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Marianne

Marianne

Ex-journaliste

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  • Premier article le 27/04/2009
  • Modérateur depuis le 10/06/2009
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Derniers commentaires



  • Marianne Marianne 28 janvier 2012 15:47


    Résister à la finance, oui mais comment ?

    http://www.placeaupeuple2012.fr/resister-a-la-finance-oui-mais-comment/

    Les mesures du Front de Gauche pour reprendre le pouvoir aux banques et aux marchés financiers



  • Marianne Marianne 30 décembre 2011 19:21

    En tout cas, voici une video qui a toute sa place dans cette discussion :

    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=8txnO3-yMQU



  • Marianne Marianne 3 mars 2010 19:23

    @ eleusis

    "Certaines sociétés autorisent d’ailleurs leurs actionnaires à réinvestir leur dividende sous forme d’achat d’actions. A l’inverse, un actionnaire souhaitant disposer d’une partie des bénéfices de l’entreprise dont il détient des parts peut le faire quand bien même l’entreprise en question ne distribuerait pas de dividende. Il lui suffit de revendre une partie de ses actions correspondant au montant qu’il aurait souhaité obtenir sous forme de dividende....

    Le versement du dividende a pour effet que le cours de l’action baisse du montant du dividende et a donc un effet dans la fluctuation du cours de bourse. En réalité la baisse du cours de l’action a lieu le jour de l’ex dividende, c’est-à-dire le jour à partir duquel les actionnaires peuvent vendre leurs actions tout en étant assurés de recevoir les dividendes et à partir duquel les nouveaux actionnaires ne les toucheront pas. Le cours ex dividende a lieu environ deux semaines avant le versement des dividendes. La baisse du cours de l’action lors du jour de l’ex dividende n’est pas orchestrée par l’entreprise émettrice des dividendes mais il s’agit d’une auto-régulation du marché...."

    Source Wikipédia



  • Marianne Marianne 3 mars 2010 18:19

    J’ai lu l’article de Lordon dans le Monde Diplo et ce que je retire de celui-ci est la chose suivante : c’est que les bourses ne servent pas - comme elles et les partisans du « marché » le prétendent souvent - à renflouer le capital des entreprises en difficulté mais qu’au contraire ce sont les entreprises en bonne santé créant de la valeur ajoutée qui renflouent les actionnaires et donc la bourse.

    Le volume des transactions boursières étant globalement de plus en plus constitué par des opérations purement financières - prêts, vente et rachat de crédits, création de bulles, etc... - qui augmente les dividendes des actionnaires mais assèchent les économies, l’argent allant à la spéculation, non à la production de biens ou services et à l’emploi.

    Le reproche que vous faîtes donc à Lordon et Jorion de ne pas se placer sur le terrain de la philosophie mais sur celui des marchés financiers (et de leur suppression), donc de l’économie, me paraît terriblement tiré par les cheveux.

    Marx, économiste et philosophe, lui-même a montré que l’économie est rattachée à la philosophie dans le sens où les critères économiques découlent de choix idéologiques et soit sont tournés vers la privatisation des moyens de production et vers le profit, soit au contraire vers la collectivisation des moyens de production et la satisfaction des besoin de tous.

    Pour mettre en oeuvre ces choix idéologiques, conserver et étendre leurs privilèges, les capitalistes (grands industriels et financiers) ont créé et utilisent des institutions comme la bourse, le FMI, l’OMC, l’OCDE, la FED, la BCE, l’OTAN...etc... chargés d’imposer par le marché ou par la loi la religion de l’argent roi, de l’accumulation du capital comme remède à tous les maux alors que ce dernier est - nous le savons et le voyons clairement aujourd’hui - la cause de bien des malheurs...

    Supprimer ces institutions (et les remplacer par d’autres) et, comme le dit Lordon, ne pas avoir peur de lever ce tabou, c’est donner à l’argent, aux échanges entre producteurs et consommateurs une toute autre valeur que celle qui consiste à le faire fructifier artificiellement pour remplir les poches de quelques uns au détriment de tous les autres.

    Contrairement à vous, je pense au contraire que ce dont les gens ont besoin c’est de plus d’argent, de plus gros salaires, de meilleurs services publics, etc... et que ce sont les mécanismes et les institutions du système capitaliste dénoncés par Lordon et Jorion, ce système bien rôdé, qui pompent toutes ces richesses produites au départ par les travailleurs.

    Ces richesses doivent donc revenir aux travailleurs et servir au développement de l’ensemble de la société. Il faut donc par la loi, c’est à dire par la politique, changer les règles économiques pour qu’elles correspondent aux attentes des populations qui créent véritabelement les richesses par leur travail.

    Proposer de « supprimer l’argent », c’est un peu comme botter en touche et faire fi des arguments mûrement réfléchis des deux intellectuels que vous citez.

    Oui, écrit Lordon, on peut se passer de la bourse, ce Monopoly géant du système capitaliste ! Et c’est être à mon sens autant philosophe qu’économiste que de l’affirmer et de le démontrer !

    Quant à la monnaie comme simple valeur d’échange, l’argent, c’est une autre histoire qui remonte à des temps bien plus reculés que le capitalisme.



  • Marianne Marianne 18 août 2009 12:17

    Je parlais d’acquis sociaux. Ca a commencé par l’annualisation du temps de travail qui destructure les semaines et impose des rythmes très difficiles à vivre aux travailleurs, ça continue avec le travail du dimanche...

    Bref la vie des gens est de plus en plus entièrement vouée à la volonté patronale et à la rentabilité financière de l’entreprise, vous le dîtes vous-mêmes et vous semblez heureux de cela. Vous dîtes que vous aviez le choix (ou vous préférez vous dire que c’est votre choix, c’est selon...), le problème c’est que tout le monde ne l’a pas

    Mais pouvez-vous imaginer que d’autres personnes trouvent leur équilibre dans autre chose que le boulot (ou la consommation) surtout s’il n’a pas beaucoup d’intérêt ? De plus, j’ai exercé un métier très intéressant, mais voyez-vous, j’aimais bien voir d’autres personnes le dimanche (la famille, les amis, etc...), les enfants ne vont pas à l’école le dimanche que je sache !.

    Taillable et corvéable à merci, non merci ! Les médias nous ont fait du cinéma parce qu’il y a eu quelques embouteillages sur les routes de France au moment du chassé-croisé des vacanciers mais j’ai pour ma part rencontrer de nombreux couples qui ne pouvaient pas partir ensemble (ou juste une semaine) parce que le patron en avait décidé autrement.

    On en a marre de leur faire gagner du pognon sur notre dos et qu’ils en veulent toujours plus !

    Mais je vous le répète, si vous voulez réduire vos congés payés, allez voir votre patron, cela m’étonnerait qu’il refuse. Mais je suis pour ma part pour que la loi l’oblige à accorder cinq semaines à ceux qui ne sont pas aussi empressés que vous à lui faire gagner de l’argent.

    Itou pour le dimanche qui doit rester un jour chômé sauf pour les activités impérieuses (médecin, pompier ou autres) et encore pour ces derniers avec des aménagements qui permettent à ces professionnels de travailler un dimanche sur 8 ou 10. En créant des emplois, cela devrait être possible, non ?

    Est-ce que mon point de vue vous paraît plus clair à présent ?

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