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Anthony Michel

Anthony Michel

Auteur éditeur d'abord des aventures de Toni Truand (romans argotiques d'espionnage) puis d'essais décalés (Antoine Chimel) puis d'essais ésotériques, philosophiques et politiques :
Résigné et Révolté  ;
L'aNarque, l'Homme-anarchie ;
La Confiance en l'Esprit.

Auteur du projet nommé Les Cahiers d'un Anarchiste conservateur

Plus d'infos sur ses parutions : site de vente | Les livres d'Anthony Michel

« Pour toute info sur mes ouvrages, travaux d'écriture et actions,
n'hésitez pas à me contacter à l'adresse suivante : [email protected] »

Tableau de bord

  • Premier article le 01/07/2015
  • Modérateur depuis le 13/10/2015
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Ses articles classés par : ordre chronologique










Derniers commentaires



  • Anthony Michel Anthony Michel 12 février 2016 02:02

    A réagir uniquement en étiquetant les individus, on finit par ne plus faire marcher son cerveau. Quant à son cœur, on le soumet au règne de l’ego flatté par les apôtres du jugement facile, à l’opposé totalement de la liberté de pensée — en l’occurrence, je pense d’abord à celle du monsieur qui « évolue » avec son distributeur à étiquettes sous la main.
    Ces dernières, justement, ont parfois (ou souvent) été imprimées par d’autres personnes. Alors on les ressort. Comme un perroquet récite les quelques mots qu’il a appris. Et encore ce n’est pas gentil pour lui.
    Restreindre de telle façon sa propre liberté, c’est vrai, ce n’est pas rassurant pour le sort de l’humanité...
    Et attention, celui qui ne se réjouit pas de l’existence de l’utérus artificiel est automatiquement un arriéré dans le sens où il ne s’agit pas d’être humain mais juste un récepteur béat de tout ce qui nous est présenté, notamment par les transhumanistes, comme des progrès incontestables !

    Une dernière remarque autrement, il faudrait que les progressistes qui ont toujours raison (à croire qu’ils défendent une forme d’essentialisme) se mettent d’accord. En effet, dans un commentaire plus bas, il est dit qu’en fait je n’associerais pas tant que ça la demande de recours à la G.P.A. aux couples homosexuels. Au contraire. Ce dont, en fait, je suis d’accord puisqu’il ne s’agit aucunement pour moi de stigmatiser le couple homosexuel. Encore faut-il avoir lu l’article jusqu’au bout.



  • Anthony Michel Anthony Michel 13 novembre 2015 18:27

    @César Castique
    Je veux simplement en venir au fait que le critère de la race n’est pas un critère pour former une civilisation à part entière, même si cette civilisation peut comprendre entre autres un certain nombre de tribus dont l’unité repose sur ce qu’on peut appeler des ethnies.
    Une civilisation peut donc faire cohabiter des autosuffisances tribales pacifiques ainsi qu’une capacité d’entraide inter-tribale assurant l’équilibre entre tribus (ou tous groupes humains constitués en peuples).



  • Anthony Michel Anthony Michel 14 septembre 2015 12:11

    @Hervé Hum

    Le fédéralisme intégral, d’inspiration proudhonienne, ne s’arrête pas à la nation... De plus, si on défend, par exemple, le communalisme, on peut considérer que toute population, sur son territoire communal, cherche légitimement à contrôler qui vient vivre sur son territoire. Encore une fois, il ne s’agit pas de mettre des murs !

    Vous dites ensuite (en ne vous empêchant pas d’user du terme sophisme pour qualifier mon propos, comme si cela apportait forcément du crédit au vôtre) : « le sophisme consiste à nier qu’à l’intérieur d’un corps constitué, c’est la coopération et la coordination qui s’impose devant la concurrence ». Avez-vous l’article jusqu’au bout ? J’y écris bien : « La frontière doit permettre la reconnaissance mutuelle des deux parties qui se situent d’un côté et de l’autre de la première. Ces parties s’autorisent alors, selon la volonté de chacune, tel don, tel échange, telle marque d’affection entre elles. » Je n’ai pas trop détaillé ce propos-là, c’est vrai. Mais tel n’était pas trop le sujet.

    On peut ensuite discuter longtemps — et je ne dis pas ça péjorativement — sur les nuances entre possession et propriété, sur ce que détermine une propriété collective, sur la capacité ou non de déterminer une propriété qui n’engendre pas l’abusus...



