ingirumimusnocte

@pipiou2
Aujourd’hui ça été chaud et ça va continuer. Peut-être le mot effondré aurait dû être remplace par qui va s’effondrer. Mais le fond reste le même les excès de monnaie doivent être épongés et c’est là que ça coince !

L’auteur de l’article a raison de dénoncer les mensonges aberrants de Zemmour, là où il est moins crédible c’est quand il nous parle de Barnier, il fait plutôt rire. Zemmour est tellement grotesque et menteur qu’il n’a aucune chance d’être au second tour. Il n’est là que parce que la classe politique dans son ensemble est en faillite

@pierrot
Zemmour aura les signatures parce que cela arrange Macron. Tout le reste est de la littérature. Le travail de Zemmour est de fracturer l’électorat de Marine Le Pen, tout en se parant de la volonté de réunifier les droites. 

Zemmour est une candidature de division encouragée par Macron
https://www.lemonde.fr/politique/article/2021/11/12/presidentielle-2022-emmanuel-macron-continue-a-etouffer-la-droite_6101805_823448.html
Il n’a aucune chance d’être au second tour, contribuant à la balkanisation des candidatures, il est déjà la personnalité politique la plus détestée des Français. Quel est son but personnel ? S’il croit à son destin, il est soit fada, soit incapable d’analyser la situation. Son programme uniquement centré sur l’islam et l’immigration s’appuie sur le fait que les deux tiers des Français sont hostiles à l’islam et à l’immigration de masse, sur tout le reste c’est zéro, un programme pro-capitaliste, tout pour le profit, rien pour les travailleurs. Sur l’Europe, il est manifestement nul, non seulement à cause des traités, mais aussi sur la question de l’euro qui tue notre économie à petit feu. Ce médiocre passe parfois pour un intellectuel, mais non, c’est un faussaire qui travestit en permanence la réalité, sur Pétain, ou sur Dreyfus, ou encore sur autre chose

@alinea
La plupart de vos commentaires alimentent une sorte de confusionnisme plus ou moins intéressé qui ne mène pas à grand-chose. Le but de ce petit billet était de montrer qu’une sorte d’antifascisme de posture ne pouvait pas définir un programme, ni même un début d’analyse sérieuse