• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

cacapoum

cacapoum

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 71 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires



  • cacapoum cacapoum 1er février 2013 10:01

    Les enfants répètent souvent les propos des parents dans la cour. Si le chieur de bannières étoilées s’autorise une leçon de modération c’est que la question se fait pressante dans les quartiers maîtres. A suivre...



  • cacapoum cacapoum 2 octobre 2012 22:55

    oui « certaines oeuvres », mais je crois qu’on appelle aussi ça l’art éphémère et que c’est un concept. De quoi méditer non ?



  • cacapoum cacapoum 3 juillet 2012 22:44

    Un article bien écrit, intéressant, concis et qui sonne vrai. Merci l’auteur.



  • cacapoum cacapoum 29 juin 2012 01:00

    Il me semble que qualifier notre époque de celle de la modernité est un peu banal car la modernité n’a pas d« époque. Il convient mieux de la qualifier de celle de l’industrie. L’industrie lourde et toutes ses conséquences. Celle que nous allons - que nous devons - quitter car c’’est l’intérêt de tous, sauf à croire que l’addiction soit trop grande.
    Quant à celle dans laquelle nous entrons : même le plus grand des penseurs philosophe n’est pas qualifié pour la déterminer et il n’appartient pas à nos contemporains de lui donner un nom.
     Nous n’avons que des éléments sur les directions que nous prenons et tentons d’être logique sur la chronologie. Cette logique pourrait bien nous jouer des tours si l’on admet pas qu’une prise de conscience globale et universelle soit possible.

    Notre monde se cherche. On voit par exemple dans les hautes sphères de la société, une »élite", en quête de spiritualité. L’irrationnel se confronte perpétuellement avec le matérialisme tout en essayant d’être complémentaires. Individuellement ça marche peut-être, mais jusqu’où ces 2 là sont-ils capables d’aller à l’échelle de populations, de civilisations ?
    Seule la manipulation à grande échelle permet de contrôler la force de la houle humaine qui sommeille, mais à la moindre faille la direction pourrait bien changer.
    On sait que des détails, des décisions hasardeuses dans notre vie ont changé le cours de notre existence alors pourquoi devrait-on accepter un avenir plutôt qu’un autre comme une fatalité ? Aussi méfions nous de certains penseurs et où ils souhaitent nous amener.
    Perso. même si ce n’est pas facile, l’instabilité et la contradiction ne sont nullement un frein à l’évolution, mais tenter de figer une époque future relève du dogmatisme.



  • cacapoum cacapoum 28 juin 2012 01:03

    Voici modestement quelques idées pour nos penseurs au cas où ils pourraient aussi devenir nos panseurs.

    Les modèles de civilisations tendent quoiqu’on dise à s’uniformiser depuis longtemps et plus ou moins en accélérant, de grès comme de force. Le danger est que les pouvoirs dirigeants en font autant..
    Peut-on imaginer un pouvoir unique dans le monde ? C’est sans doute une des perspectives qui nous effraie le plus et légitimise l’idée du complotisme. Pour ce qui est de notre « monde occidental » en tout cas, cette idée se précise et ne semble pas pour autant provoquer de réaction bouleversante, significative tant l’exercice de ce pouvoir est maitrisé.

    Un autre élément déterminant, déjà évoqué, du modèle sociétal est l’avancée technologique (dont une grande partie nous échappe d’ailleurs probablement). Pour ce qu’on connaît tous, il est sans risque d’anticiper, voire spéculer sur une fusion entre le monde numérique et celui de la génétique. Les débats déontologiques seront bien entendu grand ouverts (sic).

    Je mise fort que la puissance économique repose moins dans l’avenir sur le nombre d’individus, de consommateurs, que ces dernières décennies.
    Il est courant d’entendre parler aujourd’hui de la nécessité de changement de paradigmes. Tout dépend qui en parle, dans quel but et celà risque de devenir très confus à force.
     La prise de conscience sur le mal fait à notre environnement n’arrive pas trop tard pour tout le monde. On va nous demander beaucoup de sacrifices c’est sûr. La dette s’accumule. Mais c’est la dette économique qui compte !
    La banalisation du mensonge marque particulièrement notre époque.

    Du coq à l’âne, le problème de la distribution de l’eau qui de tous temps à fait l’objet de querelles et d’inégalités va croissant et est à prendre en considération. En plus l’eau potable (la vraie) se raréfie et va sans doute devenir très chère !

    Voilà, tout ça n’a pas le romantisme ni peut-être l’objective profondeur de la pensée philosophique.

    Maintenant s’il s’agit juste de mettre un nom a la société qui se profile, je veux bien participer .

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv