« Là-bas je suis passé dans un appareil qui s’appelle l’ostéodensitomètre. quelle surprise j’ai eu, après les résultats de savoir que mon imc est de 27%, donc en surpoids. »
Je n’arrive pas à faire le rapport entre l’ostéodensitomètrie et l’IMC. En principe, cet examen est réservé à des patients présentant des facteurs de risques bien précis (traitement ou maladie pouvant entraîner une ostéoporose – par exemple, prise de corticoïdes de façon prolongée, ménopause précoce avant 40 ans liée à un cancer du col de l’utérus, un indice de masse corporelle inférieur à 19 kg/m²) ou une forte présomption d’ostéoporose (fracture sans traumatisme majeur).
Peu de « nutritionnistes au régime miracle » prennent en compte le morphotype héréditaire. Dans ma famille, aucun homme n’a pesé moins de 110 kilos. Un de mes oncles, meunier de son état, mesurait « une porte et un pan », soit environ deux mètres vingt et pesait « deux balles de farine et demi », soit l’équivalent de 180 kilos.
J’ai 70 ans, je mesure maintenant un peu moins de deux mètres et je pèse 140 kilos. Personne ne vient me dire en face que suis gros et je suis bien dans ma peau, sans faire de régime particulier. Je partage (50/50) les mêmes repas que mon épouse qui se maintient à 65 kilos pour 185 centimètres. Nous avons un fils qui a coupé la poire en deux : 115 kilos et 197 centimètres.
« Entre les allers retours incessants de l’Abbé Saunière(s), pouvant le mener à Bugarach, pas si éloigné de Rennes le Château, el le nom curieux de « Bugarach » que l’on ne peut s’empêcher de rapprocher de « Bourg de l’Arche », le mystère s’épaissit. »
Vous y allez un peu fort en situant Bugarach (le Pech, le village n’ayant rien de particulier) pas si éloigné de Rennes le Château. Certes, l’abbé était bien bâti et bon marcheur, mais la topographie des lieux est pour le moins hostile et les chemins de traverse longent souvent le précipice. Ce qui vous semble près à vol d’oiseau n’est qu’illusion pour le piéton.
Selon ses contemporains, l’abbé Saunière avait coutume de de se rendre à Blanchefort et d’en ramener des pierres blanches pour orner son jardin. De temps en temps, ses promenades le conduisaient à Rennes le Bains, où il rendait visite à l’abbé Boudet, lequel reçut sa confession et en mourut.
Reste à savoir ce qui attirait Saunière à Blanchefort. Celui qui s’y rend aujourd’hui trouvera un rocher calcaire d’un blanc immaculé, au sommet duquel trônent les vestiges d’un poste de garde et dont le flanc est percé d’une grotte obstruée par des éboulis qui n’ont rien de naturel. Les plus courageux tenteront un « tout droit » vers la Saltz et découvriront tout un réseau de boyaux pleins de mystères.
Ajoutez les opérations commando sur le château des Templiers du Bézu, un zeste de forêt d’Arques, des tombeaux qui n’ont eu de cesse de changer de place, les énigmatiques tableaux de Nicolas Poussin et invitez Hercule Poirot à souper à la ferme des Trois Capitaines.
Le mystère s’épaissit et n’est pas en passe d’être résolu....
Vous n’êtes pas très cool avec les ainés, mais je m’y risque quand même.
Bien que sois d’accord avec votre article, les pistes que vous proposez et la critique de lois liberticides, je n’ai rien compris à la conclusion : "Du coup, les collectivités continuent de choisir leurs fournisseurs,
s’adaptant à un cadre de plus en plus lourd et coûteux pour le
contribuable." A moins que vous ne sous-entendiez que les collectivités ne changent jamais de fournisseurs, lesquels profitent de leur position dominante pour majorer leurs tarifs...
S’agissant du cloud computing made in France, qui vise un public de plus en large, certaines entreprises se font de la puben risquant 25 Go gratuits.