@Joséphine La Hongrie c’est moins de 10 millions d’habitants dans une UE de près de 500 millions d’habitants. La seule chose qu’Orban peut faire c’est lancer des petits cailloux puis rentrer dans le rang. L’UE ne basculera jamais dans votre camp qui est celui de l’extrême-droite la plus radicale. D’ailleurs les nationalistes n’ont jamais été fichu de s’entendre entre eux. L’Europe des patries, c’est l’Europe de la guerre. Vous vivez dans des fantasmes, heureusement que vous ne pesez rien. Quand on vous entend aduler des guignols comme Trump ou Orban et soutenir toujours les populistes les plus vulgaires on comprend le niveau lamentable de vos attentes politiques.
@Lynwec Vous n’avez pas la logique des militaires. Si le barrage très proche des zones de combat avait été repris par les ukrainiens, il leur aurait suffit de refermer les vannes supprimant ainsi l’avantage russe. Vous vous gargarisez beaucoup, vous devriez réfléchir plus. C’est moins bon pour la gorge mais meilleur pour le cerveau.
@Christophe Avec vous c’est toujours deux poids deux mesures. Des pudeurs de pucelle pour le barrage une mâle assurance pour North Stream alors même que rien n’a été prouvé jusqu’ici. Pourtant de nombreux éléments plaident pour une destruction par les russes. Ils contrôlent ce barrage qui ne peut être détruit par bombardement mais seulement par explosion interne. Ils rendent la traversée du fleuve difficile et limitent ainsi le risque d’une progression de l’Ukraine vers le sud. Des habitants de la rive contrôlée par les russes font état d’un retrait du matériel militaire et des hommes quelques jours avant l’explosion. L’inondation met en péril des dizaines de milliers d’habitants, des milliers d’hectares agricoles très fertiles, des infrastructures importantes pour la menée de la guerre. On voit mal pourquoi l’Ukraine se tirerait une balle dans le pied et l’argument du canal de Crimée ne tient pas car l’Ukraine pouvait bombarder ce canal sans détruire le barrage et de toute façon priver la Crimée de son canal n’aurait pas fait partir les russes.
@Christophe Séparer l’Histoire de l’historiographie n’a aucun sens cette dernière n’étant qu’un élément de la démarche historique. L’historiographie consiste, devant un fait historique à analyser les discours qu’en ont fait les historiens et la société. C’est donc l’histoire de l’histoire. Rien à voir avec votre charabia qui oppose artificiellement idéologies et événements. Vous soutenez à longueur de temps la rhétorique poutinienne la plus basique tout en accusant vos contradicteurs de faire de la propagande... Vous faites volontiers la leçon aux autres en matière d’histoire alors que vous n’en appliquez aucune des méthodes et naviguez dans l’idéologie pure. Un seul exemple : si vous maitrisiez l’histoire politique russe depuis 45 vous ne feriez pas un usage aussi littéral du terme « nazi ». Je vous suggère de faire l’historiographie de ce mot et de son usage en Russie.