Rédaction | Depuis | Articles publiés | Commentaires postés | Commentaires reçus |
---|---|---|---|---|
L'inscription | 0 | 2 | 0 | |
1 mois | 0 | 0 | 0 | |
5 jours | 0 | 0 | 0 |
4) La quatrième stratégie des partisans à tous crins de la vaccination consiste à insuffler la PEUR. Pensez par exemple aux millions de victimes de la grippe espagne, une forme de grippe aviaire. Vu la soi-disant très prochaine menace d’une nouvelle épidémie mondiale de grippe aviaire, la vaccination et le recours aux médicaments allopathiques (genre Tamiflu) s’imposeraient avec évidence.
Il convient en réalité de relativiser beaucoup dans ces affirmations pour le moins très catégoriques.
Concernant la grippe espagnole, il convient de noter que ceux qui en sont morts sont avant tout ceux qui ont eu recours à la médecine « traditionnelle », c’est-à-dire qui se sont justement fait vacciner et ont eu recours à la triste aspirine de l’époque (dont les effets mutagènes ne sont plus à démontrer, en tout cas pour l’aspirine de l’époque, sur le virus de la grippe de l’époque).
Est particulièrement éloquent cet article datant de 1921 et que l’on peut retrouver sur ce site : http://www.planete-homeo.org/interna/echos/winston/grippe.htm
"Voici un article intéressant publié dans ’The Journal of the American Institute of Homœopathy’ de 1921 sur la grippe espagnole, regroupant les constatations d’une cinquantaine de médecins homœopathes américains après l’épidémie grippale. C’est assez instructif... Je remercie ici Julian Winston qui m’a adressé cet article de sa bibliothèque personnelle.
Dans une usine de 8000 ouvriers, nous n’avons eu qu’un seul décès. Les patients ne sont pas décédés par abus de médicaments. Gelsemium a été pratiquement le seul remède utilisé. Nous ne nous sommes pas servis d’Aspirine ni de vaccins.
- Frank Wieland, M. D., Chicago.
L’absence du traitement habituellement prescrit a été également un élément du très bon résultat dans cette usine.
- Burton Haseltine, M. D., Chicago.
Il y a un remède qui directement ou indirectement a été responsable de plus de décès que la grippe elle-même. Vous connaissez tous ce remède. C’est l’acide salicylique. L’histoire de l’Aspirine a été imprimée. Aujourd’hui, vous ne savez pas que l’acide salicylique a une action calmante. Elle est nuisible de deux façons. Son action indirecte provient du fait que l’Aspirine a été administrée jusqu’à un épuisement du patient qui développe une pneumonie.
- Frank L. Newton, M. D., Somerville, Mass.
Je n’ai pas perdu un seul cas de grippe ; mon pourcentage de décès dans les pneumonies était de 2,1%. Les salicylés, Aspirine et Quinine comprises, étaient presque les seuls recours de l’ancienne école et on entendait couramment les allopathes dire qu’ils avaient 60% de décès dans les pneumonies..
- Dudley A. Williams, M. D., Providence R. I.
Trois cent cinquante cas et un seul décès, une pneumonie négligée qui m’est arrivée après avoir pris une centaine de grains (ancienne mesure : 0,05g soit 5g d’Aspirine) d’Aspirine en 24 heures.
- Cora Smith King, M. D., Washington, D. C.
Dean W. A. Pearson of Philadelphia a recensé 26 795 cas de grippe traités par des praticiens homœopathes avec une mortalité de 1,05% alors que la mortalité moyenne était de 30% chez les tenants de la vieille école.
Le taux faible de décès que j’ai eu à Camp Lee était uniquement du au fait que je n’ai pas du tout utilisé d’Aspirine. J’ai reçu les compliments de l’officier médical en chef pour avoir eu le taux de décès le plus bas de l’hôpital. Une fois que l’officier médical en chef a noté l’effet de l’Aspirine sur le sang et les résultats obtenus dans mon service en utilisant l’homœopathie, il a recommandé de ne plus employer l’Aspirine et le taux de mortalité a baissé très rapidement après cette décision.
- Carleton A. Harkness, M. D., Chicago.
Dans l’hôpital Hahnemann de San Francisco, les remèdes homœopathiques agissaient de manière curative, alors que, avec les autres thérapeutiques, le résultat n’était que palliatif.
