théologique (12ème- 14ème siècle).


              Oui je sais. On a même plus ou moins comparé Thomas d’Aquin à Aristote..

              Ceci dit la méthode expérimentale est née bien plus tard..


              Issu de Kant et des lumières, le rationalisme moderne est un idéalisme.
              Le problème de ce genre de rationalisme, c’est qu’il tend à perdre le lien avec la réalité.
               

              Bon pas d’accord là-dessus.. Tout dépend de ce qu’on appelle réalité. Pour vous réalité égale bon sens et sens commun.. C’est sûr qu’on va pas y arriver comme ça..


            • médy... médy... 20 mars 2013 18:39

              Merci, quand vous dites Homo Duplex ça me donne une nouvelle idée de nom pour notre espèce : Homo Duplex Bifis Deceptio : l’humain duplice, à la langue fourchue, et déceptif.

              En attendant une salutaire évolution.


              • bert bert 20 mars 2013 23:37

                en gros c’est juste des couillons 

                hier ils ont développé une architecture gothique&autoritaire 
                aujourd’hui une architecture nucléaire
                ils méritent donc le bûcher



                • pierrot pierrot 21 mars 2013 09:43

                  La pyramide est un volume simple qui, évidemment, ne peut pas signifier uniquement un symbole maçonnique.
                  De même un cube ou un parallélépipède ou un cylindre (menhir, Buren, obélisque...), sphère (cinémax...) ne peuvent être attribués à telle religion ou groupement.

                  La pyramide du Louvre conçue par un architecte chinois n’est pas d’inspiration maçonnique..


                  • mortelune mortelune 21 mars 2013 09:49

                    Un peu de détente après la lecture de l’article ?


                    • ffi ffi 21 mars 2013 11:28

                      La franc-maçonnerie n’est pas nécessairement matérialiste.
                      Certains y affectionnent l’étude des entités spirituelles.
                       
                      C’est surtout une sorte de secte à gnose manichéenne, basée sur une forme de mythologie où le réel est considéré « dialectique » : la lutte des substances antagonistes du passé a produit la substance présente, la lutte des substances antagonistes présentes produira la substance future..

                      Le matérialisme au sens « marxiste » doit surtout son nom au fait que Marx considérait la dialectique, non pas comme une méthode intellectuelle de détermination du vrai, mais comme un processus essentiel du monde matériel.

                      Par conséquent, le libéralisme (la concurrence entre entreprises pour s’enrichir), le marxisme (la lutte entre classes pour s’égaliser), le darwinisme (la lutte entre espèces pour évoluer) sont des idéologies qui vont bien dans la manière de penser le monde maçonnique (la lutte productrice).

                      Ordo ab chaos = l’ordre par le chaos. Du conflit des antagonismes échoira l’ordre nouveau.

                      Pour cela, la maçonnerie tient d’une main la gauche socialiste, de l’autre la droite libérale, et monte en épingle le débat politique sur ces antagonismes-ci.

                      Cela lui permet, en tenant les deux bouts de cette dialectique politique, d’être sure de tenir la « synthèse » politique.


                    • Gollum Gollum 21 mars 2013 15:15

                      C’est surtout une sorte de secte à gnose manichéenne, basée sur une forme de mythologie où le réel est considéré « dialectique » : la lutte des substances antagonistes du passé a produit la substance présente, la lutte des substances antagonistes présentes produira la substance future..


                      Bon j’ignore le fond de la philosophie maçonnique, mais la dialectique des contraires est une idée universellement répandue (notamment en Chine). Héraclite aussi notamment : pris sur Wiki :


                      La pensée d’Héraclite, parfois désignée sous le nom de mobilisme, est l’extrême opposé de l’éléatisme. En effet, pour Parménide, l’unité de l’être rend impossible la déduction du devenir et de la multiplicité ; pour Héraclite, au contraire, l’être est éternellement en devenir. Héraclite nie ainsi l’être parménidien.

                      Les choses n’ont pas de consistance, et tout se meut sans cesse : nulle chose ne demeure ce qu’elle est, et tout passe en son contraire.

