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maharadh

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Parent et père « désenfanté » par le comportement irresponsable d’un agriculteur le 8.03.2003, c’est l’implosion de notre vie et la souffrance horrible et quotidienne que connaîsse malheureusement les parents à qui arrive ce cauchemar , chaque jour qui passe nous approche de la délivrance , notre devise est « l’amour est plus fort que la mort » c’est bien pourquoi nous sommes encore là pour témoigner et lutter contres les violences,toutes les violences les violences de toutes nature y comprise celle des mots. Le respect de la vie humaine devrait être la priorité de toute société qui se veut « progressiste » et qui de ce fait s’éloignerait de la barbarie.
Depuis nous tentons de survivre en faisant « avec » pour nos enfants et petits-enfants.
J’entretiens un Blog qui me sert de thérapie et m’aide à apaiser ma souffrance et surtout tenter de faire prendre conscience que les accidents quels qu’ils soient ce n’est pas toujours pour les « autres » si le risque zéro n’existe pas dans notre existence je ne crois pas non plus à la fatalité pour ceux qui en doutent chercher ce mot sur le « petit Robert ou Larousse ».

Tableau de bord

  • Premier article le 13/04/2009
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Ses articles classés par : ordre chronologique




Derniers commentaires



  • maharadh maharadh 29 juin 2009 14:18

    @ l’auteur,
    Veuillez me pardonner de parasiter votre site , pour mon excuse je n’ai à faire valoir que le thème que vous abordez dans votre article et qui m’a toujours tenu à coeur, je voudrais dire adieu aux quelques habitués de ce site m’ayant manifesté de l’empathie ou non mais ayant toujours respecté mes commentaires comme je pense avoir toujours respecté celles des intervenants de ce forum même si parfois j’ai fait savoir mon désaccord ce qui est quand même naturel dans un forum qui se veut citoyen.
    Voici les raisons de la suppression de mon compte,
    Merci de bien vouloir supprimer mon compte pour les raisons suivantes.
    En effet, je ne suis pas écrivain , ni journaliste mais je ne pense pas être le seul à écrire des articles sans talent mais qui ont à mon sens quand même l’intérêt d’attirer l’attention sur quelques travers de notre société, or que vois-je depuis quelques mois sur agoravox ?
    - des articles sans intérêt écrit par des personnes qui ne s’expriment jamais sur agoravox et ne font donc pas vivre votre site , des articles reprenant les mêmes thèmes et les mêmes sujets souvent polémiques et appelant à la haine raciale ou du moins ne favorisant pas l’intégration à notre culture et favorisant plutôt le communautarisme.

    Celà attire énévitablement les extrémistes de tous bords et vous permet pour l’instant de dégager un apport certainement positif en nombre mais à contrario et in fine le solde sera négatif sur votre site dit citoyen, citoyen j’en doute si ne peuvent s’exprimer qu’une certaine catégorie de citoyens.
    Ne voyez pas dans cette mise au point du dépit ou de la frustration mais simplement une façon d’être , j’ai pris comme habitude cette règle de vie de dire et d’écrire ce que je faitet de l’assumer pleinement.
    Cordialement,



  • maharadh maharadh 28 juin 2009 09:13

    @ l’auteur,
    Non pardon, je ne suis pas d’accord sur ce que vous écrivez sur l’anonymat en effet en tant que homme de l’art vous n’êtes pas sans savoir que l’on ne change pas les règles d’une convention comme cela vous arrange. Agoravox commes 99% des forums laisse le choix à leurs intervenants , puisque vous mettez en avant cette règle et que vous vous avez choisi de paraître sous votre véritable identité encore que le fait de mettre un pict et un nom comme avatar n’est pas la preuve que vous êtes la personne telle que vous vous décrivez dans votre CV et puis m’enfin il faut comparer ce qui est comparable votre billet n’est me semble t’il que de la pub pour votre profession et donc nous pouvons comprendre pourquoi vous semblez être contre l’anonymat on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même.

    Perso je laisse des « généralités » comme vous l’écrivez mes généralités qui ont visiblement l’air de vous agacer, me trompè-je ?

    Et pour terminer puisque dans votre réponse vous me reprocher d’attaquer votre profession ce qui est exact par ailleurs autant que les reproches que vous m’adressez en vaillent la peine, la majorité des personnes ayant eût à faire avec votre corporation comprendront ces traits d’humour et vous voudrez bien en relativisez les traits.

