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Christian Portal

Christian Portal

Porte-parole du collectif ACECOMED, agir pour une médecine écologique.
Professeur d'éducation physique depuis 1978. J'ai commencé à étudier la médecine traditionnelle chinoise en 1984 et en 1986 j'ai créé l'association Sun Simiao pour laquelle je suis conseiller technique depuis cette période. Cette formation s'est terminée en 1994.
Par la suite, je me suis intéressé aux médecines non conventionnelles en général, et en particulier à leurs aspects institutionnels. Après un bref passage chez les Verts, globalement décevant, en particulier par leur incapacité à intégrer l'écologie jusqu'au cœur de la médecine. Cela m'a conduit en octobre 2006 à organiser un colloque sous le patronage de Jacques Boutault, maire Vert du deuxième arrondissement de Paris, sur le thème des médecines écologiques.
Les intervenants de ce colloque ont constitué le collectif ACECOMED qui a pour but de mettre en relation via le site internet www.acecomed.eu toutes les expériences et créer un réseau relationnel pour favoriser l'institutionnalisation des médecines non conventionnelles et promouvoir les alternatives écologiques médicales. La liberté thérapeutique étant un aspect essentiel de notre action.
Nous avons également rédigé un "Manifeste pour une médecine écologique" qui en pétition sur internet. Il a été signé par des personnalités de premier plan, mais aussi par plusieurs milliers de citoyens.
 

Tableau de bord

  • Premier article le 09/10/2007
  • Modérateur depuis le 18/01/2020
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Ses articles classés par : ordre chronologique









Derniers commentaires



  • Christian Portal Christian Portal 3 février 2010 08:23

    Bonjour,

    Tout d’abord, l’article est tout à fait intéressant dans son argumentaire général. Bien sûr, on peut regretter que la solution du manger cru soit présentée comme une panacée. Il est sans doute utile, et peut-être pas pour tout le monde, de manger cru mais on discrédite l’ensemble d’une publication quand on réduit les conditions d’une bonne santé à cela. D’ailleurs, si on lit l’article avec un peu de bonne foi, ce qui ne semble pas le cas de certains commentateurs, on constate qu’il est beaucoup plus mesuré que ces derniers ne le laissent entendre.

    Je partage une bonne part de l’analyse de l’auteur car le problème qu’il pose, et que ne veulent pas voir certains lecteurs, c’est que nous sommes sous la coupe d’un système qui a intérêt à ce que nous soyons malades. Alors, bien sûr, ce système sauve des gens mais il en tue aussi beaucoup (13 000/an en France avoués pour les effets indésirables des médicaments). Le problème est l’aveuglement de beaucoup qui pensent encore que le système est bon, efficace et au service du public. J’ai fait la démonstration dans mon livre « Pour une médecine écologique », paru aux éditions Alphée*Jean-Paul Bertrand en mai 2009, que notre médecine est devenue bien trop coûteuse, de moins en moins efficace et de plus en plus polluante.

    Cordialement

    Christian Portal



  • Christian Portal Christian Portal 27 mai 2009 09:02

    Comme chaque fois, devant des informations difficiles à vérifier, on est tenté de croire ce qui arrange nos convictions. Faute d’avoir les données de première main, on est quelque peu en difficulté. Pourtant, je suis tenté de croire davantage la réaction que l’article lui-même. Le commentaire de Voltaire me semble intéressant car ce n’est pas celui d’un opposant.

    Je constate souvent que de mauvais arguments viennent soutenir de justes causes. Et parce qu’elles sont justes, on évite de trop s’interroger sur la véracité des faits. Néanmoins, dans ce cas précis, quelque soit la cause initiale de la résistance de l’amarante (sans H), elle trouve son origine dans le système agricole moderne.

    Qu’un microbe mute en raison de la pression des antibiotiques ou à cause de la présence d’un vaccin n’a pas une grande importance. Ce qui compte est que lorsqu’on ne respecte pas les équilibres écologiques et systémiques, on crée des incidents dont les conséquences sont plus ou moins importantes.

    Plutôt que chercher, comme souvent, l’administration de la preuve par des voies scientifiques, il vaut bien mieux observer les fonctionnements des différents systèmes et on constate que l’agriculture paysanne, dans des conditions de concurrence loyales sont parfaitement performantes. Certes, elles ne permettent pas au paysan d’acheter un 4x4 tous les ans et de se payer des vacances aux Seychelles mais elles lui permettent de vivre dans des conditions décentes. Ce qui est bien l’essentiel.



