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Inside Jewel

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Tableau de bord

  • Premier article le 11/11/2009
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Derniers commentaires



  • Inside Jewel 26 décembre 2009 14:33

    Bonjour,

    « ...la vie courante si peu passionnante, voire même décérébrante et pathologique... »
    Si votre vie est peu passionnante, ne généralisez pas. Et posez-vous la question du cercle vicieux : la vie n’est pas belle, donc on joue, donc on s’isole des réalités de la vie, donc on est de moins en moins adapté au vrai monde, donc le monde dégoûte de plus en plus, donc on a envie de jouer d’autant plus...

    Sachez que les « No Life » qui s’enfoncent dans leur dépendance à l’extrême finissent dans la déprime les poussant parfois au suicide. Ce n’est pas en se déconnectant du monde que l’on peut s’y faire une place.

    Pour un psychiatre qui utilise le jeu comme moyen thérapeutique (et croyez-moi, ils ne poussent pas leurs patients à passer 18 heures par jour devant leur jeu), il y en a mille autres qui vous mettront en garde contre les méfaits des abus.

    Et là, je dois vous dire qu’une partie de mon texte vous a échappé :
    « ...Le but n’est pas ici de condamner cette assuétude en tant que telle, mais de mettre en évidence l’impact que cela aura sur l’utilisation du temps disponible dans une journée... » et
    « ...Chacun est libre de consacrer son temps, sa vie, à réaliser son objectif, quel qu’il soit... »

    Comme EN TOUTES CHOSES, seul l’excès est nuisible. le fait de jouer est normal et même sain (je SAIS pertinemment que jouer fait partie intégrante du processus d’apprentissage et que cela dénote un esprit curieux et une volonté de challenge), mais poussé à l’excès il ne permet tout simplement pas de vivre. Comme trop manger... trop fumer... trop boire... trop bais... oui bon smiley

    Vous dites : « ...ceux qui n’y connaissent rien parce qu’ils ne pratiquent pas... »
    Désolé de vous décevoir, mais je joue, moi aussi. J’adore ça, et je détiens même certains records... Mais je limite mon temps au jeu, pour ne pas que ça me bouffe tout mon temps, toute ma vie. Oui, vous vous trompez, en terme de jeux, vous avez affaire à un connaisseur, pratiquant. Et justement, je sais à quel point il faut prendre garde pour ne pas se laisser happer par le côté grisant...

    Vous dites : « ...Les jeux électroniques en ligne au tissent des liens sociaux entre joueurs, font élaborer des stratégies psychologiques avec les autres, bien plus facilement que dans la vie courante... »
    Dites-moi, si vous étiez dans le monde de Matrix, vous préféreriez donc vivre écervelé dans un monde imaginaire créé pour vous séduire ? Ou indépendamment des machines, dans le vrai monde, aussi horrible soit-il ?

    Chacun son choix.

    Bien cordialement



  • Inside Jewel 11 novembre 2009 15:45

    Vous avez raison sur un point : le temps que l’on passe à travailler nous vole celui que l’on peut passer avec nos connaissances... 

    Là où vous vous trompez, c’est en disant que l’article raconte l’inverse. 

    Si j’ai un travail à accomplir, j’essaie de l’accomplir le plus vite possible. Quand j’en ai terminé, je peux rejoindre ma femme, mes enfants, mes amis, qui je veux. 

    Perdre du temps au travail, c’est risquer le débordement, l’overbooking, les heures sup’... c’est-à-dire moins de temps avec ceux qu’on aime.

    Nous sommes bien du même avis, mais nous abordons la solution un peu « différemment » smiley

    Bien à vous.



  • Inside Jewel 11 novembre 2009 15:29

    Bonjour. Voilà une réaction étonnante. Avez-vous bien lu l’article ?

    Vous parlez de compétitivité, rendement, déshumanisation, là où l’article traite de la possibilité pour chacun de faire volontairement et sans stress son travail sans être en permanence interrompu pour des broutilles... Il n’y est fait à aucun moment référence à une pression patronale sur un pauvre salarié. Nous ne parlons donc pas du tout de la même chose.

    Et, oui, les bouffeurs de temps sont parfois tout autres... 

    N’avez-vous pas lu le titre ? « Les voleurs de temps - 1 - »

    Le « - 1 - » signifie évidemment qu’il y en aura d’autres, qui traiteront des autres types de bouffeurs de temps. Si vous voulez un scoop, les prochains articles qui sont déjà écrits, mais pas publiés, traitent de : 

    - 2 - Les addictions chronophages

    - 3 - Les outils chronophages

    - 4 - Les attentes chronophages... et d’autres à suivre

    Parmi tous les chronophages, le premier article concerne les humains chronophages. Ne demandons pas à un auteur de romans de développer toute l’intrigue, les rebondissements et la conclusion dès le premier chapitre, cela tuerait dans l’oeuf tout intérêt pour le récit. smiley

    Quant à « tuer sa vie pour la gagner  », vous citez en exemple le summum de la société presse-citron... Loin d’être la norme, sachez qu’à l’autre extrême du paysage entrepreneurial, il existe des sociétés cool, avec des patrons honnêtes et humains, et qu’il existe aussi des travailleurs qui préfèrent tchatcher toute la journée plutôt que de consentir à faire leur boulot ne serait-ce qu’une heure. Bien souvent, ceux qui revendiquent le droit d’être payés à ne rien faire sont les premiers à faire la révolution dès qu’on leur demande un peu de bonne volonté.

    Mais bien sûr, pour vous citer, « les points de vues dépendent de qui « s’exprime » et pour « qui »  ».

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