Alors, clarifions nos positions pour mieux nous entendre :
Pour ma part, je ne suis pas un « inconditionnel » des Etats-Unis, mais je reconnais sans peine que, par leur opposition aux forces anti-démocratiques, ils sont le défenseur du monde dans lequel je veux vivre : un monde le plus démocratique possible.
On a tout a fait le droit de critiquer les Etats-Unis, et il y a, effectivement, matière à le faire, sur bien des points. Cependant, ressuciter le dossier des bombardements américains au cours du XXème siècle à ce moment précis de la crise syrienne — quand Washington, par ses tergiversations incessantes, se discrédite aux yeux du monde — est le fait d’une mauvaise politique, si l’on a à coeur les intérêts de la démocratie, c’est-à-dire notre intérêt à nous tous, hommes et femmes à l’expression libre.
Dans ce contexte, je prends sans crainte la défense des Etats-Unis. Je pense que mon point de vue est compréhensible.
Il est temps que cela cesse. Imaginez-vous la France gouvernée pendant 43 ans par une seule et même tribu ? Toutes les forces vitales d’un pays tendues vers un seul clan, l’Etat parasité par les fils, les frères, les oncles et les cousins du dictateur, la société à la botte, forcée de rendre un culte au pire individu qui soit ! Comment peut-on appeler cela une République ? Il faut mettre fin à la dynastie Assad.
Le communisme est le pire fléau que l’humanité ait connu, je pèse mes mots : il a été pire que le nazisme !
Un résistant Polonais qui avait été torturé par les nazis pendant la guerre, puis par les soviétiques à la libération, a expliqué qu’ils étaient pires que les nazis, parce qu’ils l’ont torturé pour le plaisir, alors que les premiers voulaient (seulement !) obtenir des informations...