le plus simple est d’apprendre à le dire en arabe ou en wolof... parce-que le françoué c’est terminé... faut vous mettre à la page mon vieux ! ... j’ai l’impression parfois que vous êtes un raciste patriarcal suprémaciste blanc inconscient... c’est fini le temps béni des colonies « ma tonkiki ma tonkiki ma tonkonoise » ...
C’est le problème avec les vieux communistes : vous n’avez même pas conscience que vous jeunes camarades vont vous envoyer au goulag pour « conservatisme vendéen systémique »... C’est votre blanchité qui pose problème.
Vous allez vous prendre une « révolution culturelle » dans les gencives... les jeunes gardes rouges vont vous déporter... Vous auriez plus de chances au total avec des vilains libéraux comme moué, même si on n’est d’accord sur pas grand chose...
Idem pour les islamistes vos amis... faut aussi vous mettre à la page... ils vont mieux traiter les Juifs et les Chrétiens (« dhimmis ») que les athées païens et mécréants dans votre genre (« à éliminer »)...
Le socialo-communisme est sophistique... j’aurais conseillé à ce « jeune prodige » d’étudier l’économie, au lieu de s’abreuver aux inepties de Karl Marx... Valeur-travail, théorie de la plus-value, baisse du taux-de-profit, matérialisme historique, etc. Tout cela est erroné. Lisez plutôt Frédéric Bastiat.
L’adhésion des intellectuels bourgeois au socialo-marxisme a été parfaitement comprise par Schumpeter. Le capitalisme, en accroissant la production engendre une masse d’intellectuels surnuméraires. Ceux-ci, intelligents mais frustrés, jaloux de voir triompher des vendeurs de boîtes-à-chaussures tombent dans le socialo-marxisme.
Il n’est facile pour aucun intellectuel d’admettre qu’un plombier ou un boulanger poujadiste gagne mieux sa vie que lui, et encore moins qu’un magnat du sac-à-main ou du sac-poubelle industriel devienne multi-milliardaire. Et pourtant il en est ainsi. Leur fortune n’est pas volée. Quant aux intellectuels, ils doivent se contenter souvent de vache-enragée et de maigres émoluments. Un peu de stoïcisme est nécessaire pour accepter cela. La vie intellectuelle apporte d’autres agréments.
Au-delà des « cas exceptionnels » qu’on nous met systématiquement en avant, il y a bien la question sous-jacente de l’eugénisme... L’eugénisme c’est moins politiquement-correct que la mort dans la dignité ou la parentalité choisie... Ces questions sont difficiles à aborder pour chacun de nous (je ne me mets pas au-dessus du lot) mais nous devons en mesurer la gravité.
Le panthéisme moderne se divise entre trois blocs intellectuels, mais qui convergent dans une même réalité nihiliste :
— Auguste Comte (positivistes)
— Karl Marx (communistes)
— Friedrich Nietzsche (nazis)
Ce sont trois formes de négation du christianisme, non pas seulement au plan de la foi (car nous ne sommes pas nécessairement croyants) mais au plan philosophique et éthique.
En tant que libéral, attaché à la dimension libre et morale de l’individu, je pense que l’Occident doit resté adossé à l’helléno-christianisme. Car c’est à cet héritage que s’adossent nos valeurs libérales. Sans cela la modernité peut déraper dans des dystopies dont le XXème siècle nous a donné un aperçu. Science et conscience doivent marcher ensemble, nous n’avons pas le choix.
Pour diminuer le parc de vieilles voitures polluantes, il faut de la prospérité populaire... et donc en finir avec le dirigisme euro-socialiste qui fait stagner les masses... Les gens achètent des vieilles voitures d’occasion car ils n’ont pas le choix.
— d’une part, les voitures récentes sont désormais hors-de-prix pour toute une part du peuple français
— d’autre part, les voitures récentes (électriques, ou thermiques bardées de bidules électroniques) sont peu fiables et irréparables par le garagiste du coin. Quand on vit en zone rurale ou périphérique, on a besoin d’une voiture pas chère, durable et fiable. Or, on ne trouve aujourd’hui cela que dans le marché de l’occasion.
Il faudrait donc plutôt relancer l’industrie automobile classique, inciter à l’amélioration des moteurs et à la durabilité du cycle de vie du véhicule. Cela se complèterait avec une offre électrique et hybride pour certains usages purement urbains (encore que les citadins ont également besoin de pouvoir circuler en inter-urbain). Et, sans tomber dans certains excès actuels, on peut également conserver un certain nombre de piétonnisations qui ont été un succès. C’est une question d’équilibre. Enfin, il faut prendre en compte que la pollution de l’air des villes n’est que marginalement due à une minorité de vieux véhicules possédés par des pauvres. Il est possible d’améliorer beaucoup de choses sans sortir de la liberté, de l’égalité et d’une forme de pragmatisme.
Bientôt le contrôle de la date, de la fréquence et de la durée du coup de quéquette. On entre dans la civilisation de l’Interdit et les crétins s’en réjouissent et en demandent plus, puti de Diou, vai te quera !
vous voyez qu’il y a une part de libéralisme en vous ! ... vous allez finir par faire du survivalisme dans le Gévaudan, ah ah !
Et puisqu’on a vainement infligé au corps social tant de systèmes, qu’on finisse par où l’on aurait dû commencer, qu’on repousse les systèmes, qu’on mette enfin à l’épreuve la Liberté, — la Liberté, qui est un acte de foi en Dieu et en son œuvre.