    Par ailleurs en cliquant sur mon avatar vous avez également mes civilités ainsi que sur mon Blog personnel dont je vous joint le lien après ces quelques mots d’humour.

    En même temps cela fera un peu de lecture pour les internautes qui en ont un peu ras le bol des sempiternels articles consacrés à la haine de l’autre.

    Bien cordialement.
    mahardh avatar librement choisi .

    Pourquoi les serpents ne mordent-ils jamais les avocats ?
    Courtoisie confraternelle...

    Comment distinguer un avocat écrabouillé sur la route, d’un coyotte écrabouillé sur la route ? La dépouille du coyotte est précédée de marques de freinage...

    Un médecin, un architecte et un avocat sont en train de diner dans le restaurant d’un club de golf. Ils comparent les mérites de leurs chiens respectifs, qu’ils présentent comme des animaux extraordinaires.

    Un pari est lancé, et son montant ira au propriétaire dont le chien aura fait preuve du comportement le plus admirable.

    Le médecin appelle son chien : « Hippocrate, viens ici ! » Le chien arrive alors et son maître lui ordonne d’accomplir son travail. Le chien fonce sur le practice de golf, déterre un grand nombre d’os qu’il rapporte au country-club ; il reconstitue alors un squelette humain complet et articulé. Son maître le félicite et lui donne une friandise.

    L’architecte, peu impressionné, appelle son chien : « Compas, viens ici ! » Le chien arrive alors et son maître lui ordonne de faire son travail. Le chien se jette sur le squelette, le machouille et le réduit en petits morceaux qu’il réassemble afin de créer une maquette en modèle réduit du Taj Mahal. Son maître le félicite et lui donne une friandise.

    L’avocat, peu impressionné, appelle son chien : « Bouse de merde, viens ici ! » Le chien arrive alors et son maître lui ordonne de faire son travail. Immédiatement, le chien sodomise les deux autres, leur vole leurs friandises, vend la maquette du Taj Mahal aux enchères aux autres membres du club afin de payer sa cotisation et part jouer au golf...

    Un avocat vient d’arriver au Paradis, mais n’est pas satisfait de sa condition. Il se plaint et se voit rétorquer qu’il lui faut faire appel de sa situation, mais que le délai d’attente est de trois années avant que son appel soit entendu. Il se plaint encore plus, car trois années, c’est très long... mais ses remarques ne sont pas entendues.

    Il est alors sollicité par le Diable qui lui affirme être en mesure d’arranger sa procédure dans les trois jours, si il consent à venir plutôt en Enfer. Enthousiasmé, l’avocat le questionne sur la brièveté du délai ; le Diable lui explique : « c’est simple, nous avons tous les Juges... ».

    Le Ministère de la Santé a annoncé que l’on utiliserait plus de rats pour des expérimentations médicales. On utilisera plutôt des avocats, et ce, pour trois bonnes raisons :

    - Il y a plus d’avocats que de rats.
    - Les chercheurs s’attachent moins sentimentalement aux avocats qu’aux rats.
    - Il y a des choses que les rats refuseront toujours de faire.

    Assister un criminel avant qu’il soit arrêté, c’est être son complice.
    Assister un criminel après qu’il soit arrêté, c’est être son avocat.

    Il faisait si froid la semaine dernière que j’ai vu des avocats avec les mains dans leurs propres poches...

    Un homme demande à un avocat : « quel est le montant de vos honoraires ? »
    L’avocat lui répond qu’il est de 500€ pour trois questions.
    l’homme lui demande alors : « n’est-ce pas un peu excessif ? »
    et l’avocat lui répond : « Si. Quelle est votre troisième question ? »

    Une vieille femme vient voir son avocat car elle doit lui payer une note d’honoraires de 50 €. Elle lui remet un billet de 50€, mais ne se rend pas compte qu’un autre billet du même montant est resté collé au premier.

    Le soir même, l’avocat se rend compte de l’existence de ce second billet, et est alors tourmenté par une très grave question éthique : « Dois-je en informer mon associé ? »...

    On demandait à un avocat si il aimerait devenir Témoin de Jéhovah. Il déclina l’offre car il n’avait pas vu l’accident, mais affirma être intéressé par la reprise du dossier...

    Un sous-officier de la marine débarqué à Djbouti, se dirige vers un « djou-djou market » (marché africain où l’on vends des objets magiques).

