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J'écris depuis toujours, et finalement depuis pas mal d'années. 
Mes activités de reporter amateur me permettent de garder l'oeil sur le monde qui m'entoure et de traiter les domaines qui m'intéressent (Economie Sociale et Solidaire, social, économie, technologie).

Tableau de bord

  • Premier article le 17/05/2006
  • Modérateur depuis le 19/12/2006
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • mortimer mortimer 28 juin 2007 08:50

    Et moi je répondrai : MERCI ! smiley



  • mortimer mortimer 23 juin 2007 18:44

    Ca veut dire : arrêtez de vous plaindre de la justice et commencez par agir comme si vos actes devaient être au niveau des exigences que vous avez envers la justice. Il s’agit sans doute d’une vision un peu utopique, mais très Kantienne, d’un comportement « moral »... Evidement, cette invite ne peut faire oublier que la justice est aussi sous influence, ce que d’ailleurs ni Eric de Montgolfier ni Robert Charvin ne nient...



  • mortimer mortimer 21 janvier 2007 21:03

    Quoi de neuf sur cette question Véronique, depuis le 22 février 2006 ?



  • mortimer mortimer 18 décembre 2006 00:08

    Le problème vient sans doute de ce que lorsque la forme s’éloigne autant du fond, il convient de se poser des question sur le fond qui motive la formule. Ici, on peut se demander si Pascal Sevran ne pouvait pas dire autrement ce qu’il a dit, pour rester fidèle au fond en lui donnant plus de... dignité. Sa parole aurait pu être dite pas Jean-Marie, ça n’aurait étonné personne qu’elle le fut. Venant de Tintin, on en vient à se poser des questions sur lui, ses peurs, ses haines, etc. Mais je suis bien d’accord avec l’idée selon laquelle il n’a finalement dit « tout haut ce que d’autres pensent tout bas »... ça me rappelle quelqu’un !...



  • mortimer mortimer 13 novembre 2006 10:23

    J’aimerai répondre à cet article tant il me parait synthétiser la somme des positions qui risquent de conduire la gauche à l’échec en 2007. Toutes visent à fonder cette défaite sur un déni de politique, le même déni qui conduisit Jospin à perdre les élections de 2002 alors même qu’il devait les gagner.

    L’auteur traite son sujet en 3 points auxquels je veux répondre :

    1. La stratégie :

    a) Les anti-libéraux du P.S vont tacler la candidatures de Royal encore plus fort que celle de Jospin : Ces anti-libéraux jouent sur le terrain d’une frange marginale de la population qui tend à diminuer ou à constater l’impuissance dans laquelle leurs positions placent la France (voir le dernier refus Européen qui, en l’absence du fameux « plan B », a totalement « noué » la marge d’initiative du pays au sein de la communauté). Quand donc ces figures de défaite vont-ils disparaître du P.S ?

    b) La candidature de Royal s’est construite sur le refus du débat contradictoire à l’intérieur de son parti. Le mythe tombera dans les premières joutes contre ses adversaires de droite : Royal n’a pas construit sa candidature sur le refus du débat, elle l’a fondé sur le refus du débat « entre seuls socialistes ». Dès l’amorce de sa candidature elle a placé le débat entre les français, contre une vision partisane qui marque le débat au sein du PS, ce dont les français ne veulent plus. Les premières joutes, n’en déplaise aux conservateurs du PS, placeront le débat à l’extérieur du parti, c’est-à-dire entre les français...

    c) Le débat PS a montré les limites de la candidate, ses approximations, ce qui posera problème face aux compétiteurs chevronnés de droite : Pur parti pris ! Royal s’exprime sur tous les sujets et refuse de ne s’intéresser qu’aux thèmes de prédilection du parti et sur lesquels ses contradicteurs présentent les réponses traditionnelles du parti... ce dont les français ne veulent plus (quand le comprendrez-vous ?).

    2. L’opinion :

    a) Comme Barre ou Balladur, Royal est en phase avec l’opinion. Ils se sont « cassé les dents » sur l’opinion : Barre et Balladur sont partis au combat sans le parti, il se sont fait « flinguer » par un homme de parti, Chirac. L’attitude de Royal vise à s’assurer du soutien du PS sans s’aliéner au parti. Elle adopte en cela une stratégie plus Mitterrandienne que Rocardienne, est beaucoup plus crédible que DSK qui, malgré ses réseaux, ne parvient pas à convaincre le parti, ou de Fabius qui n’a jamais réussi à « reprendre » les réseaux Mitterrandiens à son compte pour se perdre dans une position assez peu crédible.

    b) L’opinion est volatile, tant sur les candidats que sur les idées. Le candidat doit donc « incarner » une « vision politique » et être capable de la présenter à l’opinion, de lui proposer cette vision. Or Royal « ne semble(rait) pas prête pour endosser ce rôle » car le citoyen est de moins en moins fidèle aux idéologies défendues par les partis politiques : Belle expression de « parti pris » pour quelqu’un qui, au passage, prétend ne soutenir aucune candidature ! Comment argumenter ce « ne semble pas prête » autrement que comme un a priori partisan ? La vérité est que de nombreux politiques ne « sont pas prêts » à laisser le champ libre à une femme, surtout si elle a des idées, que ces idées ne sont pas celles d’un idéologue anti-libéral ou anti-social. La vérité est que certains socialistes veulent bien gagner à condition de convaincre les français qu’ils ont tords et qu’eux ont raison (c’est sans doute cela que l’auteur entend par « incarner (une) vision politique » à « présenter » au citoyen « de moins en moins fidèle aux idéologies défendues par les partis politiques »...).

    3. Redonner confiance en la politique :

    a) Royal est une ancienne de la politique et ne peut incarner ce renouveau de la politique nécessaire pour atteindre cet objectif. Ses adversaires feront « tomber le masque » : Comment penser que ses adversaires de droite, dont le premier met en avant une stratégie de « rupture » tout en se agissant depuis tant d’années au sein des gouvernements de droite, seront crédibles sur ce terrain, face à une candidate qui a certes occupé des fonctions nationales, mais qui s’est surtout fait connaître par une politique atypique, volontaire et efficace en région ? Ne parlons pas de ses adversaires d’extrême droite (mais, en politique, souvenons-nous des propos de Talleyrand : « gardez-moi de mes amis, mes ennemis je m’en charge »).

    b) Ce masque tombera encore plus facilement lorsqu’il faudra aborder le fond et quitter le « champ des concepts et de formules ». Comment Royal réussira-t-elle à faire croire, une fois la campagne installée et ses « adversaires » à l’oeuvre, que le soutien à sa candidature ne constitue pas un « acte de foi » ? : Une campagne politique, si elle veut conduire à la victoire, est-elle autre chose qu’un acte de foi ? Notez que je parle de « campagne politique » et non de « la politique », laquelle a besoin d’idées, de méthodes et d’actions, bref de tout ce qui constitue « le fond » dont parle l’auteur.

    Pour conclure ma réponse à cet article, je dirai que l’auteur a raison : c’est bien à la perte d’un PS obsolète que la candidature Royal conduira. Elle conduira aussi à la victoire d’un parti refondé sur les vraies valeurs sociales-démocrates de participation, de dialogue, d’innovation et d’ouverture ; des valeurs qui, pour une fois en France, ont une chance de se révéler porteuses de succès sur le plan électoral... à moins que d’aucuns s’acharnent à perdre et à perdre toujours les batailles contre eux-mêmes et les français.


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