bonjour.morice. merci pour l’article ! Je me pose toujours la même question depuis que j’ai vu la photo avec l’äne sans pattes et les bidons de plastiques jeunes...résiliant au feu...des bidons plastiques qui n’ont pas fondus et un âne qui a perdu ses pattes alors des des dizaines de personne se sont fait éparpiller (façon puzzle)...c’est quoi ce missile ou ces missiles parceque les cabines des deux camions sont complètement détruite...pourquoi justement les cabines ? Guidage termique (chaleur moteur) ? Pourquoi faire intervenir les F-15 de nuit sur simple renseignement d’1 seule personne (afghan)...
La mairie de Barcelonnette devient officiellement propriétaire des emprises militaires sur son territoire. Le contrat de cession a été signé ce lundi après-midi en préfecture de Digne. La municipalité a remis un euro symbolique à l’Etat pour récupérer la propriété de la caserne Craplet. La fermeture du Centre d’instruction et d’entraînement au combat en montagne avait coûté 120 emplois directs à la vallée de l’Ubaye. Une subvention de 2 millions d’euros a été accordée pour la reconversion de ces 25 000 m2 de bâtiment. « J’aurais préféré ne pas avoir à signer cet acte » et « que l’armée reste », a précisé le maire Jean-Pierre Aubert.
« Keine ruhe » pour tous ces meurtriers qui se cachent derrière un uniforme...avant de lancer un « on m’a pas appris à ne plus tuer... » comme John Rambo...
A 91 ans, malentendant, cet ancien officier nazi était devenu une figure locale dans sa ville natale d’Ottobrunn. Gérant d’une menuiserie et conseiller municipal, il participait régulièrement à des commémorations avec ses frères d’armes. Tous semblaient ignorer qu’il avait été condamné en Italie à la prison à perpétuité. Mais comme l’Allemagne n’extrade pas ses ressortissants contre leur gré, Josef Scheungraber n’a jamais eu à purger sa peine.
L’Italie l’accuse d’être responsable de l’assassinat de 14 civils à Falzano di Cortona, en Italie, le 26 juin 1944. Josef Scheungraber commandait alors une compagnie de chasseurs alpins. Selon l’accusation, il a ordonné des représailles après un accrochage avec des partisans italiens. Les victimes, âgées de 16 à 74 ans, ont été enfermées dans une ferme de leur village en Toscane. Les soldats ont placé des explosifs et fait sauter le bâtiment. Les survivants ont été mitraillés et seul un garçon de 15 ans a survécu