  • Anthony Michel Anthony Michel 9 septembre 2015 01:38

    @Céline Ertalif

    Merci de ce très bon complément. Notamment quand vous dites ceci : « La liberté dans la famille, et dans le village, a été tellement réduite que l’expérience de nos concitoyen(ne)s indique le sens inverse de la subsidiarité : pour retrouver la liberté, il a fallu s’extraire de cet enfermement, se jeter dans l’anonymat du grand nombre sous les lumières de la ville qui permettait de retrouver un espace de jouissance avec un contrôle social desserré. Ce désir de liberté individuelle par rapport aux plus petites unité de regroupement humain a été un puissant facteur de soutien à la prolétarisation. »

    Une remarque à propos des décisions aux niveau mondial, je pense que le confédéralisme comme je l’avance — avec des références telles Proudhon ou Bakounine — doit intégrer une institution permettant à une communauté d’échelon territorial inférieur de communiquer directement des décisions à un échelon qui ne se situe pas forcément juste au-dessus. Comme exemple on peut s’en remettre — même si cela concerne un petit pays — à l’Initiative populaire fédérale en Suisse, où 100 000 habitants sur 8 millions peuvent imposer un référendum sur une modification de la Constitution fédérale.



  • Anthony Michel Anthony Michel 8 septembre 2015 20:51

    @ elpepe

    L’adjectif simpliste, accompagné d’aucun autre, laisserait entendre que j’avance des évidences. Comme j’ai déjà pu dire, si mes propos sont parfois des évidences, tant mieux, cela veut dire que tout n’est pas perdu. C’est aussi... simple que ça !
    Vous dites ensuite : « Deja etant anarchiste, par definition je ne suis pas pour quelque chose donc difficile d etre contre. » Je ne comprends pas cette phrase. Si on n’est pas pour, notre interlocuteur est tenté d’imaginer qu’on est contre. En plus, se dire anarchiste plutôt que libertaire, c’est mettre justement en avant l’idée que la liberté est conçue en premier lieu comme une négativité (savoir dire non, ne pas se soumettre, ne pas reconnaître la loi légitime, etc.) plutôt qu’une positivité. Cette remarque n’est pas du tout critique, au contraire !
    Car cela s’inscrit dans un tempérament que je défends, qu’il faut savoir entretenir au nom, d’abord, de notre liberté d’esprit sinon, tout simplement, de notre dignité.
    Là où je ne suis pas d’accord avec vous, c’est sur votre critique aussi acerbe de l’Homme en général... Posture que peut se donner un certain groupe de dits anarchistes actuels qui — en incorporant, en plus, dans leur phrase, quelques mots d’anglais pour faire chic alors que c’est plutôt pour moi un signe d’asservissement (disons au moins que ce n’est pas très original) — semblent s’être détachés d’un pan de l’anarchisme originel qui mettait en avant la confiance en l’individu ; pour une simple et bonne raison que, ne reconnaissant pas le caractère transcendant de la conscience morale, il ne reste que l’immanence ; en d’autres termes, le salut est en nous sinon nulle part. Dans mon livre intitulé L’aNarque, je reprends une phrase de Ernst Jünger (que je ne considère pas comme anarchiste et que je défends mais aussi critique (disons qu’il est l’inventeur de ce concept)) : « Le Salut est dans l’Individu. » J’ajoute alors :« L’Anarchie est dans le Salut. » (Le « dans » est là parce que l’anarchie est prise ici dans un sens spirituel sinon psychologique voire ésotérique.) Ainsi, médire en permanence l’être humain (je ne dis pas que vous le faites) n’est pas digne des premiers anarchistes. A la rigueur, cela fait plutôt penser à « l’aristocratisme libertaire » c’est-à-dire l’anarchisme de droite, ou encore l’anarchisme élitiste s’il doit en exister un, au risque de nourrir alors des contre-sens... Mais moi je me dis bien anarchiste conservateur (titre de mon prochain livre) alors... Mais mes références politiques et sociales restent bien, en matière d’anarchisme, Bakounine et Proudhon... et pas je ne sais quel théoricien de l’anarchisme de droite si, là encore, ça veut dire quelque chose car il n’existe pas vraiment de théorie anarchiste de droite.


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