Hallala

@JL
Non, on ne peut pas et on n’a pas le droit de rire de tout. Essayez donc une plaisanterie sur la Shoa, sur les fouilles pour retrouver les chambres à gaz d’Auschwitz.... Personne ne rigolera, et vous risquez de gros problèmes. Il n’y a que le petit cercle des initiés qui peut se permettre....
Donc, on ne peut pas rire de tout !

Un bon mot d’une bobo. Derrière votre sourire béat on sent déjà la putréfaction. Ma pauvre fille, je vous plains. mais je n’irai pas pleurer quand votre tête roulera.

@Trelawney
La villégiaturiste qu’a gouté du gros raifort russe, et que même, ça lui a donné une pêche d’enfer, comment vous permettez-vous de juger avec autant de mépris cette policière qui fait son boulot et qui ne s’en laisse pas conter ? Avez-vous seulement le dixième de son courage, face à une telle pression ? Taisez-vous donc. Au retour, passez me voir par Min-Vodie. Venez parfaire votre cure dans la région....

@TOUSENSEMBLE OU L ECUREUIL ROUGE
Regarde plus haut, et si tu ne comprends pas, viens en Russie faire une cure. Ariane en Liberté écolo, tu en parles avec plus de respect, idiot !

@ Ariane
J’ai trouvé bien peu d’empathie pour les victimes de ce massacre dans vos lignes Ariane. Car il s’agit bien d’un massacre. Moi aussi je vis en Russie, par pour des vacances comme l’autre excitée, mais je suis, j’étais de Nice. Connais bien ! J’ai vu comme vous les vidéos des ces corps immobiles et des gens fous de douleur. Je trouve de mauvais gout que l’on traite d’un ton léger autour de cet évènement.
Quant à la querelle sur la lâcheté de ce pauvre ministre acariâtre, prêt ouvertement à toutes les bassesses pour se disculper, il montre bien son indignité. La pression portée sur la jeune policière, du fait de son poste de ministre, relève ni plus ni moins que du viol par ascendant. Cette femme cheffe, qui n’a peut-être pas vu le camion circuler sur la prom dans la journée, (je ne connais pas ses horaires de travail !), blesse les sympathisants de ce ministre, parce qu’elle refuse d’obtempérer et de se livrer à produire en conscience, un faux, ou un « falsifiable ».
La justice, espérons, non maçonnique, tranchera.
En attendant, pensez encore à ces innocents, à ces familles, aux proches dans la douleur et l’hébétude. Ne plaisantez pas, même si le style est professionnel, il y a trop de malheur.
Et on nous en annonce d’autres à venir, comme avant celui-là. Où serez-vous ? Êtes-vous le prochain ? Suis-je le prochain ? Quand je serai mort, je m’en foutrai, en attendant je pleure ces victimes du sionisme.