    Sur un stand, il y a des bocaux dans lesquels baignent des cerveaux. Le vendeur promet que le client qui ingère l’un de ces cerveaux sera immédiatement aussi intelligent que feu leur propriétaire.

    Notre officier de marine plonge sans hésiter la main dans sa poche pour découvrir que sa fortune se limite à 10 dollars. Attiré par une cervelle de belle taille, il interroge le vendeur :

    - quel est le prix de ce cerveau ?
    - C’est le cerveau d’un chercheur, il coûte 10 000 €
    - Et celui-ci ? demande-t-il à propos d’un cerveau plus petit.
    - C’est un très beau cerveau, celui d’un médecin ; seulement 7000 €

    Découragé par le prix excessif du cerveau du chercheur, puis du médecin, il est tenté de renoncer quand il aperçoit un cerveau minuscule au bout de l’echope.

    - Combien me coûtera ce cerveau ridicule ? demande t-il au vendeur.
    - ce cerveau coûte 200 000 dollars, c’est le cerveau d’un avocat.
    - Voyons, comment un si petit cerveau peut-il coûter aussi cher ?
    - Mon pauvre ami, lui répond le vendeur, vous n’avez pas idée du nombre d’avocats qu’il nous a fallu tuer pour récolter ces petits bouts de cervelles.
      
    Humour ? Questions réellement posées à des témoins par des procureurs ou des avocats durant des procès et, dans certains cas, il y a la réponse donnée par des témoins futés. Ces phrases sont extraites d’un livre appelé « Disorder in the Court ». À part la traduction, les phrases ont été dites exactement comme c’est écrit.

    Avocat : Qu’a donné le prélèvement de tissu vaginal ? Témoin : Des traces de sperme.
    Avocat : Du sperme masculin ?
    Témoin : C’est le seul que je connaisse.

    Avocat : Avez-vous couché avec lui à New York ?
    Témoin : Je refuse de répondre à cette question.
    Avocat : Avez-vous couché avec lui à Chicago ?
    Témoin : Je refuse de répondre à cette question.
    Avocat : Avez-vous couché avec lui à Miami ?
    Témoin : Non.

    Avocat : Ce matin du 25 juillet, vous vous êtes rendu, à pieds, de votre ferme à l’étang à canard ?
    Témoin : Oui.
    Avocat : Donc, vous êtes passé à quelques mètres de l’enclos à canard ?
    Témoin : Oui.
    Avocat : Avez-vous remarqué quelque chose de spécial ?
    Témoin : Oui.
    Avocat : Bien, pouvez-vous dire à la cour ce que vous avez vu ?
    Témoin : J’ai vu George.
    Avocat : Vous avez vu George, l’accusé dans ce procès ?
    Témoin : Oui.
    Avocat : Pouvez-vous dire à la cour ce que George faisait ?
    Témoin : Oui.
    Avocat : Bien, pouvez-vous le dire s’il vous plaît ?
    Témoin : Il avait son truc dans un des canards.
    Avocat : Son « truc » ?
    Témoin : Vous savez, sa b…. Je veux dire, son pénis.
    Avocat : Vous êtes passé près de l’enclos à canard, la lumière était bonne, vous étiez sobre, vous avez une bonne vue, et vous avez clairement vu ce que vous nous avez expliqué ?
    Témoin : Oui.
    Avocat : Est-ce que vous lui avez dit quelque chose ? Témoin : Bien sûr !
    Avocat : Que lui avez-vous dit ?
    Témoin : « Bonjour George ».

    Question : Quelle est le jour de votre anniversaire ? Réponse : 15 juillet.
    Question : Quelle année ?
    Réponse : Chaque année.

    Question : Dans quoi êtiez-vous au moment de l’impact ?
    Réponse : Un sweat-shirt Gucci et des Reeboks.

    Question : Cette maladie, affecte-t-elle vraiment votre mémoire ?
    Réponse : Oui.
    Question : Et de quelle manière cela affecte-t-il votre mémoire ?
    Réponse : J’ai oublié.
    Question : Vous avez oublié. Pouvez-vous nous donner un exemple de ce que vous avez oublié ?

    Question : Quelle fut la première chose que votre mari vous a dite quand il s’est réveillé ce matin-là ?
    Réponse : Il a dit « Où suis-je, Cathy ? ».
    Question : Et pourquoi cela vous a-t-il mise en colère ?
    Réponse : Mon nom est Susan.

