Jules Seyes

@Paul Jael
Les russes ont accès à LCi dans les mêmes conditions que nous à TASS. La différence est que nombre de francais préférent se servir dans les infos russes que chez nous.
Les russes ne semblent pas éprouver le besoin de traduire les produits de nos médias.
On se demande pourquoi ? Certains, vilains prétendent que nos médias relayant tous les mêmes mensonges, ils n’ont pas d’intérêt !

@Soucougnan
Cet étrange, hormis MSN que je ne peux pas évaluer car le lien est non foncitonnel.
Aucun exemple de votre presse libre ne fait le lien entre cette aide et les lourdes pertes à venir comme je le fait !
Tous détaillent les éléments de l’aide sans jamais poser la question de son opportunité et du coût humain de la poursuite des combats...
Les journalistes sont il incapables ou notre presse est-elle moins libre que vous ne le croyez ?Tous détaillent les éléments

Poser la question c’est y répondre.

@amiaplacidus
Nos troupes ne se sont pas fait botter les fesses. 
On leur a confié une mission innateignable avec des moyens militaires et une stratégie déficiente.
La responsabilité es principalement politique !

@GoldoBlack
Savez-vous que vos propos relévent de la diffamation au pénal ?
Vous n’avez aucune preuve que je sois payé, vous l’inventez pour diffamer et masquer votre absence d’argument.
C’est mérpisable !

@Eric F
Je comprends, et nous ne sommes pas si loin.
Je focalise certes sur la question des pertes car elle permet d’estimer le coût de la poursuite des combats. 
Si le déséquilibre des pertes était moins grave, la stratégie de chute du pouvoir en Russie aurait une valeur. Cet espoir pourrait justifier une poursuite des combats (En étant cynique)
Ce n’est pas le cas car le conflit révéle les failles de nos société occidentales (Je vous passe celle des ukrianiens.) et la mise en faillite de la politique actuelle qui se crispe.
Là, est l’enjeu essentiel : Nos dirigeants refusent de changer de modéle et nous chargent d’une responsbailité morale avec la poursuite des combats pour éviter de reconnaitre l’ampleur de l’échec de notre soi disant modéle.
Et sur ce plan, nous ne pouvons pas prétendre être purs observateurs. Nous sommes stakeholder au sens ou nous subissons les conséquences de cette politique menée avec nos moyens.
Pour les solutions, je les partage à peu près : Arrêt des combats, je tracais des lignes, mais pour moi elle recouvriraient ce que donnerait un vote. 
Et surtout, il faudra traiter la question de la sécurité européenne.J’avais fait une proposition de plan.