- Laura A. Hurd, M. D., San Francisco.
Mille cinq cent cas ont été rapportés à la Société Médicale Homœopathique du District de Colombia avec seulement quinze décès. Les guérisons à l’Hôpital Homœopathique National étaient de 100%.
- E. F. Sappington, M. D., Philadelphia.
J’ai soigné plus d’une centaine de cas sans aucun décès. Je ne me suis jamais écarté du traitement homœopathique. Je n’ai jamais prescrit d’Aspirine. Un seul cas auquel avait été prescrit de l’Aspirine avant que je ne le prenne en charge, et qui m’avait été adressé par un médecin de l’ancienne école, est décédé. Cette épidémie devrait nous inciter à renouveler notre foi en l’Homœopathie.
- G. H. Wright, M. D., Fores/. Glen, Md.
L’Aspirine allemande a tué plus de malades que les obus allemands.
- C. J. Loizeaux, M. D., Des Moines, Iowa.
Je me souviens de l’Acétanilide lors de l’épidémie de 1889 et de ses décès. Dans cette épidémie je savais que l’Aspirine et les dérivés du goudron de houille tueraient plus de malades que la maladie elle-même et c’est ce qui est arrivé. Un médecin de la vieille école m’a dit qu’il avait compris que l’Aspirine tuait ses patients et qu’il avait arrêté de la prescrire et avait fait confiance aux remèdes homœopathiques et éclectiques.
- E. B. Finney, M. D., Lincoln, Neb.
Trente médecins du Connecticut ont répondu à ma demande d’informations. Ils ont fait mention de 6602 cas avec 55 décès, soit moins de 1%. Dans le service de transport, j’ai eu 81 cas. Tous ont guéri et ont été débarqués. Ils ont tous reçu un traitement homœopathique. Un bateau a perdu 31 hommes.
- H. A. Roberts, M. D., Derby, Conn.
L’Homœopathie a sauvé des patients présentant la grippe associée à une pneumonie, une évolution défavorable a toujours suivi la prise de dérivés des goudrons de houille, l’Aspirine en particulier.
- W. H. Hanchett, M. D., Omaha, Neb.
Avec l’Association Hahnemannienne Internationale, j’ai pu rassemblé 17 000 cas de grippe avec une mortalité de 4%.
- G. B. Stearns, M. D., New York.
J’ai eu 300 cas et un seul décès ; un bon médecin homœopathe a eu 275 cas sans aucun décès. Je suis officier de santé de ma ville. Un praticien de l’ancienne école a eu 294 cas et a fait mention de 15 décès. L’Aspirine et la chaux iodée étaient les remèdes utilises par la vieille école.
- H. H. Crum, M. D., Ithaca, N. Y.
J’ai traité 455 cas de grippe et 26 pneumonies sans aucun décès. Remèdes : Gelsemium, Bryonia, Apis, etc.
- T. G. Barnhill, M. D., Findlay, Ohio.
L’importance des remèdes homœopathiques a été soulignée ; 24 parmi les 42 cas qui ont utilisé les vaccins ont eu la grippe et il y eut 8 cas de pneumonies, les vaccins ont donc échoué en tant que prophylaxie.
- W. L. Love, M. D., Brooklyn.
Sept praticiens ont rapporté 3600 cas avec 6 décès. Pour ma part, j’ai eu 750 cas avec un seul décès. Gelsemium, Bryonia et Eupatorium étaient les principaux remèdes.
- F : A. Swartwout, M. D Washington, D. C.
Plus l’Aspirine, la Codéine la solution de Dobell et quelques autres remèdes non homœopathiques étaient utilises, plus lente était la guérison.
- James W. Ward, M, D., San Francisco
La mortalité du régiment fut de 25,8% en cas de pneumonie. Le lieutenant responsable a décidé d’arrêter l’Aspirine, la Digitaline et la Quinine et la mortalité a chuté rapidement à 15% sans aucun remède. Ceci dans un seul pavillon. Après quoi la même décision a été prise dans les autres pavillons et la mortalité tomba également à 15% sans aucun remède.
- W. A. Pearson, M. D., Philadelphia.
