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  • Premier article le 19/10/2006
  • Modérateur depuis le 19/01/2009
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Derniers commentaires



  • Patrick FERNER 18 juin 2009 18:04

    Dalil Boubakeur a changé le sens du verset :

    Sourate 4

    34. "Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu’Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu’ils font de leurs bien. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l’absence de leurs époux, avec la protection d’Allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand " !


    Il s’agit de les frapper et non de « sévir contre elles ». Je précise que ce verset est extrait d’une version du Coran validée... par la Mosquée de Paris. Manifestement, son ancien recteur cherche à nous tromper



  • Patrick FERNER 15 juin 2009 14:06

    Effectivement, on ne voit pas ce que hadopi 2 peut apporter, à moins de faire une exception dans le code de procédure pénale et d’encourir de nouveau la sanction du Conseil Constitutionnel pour rupture d’égalité devant la loi. L’inénarrable Frédéric Lefèvre a même évoqué la création de tribunaux spécialisés dans ce type de délit., alors que Rachida Dati, garde des sceaux, en a supprimé ! En fait, il ne faut pas chercher dans l’autisme du pouvoir une cause rationnelle, mais seulement la peur, celle d’un système de communication et d’information tel qu’internet qui se développe pas tant contre lui que sans lui. Et quand on a peur, on finit par faire n’importe quoi, y compris perdre toute dignité, et s’il en
    restait une once à Christine Albanel, elle démissionnerait au lieu de faire comme le coq qui continue à chanter alors qu’il a les deux pattes dans le fumier.



  • Patrick FERNER 15 juin 2009 13:54

    « Hadopi 2 sera présenté en Conseil des ministres à la fin du mois

    Le gouvernement veut au plus vite faire oublier la claque qu’il a reçue du Conseil constitutionnel. Le texte complémentaire à la loi Hadopi sera présenté dès ce mois-ci, pour une adoption prévue au Parlement lors de la session extraordinaire de juillet.
    Christine Albanel a annoncé vendredi que la loi Hadopi sera promulguée et publiée au Journal Officiel »dans les tous prochains jours« , dans sa version rabotée par le Conseil constitutionnel. Concrètement, il s’agit donc de valider la création de l’Hadopi, qui aura pour seuls pouvoirs l’envoi de recommandations aux internautes suspectés de mal protéger leur accès à Internet contre le piratage, et de labelliser les moyens de sécurisation et les offres légales.
    Comme elle l’avait déjà annoncée, la ministre de la Culture entend »compléter la loi« , avec un nouveau texte qui sera présenté là aussi, »dans les tous prochains jours« . Le Conseil d’Etat en sera immédiatement saisi, lui qui n’a pas trouvé grand chose à redire à une loi qui violait - pardonnez du peu - la présomption d’innocence, les droits de la défense, le respect de la vie privée et la liberté d’expression. Une fois cette formalité remplie, le texte de l’Hadopi 2 sera présenté au Conseil des ministres »avant la fin du mois de juin« .
    Il sera alors inscrit à l’ordre du jour de la session extraordinaire du Parlement, en juillet. Petit en taille, le projet de loi devra compléter le dispostif tronqué de la loi Hadopi, en prévoyant ce que tous les opposants au texte réclament depuis de nombreux mois : l’obligation de passer par le juge judiciaire pour prononcer la suspension de l’accès à Internet.
    Christine Albanel a en effet indiqué que la loi serait complétée pour »tirer les conclusions« de la décision du Conseil constitutionnel, »en confiant au juge le pouvoir de prendre les sanctions appropriées et notamment de décider une suspension temporaire de l’accès à Internet, dont le principe a été validé par le juge constitutionnel« . L’un des points encore flous concerne les juridictions qui seront saisies. S’agira-t-il des juridictions ordinaires, ou de tribunaux spéciaux comme l’a souhaité Frédéric Lefebvre ?
    Quoi qu’il en soit, les juges qui auront à sanctionner les internautes après saisine de l’Hadopi auront, par application de la décision du Conseil constitutionnel, l’obligation de vérifier la matérialité des faits avant de prononcer toute sanction. Il ne sera plus question de présomption de culpabilité, mais bien de présomption d’innocence. Or, sauf à ordonner de très coûteuses (et donc de très rares) perquisitions aux domiciles des internautes, on ne voit pas par quels moyens les tribunaux pourront avoir la preuve que le titulaire d’un abonnement à Internet avait bien protégé son accès, ou l’avait au contraire laissé délibérément sans protection.
    Même la présence d’un fichier piraté sur un disque dur de l’abonné ne devrait pas être une preuve suffisante. Elle prouverait simplement qu’il y a eu contrefaçon, pas qu’il y a eu défaut de surveillance de l’accès à Internet.
    C’est donc bien le seul délit de contrefaçon qui pourra être poursuivi par les parquets. Or ce délit existe déjà. A peine annoncée, la loi Hadopi 2 promet déjà d’être totalement inutile.
    Mais au moins, elle ne devrait pas violer les droits fondamentaux, et donc susciter moins d’opposition... »

    Article diffusé sous licence Creative Common by-nc-nd 2.0, écrit par Guillaume Champeau pour Numerama.com





  • Patrick FERNER 11 juin 2009 13:20

    « En n’abolissant définitivement l’esclavage qu’en 1815 »

    Faux ! L’esclavage fut aboli une première fois le 29 août 1793 par la Convention ; c’est Napoléon qui le rétablit sous la pression de son épouse, Joséphine de Beauharnais, fille de planteurs martiniquais et ce n’est que le 27 avril 1848 que l’esclavage fut déinitivement aboli par Victor Scheoelcher

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