    Question : Et à quel endroit a eu lieu l’accident ?
    Réponse : Approximativement au kilomètre 499.
    Question : Et où se trouve le kilomètre 499 ?
    Réponse : Probablement entre les kilomètres 498 et 500.

    Question : Le plus jeune fils, celui de 20 ans, quel âge a-t-il ?

    Question : Étiez-vous présent quand votre photo a été prise ?

    Question : Était-ce vous ou votre plus jeune frère qui fut tué durant la guerre ?

    Question : Vous a-t-il tué ?

    Question : À quelle distance étaient les véhicules au moment de la collision ?

    Question : Vous étiez là jusqu’à ce que vous partiez, est-ce exact ?

    Question : Combien de fois vous êtes-vous suicidé ?

    Question : Elle avait trois enfants, vrai ?
    Réponse : Oui.
    Question : Combien de garçons ?
    Réponse : Aucun.
    Question : Il y avait des filles ?

    Question : Docteur, combien d’autopsies avez-vous effectuées sur des morts ?
    Réponse : Toutes mes autopsies on été effectuées sur des morts.

    Question : Toutes vos réponses doivent être orales. À quelle école êtes-vous allé ?
    Réponse : Orale.

    Question : Vous souvenez-vous à quelle heure vous avez examiné le corps ?
    Réponse : L’autopsie a commencé vers 20h30.
    Question : Et M. Dennington était mort à cette heure ?
    Réponse : Non, il était assis sur la table à se demander pourquoi je faisais une autopsie.

    Question : Docteur, avant de faire votre autopsie, avez-vous vérifié le pouls ?
    Réponse : Non.
    Question : Avez- vous vérifié la pression sanguine ?
    Réponse : Non.
    Question : Avez-vous vérifié s’il respirait ?
    Réponse : Non.
    Question : Alors, il est possible que le patient ait été vivant quand vous avez commencé l’autopsie ?
    Réponse : Non.
    Question : Comment pouvez-vous en être certain, Docteur ?
    Réponse : Parce que son cerveau était sur mon bureau dans un bocal.
    Question : Mais le patient ne pouvait-il quand même pas être encore en vie ?
    Réponse : Il est possible qu’il ait été encore en vie et en train d’exercer le métier d’avocat quelque part

    http://life-in-the-dead.over-blog.com/





  • maharadh maharadh 27 juin 2009 22:44

    @l’auteur,
    Exellent papier merci, je suis en phase à 100% avec votre analyse et votre vision de l’évolution de notre civilisation ,et notamment avec ce que vous écrivez comme conclusion de votre lien ,je vous cite

    "Ce scénario n’est pas une fiction. Pour au moins la moitié de l’humanité, il a été mené à son terme et c’est bien ainsi que les choses se passent au quotidien : la fin du monde est arrivée. Pour l’autre moitié - incluant l’Occident - cette évolution est déjà bien en marche et l’on en vit les étapes. C’est le syndrome du désordre. Chaque année, se rétrécit l’espace dans le monde où l’ordre règne vraiment.« 

    Quant à »l’affaire Karachi " à l’allure ou le peu de ce qui reste de notre démocratie , fous le camp, il est fort probable que cette affaire passe à la trappe .

    L’espace de liberté que représentait internet concernant la liberté d’expression ayant ou allant subir le même chose, il ne faut donc pas compter sur les médias qui sont aux ordres pour faire des investigations dignes de ce nom.

    Pour l’heure on à donner quelques os à ronger au peuple, burqa,et idole trépassée occupent l’esprit du bon peuple.



  • maharadh maharadh 25 juin 2009 22:46


    L’expérience a montré que la méthode la plus simple pour rendre efficace le contrôle du public est de le maintenir ignorant des principes basiques des systèmes d’un coté, tout en le gardant dans la confusion, désorganisé, et distrait avec des sujets sans importance réelle de l’autre coté.

    Pour ce faire on se sert par exemple des médias pour garder l’attention du public adulte distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle.

    Ainsi pour détourner les Français des véritables problèmes de notre société on créé une loi contre le port de la burqa portée tout au plus par une dizaine de musulmanes dans notre pays , qu’elles soient consentantes ou non de porter « cette aliénation de la personne humaine » .

    Il me semble que c’est d’abord aux musulmanes de se débarrasser de ces oripeaux comme les femmes occidentales l’on fait .

    Ma burqa vaut bien une prière ? ( traduction libre).

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