J’ai traité 618 cas et ai eu 5 décès. Sur les 5, 3 avaient eu un traitement allopathique.
- R. S. Faris, M. D., Richmond, VA
Un médecin dans un hôpital de Pittsburgh demandait à une infirmière si elle connaissait un traitement meilleur que celui qu’il pratiquait, car il perdait beaucoup de patients. « Oui, Docteur, arrêtez l’Aspirine et allez dans une pharmacie homœopathique. » Le Docteur répondit : « Mais, c’est de l’Homœopathie ! » « Je le sais, mais les médecins homœopathes avec lesquels j’ai travaillé, ne perdait aucun patient. »
- W. F. Edmundson, M. D., Pittsburgh.
C’est rare qu’une pneumonie ne se développe si un bon médecin homœopathe est appelé dans les 24 premières heures d’une poussée de grippe. Une mortalité épouvantable vient des résultats funestes de fortes doses d’Aspirine, de préparations salicylées et à base d’opium.
- A. H. Grimmer, M. D., Chicago.
Murphy, de Lansing, Michigan, a traité 325 cas de grippe dans un camp où la mortalité avait été de 20%, alors que la mortalité avec son traitement homœopathique était inférieure à 3%.
- W. H. Wilson, M. D., Chicago.
J’ai traité 1,000 cas de grippe. J’ai les dossiers pour témoigner de mon travail. Je n’ai eu aucun décès à déplorer. S’il vous plait, faites entière confiance à l’Homœopathie et n’en donner aucune à la méthode Scotch-Irish-American ! (? ?)
- T. A. McCann, M. D., Dayton, Ohio.
Pendant le mois d’Octobre, 1918, j’ai traité 200 cas de grippe avec un seul décès.
- W. R. Andrews, M. D., Mannington, W. Va.
Dr. M. I. Boger of Portsmouth, N. H., a traité 331 cas avec 2 décès.
Dr. G. G. Bascom of Lake Wilson, Minn., 300 cas sans aucun décès.
- E. C. Price, M. D., Baltimore.
Le mot Homœopathie désigne la thérapeutique médicale la meilleure et la plus utile en cette année 1919.
- O. S. Haines, M. D., Philadelphia.
J’ai traité 267 cas de grippe. Aucun décès.
- A. B. Hawes, M. D., Bridgewater, S. D.
En un mois, j’ai traité 65 cas de grippe avec un seul décès et c’était un patient tuberculeux.
- F. C. Thornhill, M. D., Alma, Mich.
Un des principaux pharmaciens de Montréal a dit au Dr. T. A. McCann qu’ils avaient perdu 900 patients de grippe. Lorsque ce dernier a demandé quel remède ils avaient le plus employé, il a répondu que l’Aspirine était le remède le plus utilisé. Les prescriptions étaient de prendre un cp de 250 mg toutes les 3heures, mais beaucoup ont pris le double toutes les trois heures. Tout commentaire est inutile.
Soixante seize cas ont été comptabilisés dans l’Hôpital pour enfants sans aucun cas de pneumonie, ni décès. La majorité des cas était sous Bryonia et Gelsemium, qui ont paru réussir à les guérir totalement.
- J. G. Dillon, M. D., Fargo, N. D.
Selon mon expérience, Gelsemium était presque toujours le premier remède à considérer et a été efficace si utilisé dès les premiers symptômes.
- E. B. Hooker, M. D. Hartford, Conn.
Une boite de 1000 cp d’Aspirine m’avait été donnée, il m’en est resté 994. je pense en avoir utilisé une demi-douzaine. Je n’en ai pas trouvé l’indication. Je n’ai prescrit que quelques remèdes, presque toujours, Bryonia et Gelsemium. Je n’ai presque jamais eu de décès si j’étais consulté en première intention, sauf si le patient avait été dans une pharmacie et avait acheté de l’Aspirine, et dans cette éventualité, je devais prendre en charge un cas de pneumonie.
- J. P. Huff, M. D., Olive Branch, Ky.