  • Christian Portal Christian Portal 16 février 2009 09:59

    Bonjour.

    Cet article est réellemeent remarquable et l’analyse est irréprochable. Pourtant, un pan entier manque.Que ce soit pour la crise financière ou la crise médicale, il y a des conséquences à tirer. Or celles-ci, de mon point de vue, ne peuvent pas s’affranchir d’une révolution idéologique.

    Si la médecine s’est toujours appuyée sur la pharmacologie, cette dernière, sans être forcément "naturelle", était fondée sur une chimie simple, essentiellement minérale. Elle était à la portée du médecin qui pouvait la pratiquer lui-même. Les métiers de médecins et de pharmaciens se sont séparés pour des questions pratiques mais cette scission ne devrait pas avoir de justifications techniques. 

    Il s’en est suivi une autre séparation qui est celle du pharmacien et du laboratoire puis de l’industrie pharmaceutique. Le pharmacien a été progressivement privé de son pouvoir d’expertise pour n’être plus qu’un commerçant spécialisé.

    Cette séparation ultime est consommée avec le fait que le médecin est maintenant incapable d’agir sur la fabrication de ce qu’il prescrit. Ce que je considère comme une révolution passera par la réappropriation du traitement par le médecin, soit parce qu’il sera capable de soigner le malade dans son cabinet par des pratiques manuelles, soit parce qu’il sera en mesure de fabriquer des remèdes ou encore parce qu’il pourra donner au malade les moyens de soigner lui-même.

    Bien sûr, cette situation ne correspond sans doute qu’aux cas les plus bénins mais c’est aussi la situation la plus fréquente. Si les médecins étaient déjà en mesure de régler ces grippes, gastro, rhumes, dépressions légères ou troubles digestifs, on pourrait sans doute constater une amélioration sensible de l’économie de la santé.

    La révolution est vraiment là : une médecine autonomisée et pédagoque !

    J’ai développée cette question dans un livre qui paraîtra en mai 2009 au éditions Alphée sous le titre "Pour une médecine écologique".



  • Christian Portal Christian Portal 6 février 2008 11:09

    Bonjour,

    Vous parlez de mythe scientifique et vous avez raison. Le mythe principal sur lequel une bonne part de la médecine moderne s’appuie est celui du "bon Pasteur". Que n’a-t-il pas fait ? Il a sauvé des enfants, et bientôt l’humanité. Pourtant, comme pour la plupart des mythes, l’histoire est trop belle pour être vraie. Je vous invite à lire le remarquable livre du docteur Eric Ancelet "Pour en finir avec Pasteur" aux éditions Marco Pietteur. Il rétablit un certain nombre de vérités historiques. Il est coupable de nombreuses tricheries : appropriation des découvertes de ses collaborateurs, ommissions liées à la technique de vaccination, mises en danger de la vie d’enfants dont rien n’affirmait qu’ils aient été réellement infectés par la rage, Par contre, si trois de ses fidèles collaborateurs acceptent d’être vaccinés, Pasteur se garde bien de tenter l’expérience. A la suite de quoi, son neveu, Adrien Loir restera temporairement paralysé. Pages 106/107.

    Cordialement



  • Christian Portal Christian Portal 5 février 2008 16:51

    Avant de parler de date, il faut se renseigner ; les dangers de l’amiante sont connus depuis le début du 20ème siècle. Il ne s’agit pas d’une information fantaisiste, là aussi, puisqu’elle émane du Sénat français. Voici d’ailleurs la citation de l’article "Histoire de l’amiante"  : "Dès 1906 et 1907 ont été décrits pour la première fois des cas de fibroses pulmonaires liées à l’amiante. L’étude que M. AURIBAULT, inspecteur départemental du travail, a réalisé sur les travailleurs de l’usine textile de Condé sur Noireau met en évidence la particularité de ce qu’il appelle alors des pneumoconioses et la forte mortalité que ces maladies génèrent : 50 décès en cinq ans, de 1890 à 1895." Source : http://www.senat.fr/rap/o97-041/o97-0412.html


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