                      « À ceux qui descendent dans les mêmes fleuves surviennent toujours d’autres et d’autres eaux. »21 »

                      Tout devient tout, tout est tout. Ce qui vit meurt, ce qui est mort devient vivant : le courant de la génération et de la mort ne s’arrête jamais. Ce qui est visible devient invisible, ce qui est invisible devient visible ; le jour et la nuit sont une seule et même chose ; il n’y a pas de différence entre ce qui est utile et ce qui est nuisible ; le haut ne diffère pas du bas, le commencement ne diffère pas de la fin :

                      « La mer est l’eau la plus pure et la plus souillée ; potable et salutaire aux poissons, elle est non potable et funeste pour les hommes22. »

                      « Joignez ce qui est complet et ce qui ne l’est pas, ce qui concorde et ce qui discorde, ce qui est en harmonie et en désaccord ; de toutes choses une et d’une, toutes choses23. »

                      Rien n’est donc plutôt ceci que cela, mais tout le devient. Les choses ne sont jamais achevées, mais sont continuellement créées par les forces qui s’écoulent dans les phénomènes. Les choses sont des assemblages de forces contraires, et le monde est un mélange qui doit sans cesse être remué pour qu’elles y apparaissent :

                      « La guerre est le père de toute chose, et de toute chose24 »

                      La pensée bouddhiste est du même tonneau..

                      Le matérialisme au sens « marxiste » doit surtout son nom au fait que Marx considérait la dialectique, non pas comme une méthode intellectuelle de détermination du vrai, mais comme un processus essentiel du monde matériel.

                      Par conséquent, le libéralisme (la concurrence entre entreprises pour s’enrichir), le marxisme (la lutte entre classes pour s’égaliser), le darwinisme (la lutte entre espèces pour évoluer) sont des idéologies qui vont bien dans la manière de penser le monde maçonnique (la lutte productrice).


                      La dialectique marxiste est une dialectique à 2 pôles. C’est la raison essentielle de sa toxicité. C’est une logique qui monte une classe (dominée) contre une classe (dominante). Elle est donc facteur de haine sociale..


                      L’ordre social dans une société traditionnelle qui fonctionne empêche cette guerre perpétuelle entre 2 clans en rajoutant la caste royale et la caste sacerdotale.


                      Chez nous on a laissé la place libre à la ploutocratie quand le Royaume de France fut décapité. Plus de caste royale. Et une caste sacerdotale qui était appelée à péricliter de plus en plus..


                      La véritable dialectique traditionnelle, de type taoïste, est une dialectique à 4 pôles très différente dans son fonctionnement, car cette dialectique ne tend pas à l’affrontement des contraires, mais à leur mariage, leur complémentarité. Dit plus simplement : le 4 permet le retour à l’Unité. Le 2 conduit à l’affrontement.


                      Je signale ici le Cardinal Nicolas de Cues qui fut intéressé toute sa vie par cette coïncidence des contraires.. Il y voyait la moins mauvaise définition de Dieu.. CG Jung repris cette idée plus tard ainsi que Mircea Eliade qui montra l’omniprésence de cette façon de voir dans toute tradition religieuse authentique..


                      Ordo ab chaos = l’ordre par le chaos. Du conflit des antagonismes échoira l’ordre nouveau.

                      Pour cela, la maçonnerie tient d’une main la gauche socialiste, de l’autre la droite libérale, et monte en épingle le débat politique sur ces antagonismes-ci.

                      Cela lui permet, en tenant les deux bouts de cette dialectique politique, d’être sure de tenir la « synthèse » politique.


                      Je ne sais pas si c’est vraiment leur optique. Si c’est le cas il s’agit de façon claire de personnes qui jouent aux apprentis-sorciers. Car l’Ordo ab chaos ne se décrète pas. Elle est la façon de fonctionner de la nature et se mettre à sa place pour provoquer les choses est luciférien et prométhéen de nature...


                      Nous sommes donc à moitié d’accord.... smiley


                    • soi même 24 mars 2013 16:58

                      Oui, vous avez raison FFi, c’est pour cela qu’il s’appel fils de la veuve !


                    • Claude Courty Claudec 13 juillet 2014 09:56

                      A propos de pyramide et de tout ce qui s’y rapporte.

                      Et si la pyramide avait une signification moins ésotérique et plus simplement en rapport avec la condition humaine, telle qu’ont pu la considérer les civilisations les plus anciennes et les plus reculées ?

                      Voir à ce sujet divers articles et schémas du blog :

                      http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON






Les thématiques de l'article


Palmarès