• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Patrick Dussert-Gerber

Patrick Dussert-Gerber

Marié, trois enfants, épicurien, amateur d’art contemporain, cet ancien boxeur, joueur d’échecs, passionné des civilisations anciennes et des technologies modernes, levé tôt et couché tard, prépare aussi des romans et nouvelles.            
 
D'origines alsacienne et savoyarde, Patrick Dussert-Gerber est né en Algérie en 1956 dans une famille exploitant la terre, dont des vignobles. Après des études de droit, il débute une carrière de journaliste professionnel. Sa rencontre avec un œnologue de renommée internationale, Jacques de Loustaunau de Guilhem, Bordelais d'origine et chef de l'Institut technique de la vigne et du vin de Nantes, sera le point de départ de sa spécialisation dans le domaine du vin. Il apprend avec lui le métier du vin, ses secrets et l'art de la dégustation, et devient l'un des nez les plus respectés.
L'atavisme aidant, sa passion pour ce “sang de la terre et du ciel” l'amène à collaborer avec de nombreux titres de la presse française, à créer Magnum, le premier magazine grand public consacré aux vins et alcools, et à lancer Millésimes, la bible annuelle des amateurs de vins, devenue une référence incontournable. Il a dirigé également L'Officiel des Grands Vins, davantage destiné aux professionnels.
Le livre qui fait sa renommée internationale est le Guide Dussert-Gerber des Vins de France, véritable best-seller (Editions Albin Michel, 30e année, plus d'1 million de lecteurs), reconnu comme la référence indispensable pour les amateurs et les professionnels et consacré par le prix Gutenberg (équivalant aux Césars du cinéma) comme le meilleur guide des vins.
Depuis 35 ans, “PDG” est certainement l'auteur français le plus important et prolifique dans le domaine du vin. Il a signé plus d'une trentaine de livres (http://blog.guidedesvins.com/du-meme-auteur/) : L'Encyclopédie Mondiale des Vins (Albin Michel), Le Guide des vins d'Europe (Albin Michel), Le Guide d'achat des bons vins (Marabout), 52 Week-ends réussis (Marabout), Les Seigneurs du Cahors (Michel Lafon), Le Guide des meilleurs produits et spécialités de France (Albin Michel), L'Amour du vin (Albin Michel), Le Guide des vins de Bordeaux (Albin Michel), Les Vins du Siècle (Millésimes)...
C’est surtout un précurseur, le premier dans le monde du vin à avoir su investir dans le Net, bien avant les autres. Éditeur, il est aujourd’hui le leader incontournable, avec des sites très importants, qui attirent des centaines de milliers d’internautes, comme Guide des Vins, www.guidedesvins.com, unique dans son domaine. Le site du prestigieux annuel Millésimes®, www.millesimes.fr, multilingue, accentue son développement en Europe et aux États-Unis, avec la création d’autres sites “satellites”, édités en anglais, espagnol et allemand. Vinovox®, le webvin magazine, www.vinovox.com, est devenu une référence avec sa Newsletter gratuite hebdomadaire adressée à quelque 89.000 exemplaires.
Patrick Dussert-Gerber gère quelque 200 sites et blogs...
® : marques déposées INPI
 

Tableau de bord

  • Premier article le 10/01/2007
  • Modérateur depuis le 22/01/2007
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 40 160 676
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 43 10 33
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Patrick Dussert-Gerber Patrick Dussert-Gerber 12 septembre 2008 12:01

    Je suis d’accord avec vous : les prix du Champagne sont certainement ceux qui sont les plus cohérents. Les bonnes cuvées de vignerons se trouvent en effet entre 12 et 15€, et ceux des masons sérieuses entre 20 et 25€, pour les consommateurs qui ont besoin d’avoir une marque pour les rassurer. Les très belles cuvées de vignerons débutent à 20€...

    Par rapport à certains "grands" crus de Bordeaux ou à des vins surcôtés du Languedoc, ce n’est pas cher. Et puis, le vin, ce n’est pas une boisson : le plaisir est le seul critère.



  • Patrick Dussert-Gerber Patrick Dussert-Gerber 12 septembre 2008 07:55

    Votre réaction ne fera que sourire les lecteurs de mon guide  : 29e année, plus d’1 million, quand même, qui ne seraient que des "couilllons" pour m’adapter à votre diatribe.

    Mon article -tout le monde l’a compris- est un RESUME. Si vous voulez un compte-rendu précis, mon Fuide fait 680 pages... Quant à la défense et à l’originalité des terroirs, s’il y a quelqu’un qui le fait, contre les gadgets œnologiques et les modes, c’est bien moi.

    Dernier point : que vous regrettiez le temps béni des cavistes du coin c’est votre problème, mais faut vivre dans la réalité : les vendeurs de grandes surfaces ne sont pas moins bons et ce marché représente 80% des ventes AUJOURD’HUI.

    Inutile donc d’être si amer, cela ne va pas avec le "goût du vin".



  • Patrick Dussert-Gerber Patrick Dussert-Gerber 11 septembre 2008 21:30

    Merci pour cet article autant sympathique qu’objectif.

    Dire qu’il y a de belles réussites en rouges 2007 en Anjou comme en Touraine, c’est tromper les consommateurs. Si vous vous estimez "bon connaisseur des vins de Loire" (quelles justifications apportez-vous pour dire cela ?), merci d’acepter que j’y vais depuis 30 ans, et que le métier de journaliste en la matière est quand même plus objectif que celui d’un commerçant...

    Allez, faut pas vous énerver, débouchez un Sancerre rouge 2007...



  • Patrick Dussert-Gerber Patrick Dussert-Gerber 11 septembre 2008 20:15

    Pas bien compris votre allusion : qu’y a-t-il de commercial de renvoyer à ma Vintage Code (qui est gratuite) ou à mes sites qui sont d’accès gratuit et où ON NE VEND AUCUN VIN. Etrange, cet état d’esprit.



  • Patrick Dussert-Gerber Patrick Dussert-Gerber 11 septembre 2008 20:13

    Il n’y a rien d’étrange dans le fait que cette série de millésimes : 2000 à 2007 soit réussie. A Bordeaux, en rouges, c’est une évidence, même si -bien entendu- il y a des écarts qualitatifs (et de prix, cqfd). Ce qui change, c’est le potentiel d’évolution des vins. Les 2001 et 2004 à Bordeaux sont moins concentrés, plus classiques en fait, que les 2000 et 2005, mais pourtant largement tout aussi séduisants. Il faut simplement savoir les boire au bon moment. Je vous renvoie vers ma Vintage Code.

    Dans toute la France, c’est la même chose. Seuls 2 "bémols", où les vins ont été beaucoup plus difficiles à maîtriser : le 2007 en rouge dans la Loire et l’Alsace (c’est la raison pour laquelle il y a eu beaucoup plus d’excellents rosés cette année) et le 2002 dans la vallée du Rhone et en Languedoc (mais aussi eln iquoreux bordelais).

    En fait, on ne fait pratiquement plus de mauvais millésimes depuis 1995, catastrophes naturelles exceptées..

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv