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Hubert Fauré

Hubert Fauré

Je suis un nomade enraciné, patriote et non-prédateur. Mes références ? Orwell, Clouscard, Michéa, De Benoist, Sapir, Allais, Todd, Castoriadis, Chateaubriand, Montaigne, Rousseau, etc. 

Tableau de bord

  • Premier article le 15/01/2014
  • Modérateur depuis le 08/02/2014
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Derniers commentaires



  • Hubert Fauré Hubert Fauré 18 février 2014 20:02

    Effectivement c’est excellent je ne connaissais pas, tout est dit ! merci ! :)



  • Hubert Fauré Hubert Fauré 18 février 2014 19:02

    Vous soulevez un point intéressant et, en lecteur de Céline, j’y souscris en partie.

    Mais de mon expérience des gens, de la vie et du milieu où je vis, je continue de croire en la décence commune des gens ordinaires.
    Nous sommes des individus complexes et tous capables du pire mais rien n’est déterminée, nous sommes perfectibles dans tous les sens, dans le meilleur comme le pire.
    Je refuse ainsi tout désespoir en politique.
    Sans doute pour vous une illusion au temps de l’Iphone et de l’instantanéité mais sans cela, toute lutte me paraîtrait bien inutile et vide de sens.



  • Hubert Fauré Hubert Fauré 17 février 2014 17:00

    Bonjour,

    Non je pense exactement tout le contraire et Alain de Benoist également.
    Sa citation est au contraire une tentative de « synthèse » de la pensée d’Hayek qui, elle, vénère le marché.
    Vous devriez lire l’article en entier je crois que vous avez fait plus que le survoler.
    Par ailleurs j’affirme clairement dans ma description que je suis tout sauf un libéral donc je ne comprend pas votre reproche 


  • Hubert Fauré Hubert Fauré 6 février 2014 14:00

    Sur cette épisode de la seconde guerre mondiale on peut noter à l’origine la surprenante neutralité des Etats Unis face à l’émergence du fascisme et du nazisme.

    Pour les Etats Unis, les fascistes étaient plus ridicules que dangereux et ils avaient la qualité de mettre de l’ordre en Italie, un pays qu’ils ont toujours perçu comme étant au bord du chaos politique. Si Mussolini n’avait pas fait son expédition en Afrique et soutenu Hitler, son régime aurait pu survivre à la seconde guerre mondiale, ni Churchill, ni Roosevelt à l’origine ne souhaitait l’intervention de l’Italie dans le conflit. 
    Par ailleurs, la neutralité des Etats Unis à l’égard du nazisme et du fascisme s’explique aussi par l’anticommunisme qui existait dans ces deux idéologies. 
    Et la guerre pour les américains ne commence pas dans l’Atlantique mais dans le Pacifique, avec Pearl Harbor, elle ne consistait pas à honorer une amitié mais à défendre des intérêts précis. 


  • Hubert Fauré Hubert Fauré 2 février 2014 12:40

    article intéressant qui fait la part des choses


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