Colombes : Une tombe et des habitats indignes
Il a besoin d’être valorisé notre patrimoine local ?
Là il est même directement russe et bien enseveli notre patrimoine.
Puisque les tombes d’immigrées aristocrates interpellent la Commune je vais vous parler des autres immigrés qui sont venus s’installer sur la ville dans ces mêmes années.
En 1911 sur 22 735 Colombiens 1101 personnes étaient d’origine étrangère et en 1931 sur 57 098 habitants ils étaient 5196 à ne pas être nés en France.
Olga Paley logeait peut être dans des hôtels particuliers à Boulogne ou sur Paris. Nos travailleurs immigrés colombiens vivaient eux au Petit-Colombes. Dans les registres des hôtels de ce quartier on y a relevé 50 noms de travailleurs d’origine polonaise, tchèque, allemande, italienne et portugaise. Sur le secteur Buffon un hôtel hébergeait 40 hommes d’origine algérienne (à cette équipe l’Algérie était un territoire français).
Ces immigrés vivants sur la ville ont participé à la construction vers 1920 des Habitations Bon Marché de leur propre commune.
Olga Paley pour sa part participait elle aussi à l’expansion du Bon Marché mais là c’est le magasin.
En 1962 il a été recensé sur la ville 4,6% d’étrangers. Mais c’est seulement en 1966 que l’habitat indigne que l’on appelait à l’époque les bidonvilles commençait à disparaitre rue Paul Bert, rue Maréchal Joffre et sur le quartier du Petit-Colombes rue des Côtes d’Auty, rue de Metz, rue Colbert et rue Gabriel Péri et bien sur aux Canibouts pour être remplacer par des HLM.
Ils sont eux aussi enterrés dans nos cimetières communaux.
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