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Ernester

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Derniers commentaires



  • Ernester 31 janvier 2011 16:30

    Marine, celle qui ne jette pas la pierre à HorteFeuer quand celui-ci critique les magistrats condamnant les policiers pour faux procès-verbaux ?

    http://www.lejdd.fr/Politique/Depeches/M.-Le-Pen-ne-jette-pas-la-pierre-a-Hortefeux-245439/

    Marinne encourage donc la rédaction de faux procès-verbaux par agent assermenté.

    En quoi Marinne est-elle républicaine ?



  • Ernester 20 décembre 2010 17:16

    Belle brochette de graves manquements à la justice,

    à laquelle on peut rajouter le scandale de l’UIMM. 

    Qu’advient-il de ce brave Gautier-Sauvagnac ?



  • Ernester 26 octobre 2010 15:08
    Libérer la croissance : que penser du rapport de la commission Attali ?Hahahaha, belle tartufferie,

    et une prospérité sans croissance ?
    http://www.alternatives-economiques.fr/prosperite-sans-croissance—la-transition-vers-une-economie-durable_fr_art_932_49684.html

    C’est une perspective que votre religion peut envisager ?



  • Ernester 20 septembre 2010 16:20

    Une raison supplémentaire de chercher à se rendre énergétiquement indépendant.



  • Ernester 10 mars 2010 17:04

    Et pour paraphraser à l’attention de Mage et autres gogos globalisants :

    Maurice Allais 1998

    L’effondrement de la doctrine laissez-fairiste mondialiste

    Depuis deux décennies, une nouvelle doctrine s’était peu à peu imposée, la doctrine du libre-échange mondialiste, impliquant la disparition de tout obstacle aux libres mouvements des marchandises, des services et des capitaux.

    Suivant cette doctrine, la disparition de tous les obstacles à ces mouvements serait une condition à la fois nécessaire et suffisante d’une allocation optimale des ressources à l’échelle mondiale. Tous les pays et, dans chaque pays, tous les groupes sociaux verraient leur situation améliorée.

    Le marché, et le marché seul, était considéré comme pouvant conduire à un équilibre stable, d’autant plus efficace qu’il pouvait fonctionner à l’échelle mondiale. En toutes circonstances, il convenait de se soumettre à sa discipline.

    Les partisans de cette doctrine, de ce nouvel intégrisme, étaient devenus aussi dogmatiques que les partisans du communisme avant son effondrement définitif avec la chute du Mur de Berlin en 1989. Pour eux, l’application de cette doctrine libre-échangiste mondialiste s’imposait à tous les pays et, si des difficultés se présentaient dans cette application, elles ne pouvaient être que temporaires et transitoires.

    Pour tous les pays en voie de développement, leur ouverture totale vis-à-vis de l’extérieur était une condition nécessaire et la preuve en était donnée, disait-on, par les progrès extrêmement rapides des pays émergents du Sud-Est asiatique. Là se trouvait, répétait-on constamment, un pôle de croissance majeur pour tous les pays occidentaux.

    Pour les pays développés, la suppression de toutes les barrières tarifaires ou autres était une condition de leur croissance, comme le montraient décisivement les succès incontestables des tigres asiatiques, et, répétait-on encore, l’Occident n’avait qu’à suivre leur exemple pour connaître une croissance sans précédent et un plein-emploi[18]. Tout particulièrement la Russie et les pays ex-communistes de l’Est, les pays asiatiques et la Chine en premier lieu, constituaient des pôles de croissance majeurs qui offraient à l’Occident des possibilités sans précédent de développement et de richesse.

    Telle était fondamentalement la doctrine de portée universelle qui s’était peu à peu imposée au monde et qui avait été considérée comme ouvrant un nouvel âge d’or à l’aube du XXIeme siècle. Cette doctrine a constitué le credo indiscuté de toutes les grandes organisations internationales ces deux dernières décennies, qu’il s’agisse de la Banque mondiale, du Fonds monétaire international, de l’Organisation mondiale du commerce, de l’Organisation de coopération et de développement économiques, ou de l’Organisation de Bruxelles.

    Toutes ces certitudes ont fini par être balayées par la crise profonde qui s’est développée à partir de 1997 dans l’Asie du Sud-Est, puis dans l’Amérique latine, pour culminer en Russie en août 1998 et atteindre les établissements bancaires et les Bourses américaines et européennes en septembre 1998.

    Cette crise a entraîné partout, tout particulièrement en Asie et en Russie, un chômage massif et des difficultés sociales majeures. Partout les credo de la doctrine du libre-échange mondialiste ont été remis en cause.

    Deux facteurs majeurs ont joué un rôle décisif dans cette crise mondiale d’une ampleur sans précédent après la crise de 1929 :

    - l’instabilité potentielle du système financier et monétaire mondial ;

    - la mondialisation de l’économie à la fois sur le plan monétaire et sur le plan réel.

    En fait, ce qui devait arriver est arrivé. L’économie mondiale, qui était dépourvue de tout système réel de régulation et qui s’était développée dans un cadre anarchique, ne pouvait qu’aboutir tôt ou tard à des difficultés majeures.

    La doctrine régnante avait totalement méconnu une donnée essentielle : une libéralisation totale des échanges et des mouvements de capitaux n’est possible, elle n’est souhaitable que dans le cadre d’ensembles régionaux groupant des pays économiquement et politiquement associés, et de développement économique et social comparable.

    http://etienne.chouard.free.fr/Europe/messages_recus/La_crise_mondiale_d_au jourd_hui_Maurice_Allais_1998.htm

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