Frappé très tôt de cyclothymie je navigue entre amour et haine pour mon prochain.
Fort heureusement le fil du temps aiguise en moi l'unique réalité : jeunesse !
Vedder, D’autres victimes ? Y ’en a plein... regarde tous ces couillons qui ont soudainement changé de prénom, parmi eux des veaux certes, mais aussi des jeunes. Et les jeunes c’est con, tout le monde le sait. BFM aurait sauter ? Ouiii exactement, enfin presque, avec cet accent aigü typique des explosions d’immeuble ! . Tu nous déclares être troublé par la carte d’identité. C’est ballot, hein ?
Heuu.. tu y vas fort, je trouve qu’il y a pas mal de bonnes réactions à l’événement d’hier, et qu’en règle générale les articles ont du corps et de l’esprit. Compare avec Contrepoints... Il n’est pas rare d’y lire des lignes pondus par des écervelés.
Un bon exposé auquel il manque l’imagination. Je trouve dommage que tu ne puisses synthétiser ces réalités et leurs perspectives, qui seront abusives comme cela a toujours été. Pourtant il semble que tu n’ accordes que peu de confiance au genre humain. Quelle étrangeté, quelle confusion. Il ne m’est pas possible de voter pour cet article ambigu.
La littérature, c’est particulièrement chiant :) A mon goût, je rassure les férus ! par contre, un petit bouquin de temps en temps, quand on se lasse du web ( je n’ai pas la télé ) et qu’on bénéficie d’un bon matelas ainsi que de la lumière adéquate, c’est pas négligeable. Certes, ma dernière lecture date de 2012. Il faut dire que je suis très occupé, mais elle était bonne ! « La guerre des mouches » un roman inconnu, simple, suivi quelques jours après de la transcription du blog de cette femme sud-américaine, qui détaille avec hamour ! sa vie quotidienne et celle de sa petite famille ; Le titre m’échappe, il fait trop froid pour que j’aille quérir cette oeuvre dans la remise, au fond de ma cour. On m’a offert un livre pour noël. Pas une occase comme je les chine, un vrai, tout neuf, un recueil de recettes de santé par les plantes. Hé bien je suis content car les herbes me passionnent. Et je resterait longtemps en bonne forme pour clamer, ici ou ailleurs, que Flaubourg et Tolvaire c’est de la merde.