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Roger le Suisse

Je suis Suisse. Je vis en France comme bon nombre de mes compatriotes. J'exerce une activité indépendante en Suisse ET en France, avec deux sociétés bien distinctes. Il y a du bon et du moins bon des deux côtés de la frontière. 

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  • Roger le Suisse 13 février 2013 18:31

    @ Philippe913


    J’ai la science infuse ? pourquoi dites vous ça, je m’exprime et donne mes opinions, vous me dites que je me trompe parce que je en suis pas d’accord avec vous, c’est donc que vous avez autant la science infuse que moi donc non ?
    Ah oui, je doute d’une de vos assertions, c’est vrai.


    Le problème, c’est que vous opposez à un doute, non pas à une assertion, mais à fait clairement établi, 100% exact. C’est cela qui m’ennuie, cette manie de toujours contester pour contester, même des faits avérés. Que vous en preniez ombrage ne change rien à l’affaire.

    —> créer une boite et investir dans l’immobilier sont 2 choses totalement différentes, (à part de monter une boite dans l’immobilier) si vous ne voyez pas la différence, je n’y peux rien, et je vous engage à aller voir la rentabilité nette d’un investissement locatif, vous verrez que c’est loin d’être mirifique pour les emmerdements causés, sauf exception.

    Si vous le dites... Cessez de jouer les profs. Je vois sans doute mieux la différence que vous. Qu’avez-vous créé de notable mon cher ? Vous croyez que gérer une boîte est un long fleuve tranquille. Acheter et louer une fortune est un acte facile, en plus sponsorisé par Taxman avec toutes les niches fiscales possibles et imaginables. Créer, c’est un parcours du combattant et vous renoncez au chômage de facto, à une vraie retraite, à une vraie couverture santé,... Si vous vous plantez, tant pis ! Si vous réussissez, même un peu, vous vous faites tondre et refondre. Vous croyez que ce n’est pas truffé d’embûches une boîte : des impayés, des fournisseurs qui ne livrent pas, des demandes farfelues de l’administration, etc. Quand je vois des héritiers jongler avec 50 biens locatifs et faire les beaux dans leur voiture de sport pendant que des gens comme moi se crèvent la paillasse pour développer leur business, oui, je me dis que c’est un eldorado : ils ne produisent rien, moi si. Si ce n’était pas un eldorado, il n’y aurait pas autant de gens attirés par les sirènes du fric facile.

    —> l’agence qui se sucre 600€ (30% du loyer réel) sur le dos du proprio, vous m’assénez que c’est un fait, il faut donc que vous connaissiez bien le proprio ou l’agence pour connaître ces chiffre qui ne vous touchent pas directement. Qu’un propriétaire accepte de se faire enfler de la sorte, j’ai tout de même toujours du mal à le croire.


    Vous vivez dans quel monde ? Vous savez tout de même que les agences ne sont pas des enfants de coeur. Et, oui, je connais intimement le proprio. Ce dernier n’accepte pas de se faire enfler comme vous dites, mais c’est le cas. Finalement, c’est une chaîne : l’agence enfle le proprio qui enfle le locataire.

    —> pas besoin d’avoir la science infuse pour savoir que si les prix montent et descendent sans intervention extérieure, c’est grâce, ou à cause, notamment du marché, et qu’ainsi, si vous voulez vendre 35000 un bien que vous avez acheté 30000, mais que personne n’en veut, et bien vous ne le vendrez pas. Alors oui, personne ne vous forcera à le vendre 25000, mais si vous voulez absolument le vendre, vous serez peut être obligé de baisser votre prix à ce niveau.
    Vous comprenez mieux ?


    C’est vous qui ne comprenez rien... Parce que c’est exactement ce que je dis ! Vous parvenez même à contester un fait pour le remplacer par le même fait, c’est pathologique votre truc, là.


    après, on peut discutailler longtemps de ce qui fait le marché, l’offre et la demande, la psychologie des uns et des autres, la fiscalité, la réglementation, les perspectives d’avenir, les incertitudes, etc.

    Sûrement que je vais débattre de business avec un gars qui s’écoute parler et intervient juste pour casser...


    Conclusion : vous êtes bien un monsieur-je-sais-tout... qui ne démontre rien de valable et enfonce des portes ouvertes pour faire étalage d’une connaissance et d’une pratique du terrain qui vous fait défaut. Arriver à contester des faits avérés quand on ne sait pas lire, c’est quand même fort de café... 





  • Roger le Suisse 8 février 2013 20:54
    • La production (salariés, artisans, commerçant, professions libérales)
    • L’entreprise (Immobilisations, matériels et outils, recherche et développement...)
    • Les investisseurs (Créateurs, actionnaires et capitaux risqueurs)

    Heu... Oui... Bon... Le créateur d’une entreprise n’est pas seulement un investisseur. la plupart du temps, le créateur, c’est un seul type, qui met sur pied sa boîte à partir d’une idée. Avec beaucoup de stress et de sueur, un peu de chance, un peu d’argent, il peut éventuellement se développer et embaucher du personnel pour l’aider. Parce que son boulot ne s’arrête pas le jour où il embauche son premier collaborateur. Il est la pierre angulaire de son affaire. Si vous pensez que vendre aux clients, acheter, convaincre certains partenaires économiques de le suivre (banques, fournisseurs...), gérer le cash, répondre aux sollicitations asphyxiantes de l’administration (rien que la production de la liasse fiscale est un morceau de bravoure), connaître les 150 millions de lois et les mettre en place, etc. n’est pas un vrai boulot, vous devriez monter une SA, ou une SARL, pour comprendre de quoi il retourne, les mains dans le cambouis. 

