Le problème n’est pas de n’avoir pas pu prévoir un orage extrêmement violent et très localisé.
Le problème est que les responsables de notre sécurité n’ont pas été capables de prévenir les habitants de la basse vallée de l’Argens, qu’une vague d’eau dévastatrice allait déferler sur eux dans les ... 8 à 12 heures après que cette eau ait dévasté Draguignan, sous-préfecture du Var.
Ce genre de phénomène s’est déjà produit (en moins grave) et ce n’est pas la première fois que la basse vallée de l’Argens est inondée.
Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire - Albert Einstein
Je ne refuse pas les catastrophes naturelles. Comment le pourrais-je d’ailleurs ? Je demande simplement qu’un plan, qu’une procédure soit mise en place pour « limiter la casse ». Je ne vois pas le rapport avec le port du casque en vélo. Au fait, avez-vous déjà vu une boîte crânienne ayant tapé un pare choc de voiture à 70km/h ? Une journée avec les services de secours routiers de votre région devrait combler cette lacune et vous faire comprendre pourquoi des lois « liberticides » comme casques et ceintures et non utilisation du portable au volant sont mises en place.
Que la Seine puisse déborder un jour, c’est une chose. Que les habitants qui habitent dans la région ne soient pas régulièrement informés des conséquences d’un débordement et des actes à accomplir en cas de catastrophe en est une autre. Je ne vois pas en quoi des informations et des procédures peuvent être pénalisantes pour 10 mio d’habitants.
De chaque expérience, positive ou négative, on peut tirer des enseignements. Ces enseignements nous rendent plus fort et plus résistant à l’adversité. Préconisez-vous la politique de l’autruche ?
La vraie faute est celle qu’on ne corrige pas - Confucius