@Louis Je plussoie. Sur ce site, il faut être Poutinolâtre sinon, on se fait descendre en flammes. Ne pas non plus faire de peine à Madame Néant qui fourrée (oh !) au milieu des Russes, est devenue leur thuriféraire. Quid de 4 millions de gens qui sont obligés de fuir leur pays, écrasé par les bombes . Ah oui, j’oubliais, ce sont des nazis. Sauf que aux dernières élections, l’ extrème droite Ukrainienne n’a fait que 2% des voix. Le bataillon Azov ? : L’unité Azov est perçue avant son intégration dans la garde nationale ukrainienne comme un eldorado pour les suprémacistes blancs, antisémites et militants d’extrême-droite occidentaux.
On n’a pas les mêmes chez nous ? Et les français seraient tous comme ça ?
Même Dipardiou, vient de gueuler après le Kamarade Poutine. Je rappelle que Zelinsky est de confession juive.
Le Donbass a attiré de nombreuses figures de l’extrême droite française et européenne depuis sa création.
Ainsi le groupe de musique identitaire Les Brigandes s’est rendu sur le
terrain de conflit pour livrer ses « reportages » orientés. Donetsk
dispose même d’une collaboratrice française, Christelle Néant, qui
favorise de tels voyages. Comme le révélait Street Press en août 2016,
une petite cinquantaine d’anciens militants de Troisième voie, du Bloc
Identitaire, des Jeunesses nationalistes ou du Parti de la France, sont
partis vivre le grand frisson au sein de milices séparatistes.
La langue officielle est l’ukrainien, mais le russe
est aussi beaucoup utilisé, notamment dans le sud et dans l’est du
pays, en raison de la domination de l’ancien empire russe et de
plusieurs siècles de russification qu’a connus cette partie du pays.