    Donc, je dirais que le créateur est investisseur, certes, mais aussi producteur. Et comme bien souvent, il incarne son entreprise, eh bien, ne lui infligez pas ce camouflet de ne le considérer que comme un investisseur. D’ailleurs, la plupart des créateurs sont des personnes peu nanties et peu formées, sur le plan universitaire, et c’est là leur principal moteur, cette chance de s’en sortir en prenant leur destinée en main...


  • Roger le Suisse 8 février 2013 20:37

    bah... suite logique de l’économie :


    - le GPS a tué les cartes papier
    - les appareils photos numériques ont tué l’argentique ET les photographes
    - les bornes de développement photo ont tué les labos de développement
    - le téléphone a tué le télégramme
    - le téléphone mobile a tué les cabines téléphoniques
    - la voiture a tué la calèche
    - l’ordinateur a tué la machine à écrire
    - l’email a tué le fax
    - le CD a tué le microsillon et la cassette
    - la clé USB a tué le CD-R
    - la console de salon a tué la corde à sauter
    - le CD-R a tué la disquette
    - le DVD a tué la cassette VHS

    etc, etc.

    Mais, encore une fois, ce n’est pas Google ou TomTom qui sont maîtres de leur succès, mais le public qui plébiscite leur consécration. On ne peut pas à la fois être utilisateur d’un service / produit et le critiquer amèrement. Il y a forcément une contrepartie.

    Quant à l’avènement du ebook, tant mieux ! Cela permettra une offre plus large, moins imposée, à meilleur prix, avec des petits nouveaux et mettra un terme au règne sans partage de ces maisons d’édition despotiques.

    On accepte que le monde change ou on efface tout et on recommence ?


  • Roger le Suisse 8 février 2013 14:28

    En tout cas, ce « débat » met en lumière un problème de mentalité.


    En très résumé :

    - la bourse, le bon peuple n’y comprend rien et ne peut donc pas en croquer. Conclusion : proposons de taxer tous les investisseurs à fond les manettes, y compris Mr et Mme Michu, histoire de mutualiser leurs gains et laissons-les endosser leurs pertes.

    - les entrepreneurs ? Tous les mêmes, de vils exploitants qui ne songent qu’à faire bosser le gentil salarié, sans en ramer une, parce que, comme chacun sait, créer une boîte. c’est super simple, pas du tout kafkaïen en France et seul le salarié contribue à la productivité, le patron n’étant qu’un capitaliste aux dents longues. Conclusion : proposons de mutualiser la réussite en donnant les fruits financiers aux gentils salariés (les qui n’ont pas voulu sacrifier leurs soirées, leur WE, leur retraite, leur assurance chômage, assurance retraite, mettre en jeu leur vie, etc.)

    - l’immobilier, finalement, c’est bien sous tous rapports. Tout les gentils salariés, spécialement les fonctionnaires, sont bankables lorsqu’il s’agit de souscrire un crédit, là où le vilain indépendant peine à simplement convaincre un des gentils salariés proprios de lui louer un petit appartement, parce que, vous comprenez, mon cher monsieur, les revenus d’un entrepreneur ne sont pas fixes, c’est dangereux...

    Bref, les réactions de certains trahissent une certaine forme de schizophrénie et laisse l’immobilier sur un piédestal, parce que c’est la seule forme de spéculation accessible à celui qui ne veut pas trop se casser le cul et engranger des bénéfices substantiels sans rien ramer, banques, agences immobilières, notaires et compagnie les assistant tout au long de la chaîne. 

    C’est le petit gentil salarié qui forme 99% du flood capitalistique, je ne change pas d’avis.

    Rien que la réaction d’un gars comme foufouille, toujours prompt à monter au créneau quand il s’agit de casser un entrepreneur dénote une approche partisane du sujet.

    C’est pathétique...


  • Roger le Suisse 8 février 2013 14:14

    Bonjour Philippe913,


    Je vois que vous avez la science infuse. Au point de remettre en questions des faits avérés, et non pas une interprétation ou un fantasme de ma part. 

    « Spéculation immobilière = se faire du fric facilement, sans en ramer une »

    essayez pour voir, vous verrez que vous vous trompez complètement.


    —> Pensez comme il vous plaira. C’est toujours plus simple que de créer une boîte rentable ou d’investir son argent en bourse. Sinon, pourquoi l’immobilier attire toujours autant, quele que soit le contexte économique ?

    « pour la modique somme de 1.800 euros nets mensuels (l’agence se faisant une plus value, portant le loyer à 2.400 euros) »

    euh, ça fonctionne pas comme ça une agence, le propriétaire donne un loyer, et l’agence prend ensuite une commission sur le loyer, en général autour de 7-8%, mais ne monte pas le loyer demandé par le propriétaire.


    —> C’est exact en théorie. Mais c’est ce qui s’est passé en pratique. C’est un fait. Je ne débat pas des faits. Les faits : loué 2.400 euros et 1.800 euros reversés au proprio. Pensez là aussi comme il vous plaira. 

    @ foufouille

    « Personne ne peut vous imposer de vendre 30.000 euros un bien qui vous en a coûté 30.000, par souci de maintenir un équilibre collectif. »

    si 
    les impots
    prix sous le marche, c’est louche


    N’importe quoi...

    @ philippe913, dit aussi la science infuse :

    « Personne ne peut vous imposer de vendre 30.000 euros un bien qui vous en a coûté 30.000, par souci de maintenir un équilibre collectif. »

    si, le marché.


    Ah ? Je ne savais pas que Mr Marché exigeait de payer plus cher qu’il ne devrait, c’est nouveau...







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