Neozenith

Personnellement, le pseudonyme me permet une plus grande liberté d’expression. Je n’ai pas spécialement envie que des personnes qui me connaissent, ou surtout qui cherchent à me connaître en récupérant des renseignements sur moi grâce à internet, glanent des informations sur ma vie privée. Lorsqu’on voit l’utilisation faite d’internet par ce gouvernement (Morano, Albanel) et d’autres, le pseudo permet une première barrière contre toutes les agressions et atteintes à la vie privée.

Internet permet d’être anonyme et donc d’évoquer nombre de sujets que nous n’oserions pas évoquer avec les personnes de notre entourage.

Et pour répondre aux questions (muettes ?) de l’auteur, si je suis uniquement commentateur, c’est par manque de temps mais aussi et surtout parce que je suis très mauvais à la rédaction d’articles ;)

Très bonne étude et très intéressante ! Dommage cependant qu’il ne soit pas possible de faire porter l’étude aussi sur les commentateurs qui n’ont jamais rédigé d’articles, puisque même si ce ne sont pas eux qui créent chaque jour le site, ils contribuent quand même à ce qu’il vive.

« La grippe normale n’affecte que les sujets fragiles alors que la pandémie touche tout le monde. »

Pas tout à fait exact : n’importe qui peut être contaminé par la grippe, seulement la proportion de contaminés est plus forte chez les personnes fragiles. De plus, seules les personnes fragiles en meurent.

Euh... Un article rédigé en un seul paragraphe, ouah ! Belle performance !

Dommage car je pense que ce texte était intéressant...

Personnellement, j’ai grandi avec les premiers téléphones portables. Dur quand on est jeune d’écrire en sms sur son téléphone et msn, et à côté bien écrire dans les copies, lettres, rapports...

Au début, j’écrivais ainsi par mimétisme, puis parce qu’effectivement, un sms coûte beaucoup plus cher lorsqu’il est bien rédigé. Puis petit à petit, constatant que mon orthographe devenait pitoyable, j’ai arrêté ces conneries. J’avais perdu toutes mes notions de conjugaison !

Maintenant, lorsque je rédige un sms, c’est sans abbréviation ni faute volontaire, puis je réduis en fonction du nombre de caractères.