• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Jacques Fabry

Jacques Fabry

Savoyard, Camarguais et Provençal, depuis plus de 50 ans, je vis au milieu de la nature. Bestioles, plantes et animaux m'ont montré leur désespoir et ce que, par voies de conséquences, nous sommes en train de vivre. La nature s'exprime sans mots, les hommes en demandent. Alors j'ai dû en inventer.
Avionneux : adjectif caractérisant un aspect du ciel, une sorte d'orage,... modifiés ou causés par un trafic aérien trop intense
Avioclimatologoie : étude des caractéristiques et des conséquences pour la vie terrestre du climat créé par un trafic aérien trop intense
Avionie : territoire subissant un avioclimat, (une superficie de plus en plus grande de la Terre est déjà devenu Avionie)
Par la création de mon blog au 1er janvier 2008, par de nombreux courriers avec le gouvernement, la commission européenne de l'environnement depuis l'été 2007, par des rencontres avec des élus locaux, des responsables de parcs nationaux, d'organismes de tourisme, des essais de contact avec des journalistes de presse quotidienne locale aussi bien que magazines nationaux, des tentatives auprès de scientifiques ou des services météo... je tente d'alerter du danger dans lequel nous sommes. Le moment me semble venu que chacun regarde le soleil en face et accepte de comprendre.
Bienvenue en Avionie
Jacques Fabry alias Cielnature

Tableau de bord

  • Premier article le 01/07/2008
  • Modérateur depuis le 11/08/2008
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 7 27 137
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 0 0 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique










Derniers commentaires



  • Jacques Fabry Jacques Fabry 29 juillet 2008 21:57

    Ce dont je parle, sans aucune étiquette, uniquement en simple humain ayant encore la chance de vivre souvent en extérieur, c’est de ce que chacun peut constater en prenant le temps de regarder l’air du temps au lieu du bulletin météo.
    Il y a encore peu de temps en arrière, l’humidité des avions se dissipait comme le sucre disparaît dans le café. Rajouter encore du sucre dans le café et il en subsiste au fond de la tasse. C’est ce qui arrive maintenant dans l’atmosphère, l’humidité perpertuelle en l’air pâlit le soleil, avance l’heure où vous allumer les codes de vos voitures le soir, rafraîchit vos soirées... Le seuil de saturation franchi, tout nouveau sucre stagne au fond de la tasse, toute nouvelle augmentation du trafic aérien laisse son humidité dans l’air. A la plus petite dépression cette humidité retombe en pluies violentes ou grêle.
    Ai-je mis le doigt où ça fait mal ? Prenez le temps de farfouiller dans mon site www.eauseccours.com. Vous serez surpris du nombre des conséquences de cette atteinte à la qualité de la lumière.
    Vous ne me croyez pas ? Je ne cherche pas être cru. Je souhaite plutôt que les vacances vous permettent de regarder le long des routes le nombre impressionnant d’arbres morts ou en train de mourir, que vous photografiez les éclairs courts, larges et parallèles des orages avionneux, que vous constatiez la raideur et l’alignement des "nuages", que vous écoutiez les efforts ou le silence des insectes...
    Depuis 2 ans j’observe, analyse, comprends et alerte. Les décideurs sont au courant et m’encouragent à continuer mes travaux. Maintenant il faut que chacun voit... et après je pourrai plus facilement répondre en détails à vos demandes d’explications plus rationnelles et formelles.
    La beauté peut se trouver partout même dans le champignon d’une explosion atomique. Je ne mets pas en cause le degré de beauté, je ressens le manque d’énergie et de joie de cette lumière qui vous rechargera moins que la lumière d’un été naturel. Ce n’est pas une mauvaise saison. Il suffit de redescendre au-dessous du seuil de saturation... Ce n’est ni passéiste, ni impossible, juste nécessaire.



  • Jacques Fabry Jacques Fabry 5 juillet 2008 15:50

    L’incitation à la délation est dans l’air du temps, mais quel temps vivons-nous ?

    Mardi 1er juillet 2008, page 7 de l’édition Aix-en-Provence du quotidien "La Provence", rubrique "EN BREF".
    TITRE DE L’ARTICLE : "A Puyricard, les décibels nocturnes agacent ceux qui ne sont pas de la fête".

    Maintenant comment considérer la motivation qui me pousse à parler de la suite de cet article ? Délation d’un journaliste qui n’a d’ailleurs pas signé son article ? Je dirais plutôt signalement de ce que j’ai ressenti comme un abus, au moins dans la formulation, et vous laisserai juge.

    6 lignes et demie de courtes phases adaptées au titre puis sans transition 1 ligne et demie assassine pour clore cette courte rubrique :
    "Police nationale et municipale travaillent ensemble, contactez les au tél. 17 ou 04 42 ** ** **."
    (Dans l’article le numéro de téléphone de la police municipale est entier)

    Idée de journaliste ou consigne municipale ou initiative des polices ou autre ? Je ne sais qu’en penser.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv