Il y a une grosse différence entre les Etats-Unis et la France.
Là-bas, ils font de films pour le fric, quand ce genre de film n’en fera plus, on en verra plus.
Ici les films sont subventionnés.
- D’un on fait des films histoire de dépensé l’argent, pour dire que l’année d’après on est au moins le même budget.
- De deux, c’est peut-être pas des lanternes nos producteurs, quoi que certains savent ce servir de leur tête (à la Zidane), mais ils ne vont quand même mordre la main qui les nourrit.
- De trois, ces films dont vous parlez marche beaucoup mieux à l’étranger que chez eux, on aime toujours mieux voir la misère chez le voisin que chez nous et d’autant plus si ce voisin est riche, puissant et qu’il fait sa loi dans le quartier.
Il parait qu’on a le plus de chance de rencontrer son conjoint sur son lieu de travail.
Etant donné que nos ministres/députés traînent plus souvent sur les journaux télévisés qu’à l’assemblée nationale, il n’y a pas de quoi s’offusquer qu’il trouve le bonheur sur place.
J’aime bien cette phrase. En gros, en étant régularisé ils vont se faire jeter de leur boulot (ben oui, si on embauche un clandestin, c’est pour le payer une lisère, régularisé il demandera plus), ce qui va provoquer un appel d’air pour d’autre clandestin.
En plus leur employeur, qui employait un clandestin va t-il se faire sanctionner ?
- Si oui, il va réfuter le fait d’avoir employer un clandestin.
- Si non, le clandestin ne va pas se faire régulariser.