L’aspirine et les autres dérivés du goudron de houille ont été responsables d’un grand nombre inutile de décès. L’Aspirine est le médicament le plus nocif. Il séduit par son action rapide de sédation de la douleur, soulagement qui est trompeur. Dans plusieurs cas, l’Aspirine a affaibli le cœur, déprimé les forces vitales, accru la mortalité dans des cas peu graves et allongé la convalescence. Dans tous les cas, il a compliqué la symptomatologie et rendu beaucoup plus difficile le choix du remède curatif. En apparence, l’Aspirine n’a amené aucune guérison et il devrait être interdit.
- Guy Beckly Stearns, M. D., New York.
On a demandé à un millier de médecins éclectiques de citer le nom des remèdes les plus utiles dans la grippe et les pneumonies. Plus de 75% ont cité Aconit et Bryonia dans la pneumonie.
- Lloyd Brothers, Cincinnati.
Une recherche expérimentale menée dans le Laboratoire d’Hygiène de Washington, D. C., n’est pas parvenue à montrer un rôle actif en faveur de la vaccination dans la pneumonie. Imaginez un tel aveu s’il s’était agi de nos remèdes bien éprouvés comme Gelsemium, Rhus tox., Eupatorium etc., dont les indications sont immuables, précises, invariables et constantes.
- Homeopathic Recorder, October, 1920.
Dans le Service de Santé publique au Nouveau Mexique, Veratrum viride, Gelsemium et Bryonia ont été principalement utilisés dans la population mexicaine avec d’excellents résultats dans le traitement de la grippe. Il n’y eut aucun décès sous traitement homœopathique.
- C. E. Fisher, M. D., Chicago.
Les raisons pour lesquelles les enfants réagissaient mieux que les adultes dans l’épidémie grippale étaient : premièrement ils étaient amenés plus tôt en consultation ; deuxièmement, ils n’avaient pas reçu de ‘remèdes sûrs’ ; troisièmement, on ne leur avait pas donné d’Aspirine ; quatrièmement, ils avaient été alités ; et cinquièmement, on leur avait donné le remède adéquat et avait donc eu une meilleure chance.
- Dr. J. P. Cobb, Chicago.
Tous les patients que j’ai pu perdre lors de l’épidémie de grippe avaient pris de l’Aspirine de leur propre chef avant que je ne les examine.
- W. P Best, M. D., Indianapolis.
Certains peuvent résister à l’Aspirine, d’autres peuvent résister à la grippe, mais il n’y a personne qui peut résister aux deux.
- Dr Taylor, Philadelphia.
Gelsemium ne déprime pas le cœur et est supérieur à l’aspirine et aux autres dérivés d’hydrocarbures dans toutes les formes de grippe.
- J. A. Munk, M. D., Los Angeles.
On a conseillé à de nombreux patients de prendre de l’Aspirine en tant que remède prophylactique de la grippe et de la pneumonie grippale. Une femme en a pris 240 grains en 48 heures (1,20 g). Elle a été hospitalisée pour une scarlatine du fait des plaques érythémateuses sur le corps. De nombreux cas hospitalisés au Haynes Memorial avaient absorbé Aspirine, Codéine, Morphine et Digitale. Les responsables politiques ont félicité notre hôpital pour son traitement homœopathique de la grippe. Ils ne sont pas tous d’accord cependant, mais ils ont le sentiment à Boston que nous avons un très bon traitement de la grippe.
- Samuel Clement, M. D., Boston.
Pendant l’épidémie de grippe espagnole, Presque tous les patients qui en sont morts avaient pris de l’aspirine. Presque tout le monde croyait en son efficacité car elle soulageait l’angoisse et ‘ne pouvait faire aucun mal.’ La conséquence en fut des milliers de morts qui auraient pu vivre s’ils avaient accepté de supporter un certain inconfort pendant une courte période. Ils mourraient comme des mouches autour d’un plat de poisson bien que la ‘Science’ faisait tout ce qui pouvait être fait pour les ‘sauver’.
- A. F. Stevens, M. D., St. Louis.
Nous avons soigné plus de 300 cas de grippe parmi les membres du ‘the Student Army Training Corps sans aucun décès. Gelsemium, Bryonia et Ferrum phosphoricum ont été les remèdes principaux. Seuls les cas qui avaient pris de l’aspirine eurent une convalescence prolongée avec des complications pulmonaires.
- C. B. Stouffer, M. D., Ann Arbor.
