Pas étonnant que les élites de ce pays soient autant déconnectées des réalités si les professeurs de grandes écoles ne sont, eux même, pas capables d’avoir une vision réelle de la société.
Il ne s’agit ni d’être pessimiste ni optimiste mais d’être simplement réaliste. Qui peut croire que toute cette accumulation de dettes, absolument gigantesque et sans précédent dans l’histoire, va nous conduire à une reprise durable.... Et je ne parle pas non plus des dossiers de sur-endettement des ménages qui explosent.
Les féministes attisent la misogynie comme les antiracistes attisent le racisme.
Les hommes et les femmes sont différents mais aucun des deux n’est supérieur à un autre, nous sommes justes complémentaire et nous avons besoin de cette complémentarité pour y trouver l’harmonie.
Mais chacun doit rester dans son rôle que lui a défini la nature car ç vouloir toujours nier nos différences on ne finira que nier notre être biologique, notre humanité et ce que nous sommes ! Et au final cela produira que des êtres seuls dans une société matérialiste auquel on se rattachera pour exister.
Ce ne sont pas les Américains qui ont la main mise sur le pétrole irakien mais les Chinois qui ont été plus malins en leur passant devant.
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La Chine est désormais le premier opérateur étranger dans le secteur
pétrolier en Irak, pays détenteur des troisièmes réserves mondiales.
Dans l’ancienne Mésopotamie, dont l’or noir fut historiquement la
chasse gardée des Britanniques, la mainmise des ressources pétrolières
par l’empire du Milieu a valeur de symbole.
La compagnie chinoise CNPC a signé la semaine dernière un accord
définitif pour exploiter le plus grand champ du pays, Roumaila, dans le
sud, dont les réserves sont estimées à 17,7 milliards de barils. La
CNPC s’est associée au sein d’un consortium international au
britannique BP et au gouvernement irakien. En Irak, les autres
compagnies chinoises, la Cnooc, la Sinochem et la Sinopec, ont aussi
joué la carte des alliances internationales pour répondre aux appels
d’offres. Une stratégie qui contraste avec la politique d’acquisition
tous azimuts qui s’est poursuivie ces derniers mois. Pékin avait dû
renoncer en 2005 à l’achat de l’américain Unocal devant la levée de
boucliers politiques à Washington, mais depuis, les sociétés chinoises,
toutes aux mains de l’État, ont multiplié les prises de contrôle dans
le secteur pétrolier. En Irak, Sinopec a acheté en juin la compagnie
internationale Addax, présente au Kurdistan, pour 7,2 milliards de
dollars (5,27 milliards d’euros). Cet été, Sinochem s’est offert le
britannique Emerald Energy pour 619 millions d’euros.
On empêchera pas non plus la mondialisation, le capitalisme, l’exploitation, la pollution etc. est-ce que cela veut dire qu’il va falloir tout accepter ?
Bien sûr que non et il va falloir se batte pour empêcher l’inéluctable.
Le véritable débat politique ne se résume plus entre la droite et la gauche mais entre les mondialistes et les nationaux !