Parmi les quelques 150 cas traités lors de l’épidémie de grippe, Gelsemium et Bryonia ont été les principaux remèdes. Il y eut très peu de pneumonie, aucun cas parmi ceux que j’ai traité dès les premiers symptômes. J’ai eu un seul décès, un homme de 60 ans, qui avait de l’asthme et que l’on avait amené sous notre climat du Minnesota au milieu d’un hiver très froid, avec une vraie pneumonie.
- Wm. E. Leonard, M. D., Minneapolis.
J’ai traité environ 50 cas de grippe, j’ai eu deux pneumonies, dont une chez une femme enceinte. Tous ont guéri. Remèdes : Gelsemium, Bryonia et Rhus surtout.
- Wm. Boericke, M. D., San Francisco.
J’ai traité plus de 100 cas de grippe et de pneumonie, j’ai perdu deux patients, un prenait de l’aspirine pour une pneumonie depuis une semaine avant qu’il ne me fasse appel ; l’autre était une forme maligne avec une très forte fièvre depuis le début. Remèdes : Gelsemium, Eupatorium, Bryonia, etc.
- C. P. Bryant, M. D., Seattle.
J’ai traité environ 500 cas avec beaucoup de pneumonie, j’ai perdu deux patients ; je n’ai jamais utilise d’Aspirine et n’ai pas permis qu’elle soit utilisée. Les principaux remèdes utilisés étaient Belladona, Gelsemium, Sticta, pour les symptômes pharyngés, Mercurius, Natrum muriaticum et Kali muriaticum.
- A. B. Palmer, M. D., Seattle."
Bref, méfiez-vous de ce que les prétendus scientifiques vous concoctent avec la grippe aviaire !
Au sujet de la grippe aviaire ou plutôt du mythe de cette prétendue future épidémie mondiale, je vous invite à vous rendre par exemple sur ce site anglais : http://www.newmediaexplorer.org/sepp/2006/11/24/tamiflu_vaccines_may_spark_ pandemic_bird_flu.htm
On a y apprend des choses très « étonnantes », comme par exemple que la quelque toute petite centaine de personnes mortes de grippe aviaire en Asie (en 5 ans en plus !) avaient ceci de commun d’être pour la plupart des enfants et d’avoir été surmédicamentés en différents produits fortement immunodépressifs ainsi qu’en différents antibiotiques cytotoxiques.
En outre, les morts en question vivaient dans des zones où règnent des maladies de façon endémique : fièvre, diarrhée chronique, les sources d’eau utilisées pour boire et se laver ... sont également celles-là mêmes où viennent s’abreuver les animaux.
Dans ces conditions, c’est à se demander si le virus de grippe aviaire était vraiment utile pour expliquer ces morts !
Evidemment, dans nos riches contrées, le scénario est d’ores et déjà prévisible : le futur vaccin contre la grippe aviaire et le Tamiflu provoqueront chez certaines personnes, voire même chez de nombreuses personnes (cf la grippe espagnole et le vaccin de l’époque et l’aspirine de l’époque) des symptômes analogues à de la grippe mais il sera prétendu par les « experts » que c’est bien sûr la terrible grippe aviaire qui les cause.
Le scénario est si prévisible.
Mais bon, on s’éloigne du sujet de la vaccination.
Ce post avait finalement pour objet de montrer qu’il y a vraiment des tas de choses qui ne vont pas avec les vaccins, et que si ceux-ci ne doivent pas forcément systématiquement être rejetés, la plupart du temps il vaut mieux les éviter !
Mais pour discerner le grain de l’ivraie, il serait plus que temps que des scientifiques réellement objectifs, non liés de près ou de loin aux industries pharmaceutiques, puissent avoir droit au chapitre, examinent les travers de la vaccination avec objectivité et formulent de nouvelles recommandations ...et non des obligations vaccinales !
Bonjour à tous. Ceci est mon premier message sur ce forum, donc, désolé, si techniquement, ce n’est pas forcément au point (j’espère que je serai en mesure d’insérer les liens désirés). D’ailleurs, je n’ai pas vraiment l’intention de souvent intervenir dans ce forum-ci.
Ce message sera envoyé en plusieurs parties car il paraît trop long pour le forum.
Je ne suis pas très intéressé par le sujet des vaccins. J’en ai déjà assez lu pour comprendre que les vaccins sont le plus souvent inutiles, mais il est vrai que parfois, leurs très rares avantages peuvent - parfois - surpasser leurs innombrables inconvénients : ainsi, supposons qu’un vaccin soit un jour mis au point pour prévenir le cancer de l’utérus, je ne doute pas un instant qu’il sera vivement recommandé d’administrer ce vaccin aux personnes dont on a raison de penser que cette forme de cancer est « génétiquement transmissible ».
En réalité, si j’interviens, c’est parce que je suis vraiment frappé par la façon de procéder sur ce forum des partisans à tous crins de la vaccination, laquelle est fort similaire à ceux (c’est-à-dire presque tout le monde, comme si le consensus était synonyme de vérité scientifique) qui prétendent que le sida serait causé par le « VIH » (à ce sujet, pour ceux qui vivent encore au temps de la préhistoire du sida, à savoir qui croient encore que le « VIH » existe en tant que rétrovirus exogène, aurait été isolé chez ne fût-ce qu’un seul sidéen ou de manière générale, pensent que le sida serait causé par le « VIH », je les invite à lire par exemple les 153 interventions d’Eleni Papadopulos-Eleopulos (hélas en anglais) http://www.rethinking.org/bmj/BMJ-Author.html#Papadopulos-Eleopulos__Eleni formulées récemment pendant un débat scientifique qui a opposé durant deux ans orthodoxie et dissidence du sida, lesquelles interventions ridiculisent à tout jamais et pour le restant de l’éternité l’hypothèse rétrovirale du sida ; la circonstance que le sida n’est évidemment pas causé par le « VIH » n’implique pas pour autant que le sida n’existe pas : les maladies englobées parfois artificiellement sous le vocable « sida » existent bien sûr, mais sa cause est ailleurs que dans une contamination par je ne sais quel rétrovirus « VIH », à savoir l’exposition durable à de forts agents oxydantrs : lisez par exemple www.theperthgroup.com).
1) L’une des premières stratégies des partisans à tous crins de la vaccination consiste à invoquer la SOI-DISANT SUPERIORITE DE LEURS CONNAISSANCES, par exemple en déclarant que l’on travaille depuis X années dans tel domaine pointu relevant de près ou de loin de la vaccination et que l’on sait donc de quoi on parle. En fait, ils sont à la fois juge et partie. Comment pourrait-on alors leur accorder une confiance qu’ils réclament au surplus absolue ?
Et comme si tous ceux qui étaient contre la vaccination (je dis bien la vaccination « en général », car même de nombreux opposants disent eux-mêmes que dans des cas extrêmes, la vaccination peut être un bienfait) étaient forcément des ignares et des imbéciles ? Il y a bien sûr des tas de scientifiques de très haut niveau qui émettent depuis des décennies des critiques très approfondies sur les vaccins, sauf que la presse n’en parle quasiment pas, trop soucieuse qu’elle est de se référer à la « sagesse scientifique conventionnelle » (quand bien même celle-ci ferait fausse route) sans le moindre esprit d’investigation.
Pour ne citer qu’un exemple très récent (avril 2006), allez par exemple à cette adresse-ci (hélas en anglais ; finalement, c’est bien normal, car en France, la médecine en général en est encore au temps de la préhistoire) : http://www.straight.com/article/vaccines-show-sinister-side
Qu’est-ce qu’on y apprend ?
Un neurologue de Vancouver a clairement établi un lien entre l’hydroxyde d’aluminium utilisé dans (presque) tous les vaccins et les symptômes associés à la maladie de Parkinson, la sclérose latérale amyotrophique (ALS ou maladie de Charcot) et la maladie d’Alzheimer. Or il se fait que l’hydroxyde d’aluminium est un adjuvant stimulant la réponse immunitaire, que l’on utilise quasi systématiquement dans tous les vaccins ..... depuis plusieurs décennies ! Ainsi le retrouve-t-on dans les vaccins contre l’hépatite A et B ainsi que dans le cocktail pentavalent contre la diphtérie, la coqueluche, le tétanos, la polio et une sorte de méningite. Evidemment, la théorie de ce neurologue a été éprouvée par cinq scientifiques des universités de Colombie-Britannique et de Louisane , en injectant par exemple le vaccin contre l’anthrax développé pour la première guerre du Golfe. Rappelons-nous en effet que le syndrome de la guerre du golfe ressemble beaucoup à l’ALS, et tous les soldats mobilisés pour cette guerre furent justement vaccinés avec un composé d’hydroxyde d’aluminium. Et même une partie de ceux qui ne furent pas envoyés dans le Golfe ont développé des symptômes semblables à un taux similaire, et ils avaient ceci de commun d’avoir justement été vaccinés. Or, dans cette expérience, après 20 semaines d’études, les scientifiques en question ont mis en évidence des augmentations importantes de l’anxiété (38%), de déficits de mémoire (41 fois plus d’erreurs que dans le groupe témoin) et d’allergie à la peau (20%). Des prélèvements de tissus effectués sur les souris sacrifiées ont montré des cellules neveuses nécrosées. Dans la zone contrôlant le mouvement (cf entre autre la maladie de Parkinson), 35% des cellules étaient détruites.
Après de tels résultats, les scientifiques en question ont décidé de ne plus jamais se faire vacciner ... et on les comprend aisément !
Bien entendu, la prétendue parade par les partisans à tous crins de la vaccination est déjà prête : ils diront, et à juste titre d’ailleurs, qu’environ 10.000 études ont démontré l’innocuité de l’hydroxyde d’aluminium dans les injections. Mais ils se garderont de vous dire qu’aucune de ces 10.000 études n’a été conduite au-delà des premières semaines suivant l’injection !
Et encore, on ne parle ici que de l’hydroxyde d’aluminium. C’est sans compter sans les innombrables autres poisons contenus dans les vaccins.
Pour ma part, je vois un homéopathe pour commencer une cure de « désintoxication », laquelle va durer de nombreux mois en raison des nombreux vaccins que j’ai reçus durant ma vie.
2) La deuxième stratégie utilisée consiste à recourir à l’EMOTION, genre que l’on n’a jamais vu mourir dans d’horribles souffrances un enfant malade de la coqueluche. Ce qu’ils se garderont toutefois de vous préciser, c’est que la quasi majorité des enfants mourant - déjà très rarement - de maladies infantiles dans nos riches contrées avaient déjà une constitution très affaiblie ou étaient nés avec une malformation quelconque. Il va de soi que dans ces cas-là, la vaccination contre la plupart des maladies infantiles est vivement recommandée. Mais pour la quasi majorité des autres enfants, en bonne santé, bien nourris, les « protéger » contre les maladies infantiles relève de la stupidité : vous empêchez ces gens de développer leur immunité correctement contre des maladies contre lesquelles ils guériront sans problème. Alors, oui, avec ces vaccins, les enfants en question ne feront plus les maladies en question, mais sont-ils vraiment gagnants au change ? Rien n’est moins sûr : non seulement leur immunité n’est pas aussi forte mais en plus, Dame Nature aura tendance à faire naître d’autres germes bien plus puissants et plus dangereux que les germes causant les maladies infantiles. Evidemment que dans les pays du tiers-monde, la vaccination contre les maladies infantiles est recommandée. Mais en réalité, ce qu’il faudrait faire, ce n’est pas de les vacciner mais bien de lutter contre la pauvreté. Ce dont les peuples du tiers-monde ont besoin, ce n’est pas de vaccins, mais bien de fermiers (pour être correctement nourris) et de plombiers (bonnes conditions d’hygiène) ! Bref, c’est le terrain qu’il faut améliorer.
3) La troisième stratégie consiste à recourir à l’AMALGAME, par exemple en déclarant que les opposant aux vaccins seraient systématiquement opposés aux vaccins et à tout ce qui est lié de près ou de loin à la médecine, par exemple les antibiotiques. Evidemment que les opposants aux vaccins ne sont pas forcément contre les antibiotiques. Mais avant de recourir aux antibiotiques, il faut encore une fois améliorer le terrain. Ce n’est que dans les cas extrêmes, et qu’on ne peut vraiment plus faire autrement, que le recours aux antibiotiques s’impose et est même vivement recommandé, mais pour un temps le plus limité possible.
PS : Techniquement, je n’arrive pas à insérer les liens internet comme le font certains autres. Mais ils peuvent les copier dans leur navigateur et arriver aux sites en question.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération