• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

steban

steban

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 20 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Derniers commentaires



  • steban steban 26 septembre 2010 00:52

    Le travail est pénible si tout les soirs on se couche avec un litre de pinard et un plat de pâte.
    Le travail est pénible si je commence à penser à ma retraite
    Le travail est pénible si j’aime fréquenter que des personnes qui dépriment.
    Le travail est pénible si je commence à envier le salaire de mon patron.
    Le travail est pénible si je me laisse aller à un boulot que je n’ai pas réellement choisi.
    Le travail est pénible si je ne suis pas attentif aux postures habituelles inconfortables.
    ......

    Beaucoup d’éléments dont nous sommes responsables, rendent notre existence inconsciente très inconfortable...

    La vie est pénible ou plutôt d’un ennui profond, si Je m’avoue vaincu sans jamais avoir entamé une bataille envers tout ce qui entrave mes décisions, et cela, ce n’est pas le président qui changera tout par un coup de baguette magique...
     
    Il y a des personnes qui sont passés de l’extrême pauvreté à une richesse phénoménale....
    C’est dû à quoi vous croyez ? A la fictive chance ?
    Il y a chez les gens qui réussissent, quelque soit leur domaine, avec un culot, une détermination, qui fait que rien ne peut les empêcher d’aller jusqu’au bout de leur rêve.
    (pensez un peu à Phillipe Croizon, amputé des 4 membres qui à traversé la Manche ... n’est ce pas formidable ? magique ?)

    Mais quand il n’y a plus de rêve, et qu’on se suffit à y perdre haleine à juste vivre la répétition de bons repas rondouillards ...
    Sans vouloir généraliser, et pourtant je suis bien tenté... il y a trop d’individu dit riches ou pauvres, qui ne vivent que pour des plaisirs répétitifs et l’oisiveté .
    Et c’est ça qui plonge l’avenir de notre monde dans la décrépitude.

    Les vrais injustices ne sont pas dans cette foutue pénibilité au travail, mais dans tout ce qu’on accepte comme étant normal et « pas si grave », (qu’on a du mal à regarder en face et qui met en branle ce qui nous gras-tifie) qui continue de huiler les rouages gluant d’une machinerie imbécile refusant toute créativité.



  • steban steban 25 septembre 2010 11:14

    Pour une grande majorité des français, le travail est synonyme de « gagner sa vie ». Expression qui fait froid dans le dos, vous ne trouvez pas ?

    On bosse pour se nourrir, pour payer sa maison, pour s’offrir de la liberté, essentiellement !
    Esclave du ventre, d’un confort, et du temps.

    Le jour où l’on aura l’impression de travailler pour quelque chose de commun, que l’on aura l’impression de se sacrifier pour une juste cause, peut être que, à ce moment là nous serons plus à même de mettre en route un destin éclatant.



  • steban steban 24 septembre 2010 11:10

    Aujourd’hui, je ne vois plus aucune différence entre l’humain et le bonobos.
    Tout deux aiment apaiser les tensions par le sexe.(et si ce n’est pas ça c’est la bouffe..)

    La prostitution n’est pas un mal, mais une résultante d’une demande malsaine d’individus masculins qui ont fait du sexe le piédestal de leur vie.



  • steban steban 20 septembre 2010 17:55

    Encore un message qui attise la haine et les disputes.. Qu’il est triste de voir autant de votes positifs en votre faveur...

    « Comment voulez vous que des gens de cultures, d’ethnie, de religion totalement opposée à ceux qui les accueillent puissent s’adapter . »

    Totalement opposé ?
    Ne croyez vous pas que la plupart du temps nous cherchons la petite bête ou matière à la chamaillerie ? Il est toujours plus simple de voir les différences (car plus visibles) que les ressemblances.

    J’ai beaucoup voyagé, et quand je retourne sur la terre française, je suis toujours dégouté de ce « tout le monde » prisonnier dans une posture qu’il cherche plus à défendre qu’à faire évoluer, élargir. La France me semble en retard, car trop orgueilleuse et n’ayant plus aucun désir d’apprendre de l’extérieur. Si il y a une qualité dans la France, c’est son coté révolutionnaire, qui hélas, aujourd’hui, s’éteint, pour miser dans des railleries égocentriques.

    On peut s’accommoder de tout et n’importe quoi. Si on n’y arrive pas, cela signe tout simplement nos limites du moment.

    Croyez vous qu’il n’est rien à gagner à essayer d’être plus souple concernant nos rapports avec autrui ?

    On s’identifie trop facilement à un clan, donc forcément tout ceux qui n’en feront pas parti deviendront de possibles opposants. Et Mr le Président le sait très bien quand il s’est amusé à relancer le patriotisme avec son Identité National. Il sait qu’en mettant tout les français au diapason, il bénéficiera d’une plus grande approbation de ces agissements.
    Et ça n’a pas manqué. Beaucoup de personnes sont restés de marbre devant la manière dont les Roms ont été virés... 
    C’est comme dans la rue, si quelqu’un se fait agresser, personne réagit... On en est encore là... Alors que dans d’autres pays qu’on dit être en voie de développement, ce genre de comportement sont inexistant.
    La télévision pousse les individus à vivre des évènements ne leur appartenant pas et à s’imaginer que ceux ci feront éruption dans leur petit quotidien pantouflard...

    Bref, qu’on soit l’étranger ou le natif, sur le plan individuel, nous vivons un combat intérieur, qui se projette évidement dans notre façon de gérer avec notre extérieur.
    On aime, on n’aime pas. Tout ceci n’est qu’un inventaire auquel on s’accroche pour dire « j’appartiens à » et circonscrire notre façon de percevoir le monde en se rassurant que l’on est « pas seul à penser que » ...

    C’est tellement puéril.
    C’est comme ces supporters qui se tapent dessus qui font un remake absurde des guerres de religions.
    C’est comme les courants philosophiques
    C’est comme les guerres de gangs, la politique.
    C’est comme ... tant de choses...

    Alors qu’il est toujours possible par une introspection sur soi, de voir ce qui nous pousse à être autant dans des luttes sans fin.

    Quand on a pas vécu l’exclusion, le mépris, la honte, une souffrance envahissante, il est malsain d’aller émettre un quelconque jugement si stéréotypant. De même qu’il est malsain de se pencher sur la bêtise d’autrui pour ne pas avoir à regarder de plus prêt ses propres imperfections.



  • steban steban 10 septembre 2010 10:53

    Qu’est ce que « être bien dans ses pompes » ?
    Est ce une nécessité ?
    Je ne crois pas.
    Surtout pour la société dite évoluée qui fuit la souffrance, qui se renferme dans un confort et qui refuse de se responsabiliser avec honnêteté.

    Les Crises font du bien.
    Les erreurs, les démons nous rappelle nos angles morts, qu’il est grand temps de s’occuper.

    Je ne vois pas l’intérêt de jeter la pierre aux psychologues de tout bord, ils font ce qu’ils peuvent.... Mais je dois avouer que parmi eux, on y trouve beaucoup d’incompétent (ou plutôt pour être moins rude, des gens qui ne sont pas assez lucide de se retirer de leur métier quand ils se trouvent dans une mauvaise passe), tout comme dans notre gouvernement, les hôpitaux, les écoles, etc....

    Dans tout les cas l’aide, le soin et l’enseignement n’est pas une mince affaire.

    Ceux qui ne ce sont pas essayé à cela, et qui n’ont vu que ce sont des milieux où il est difficile de rester intègre en toutes circonstances , où le désarroi ou l’arrogance peut prendre possession de notre esprit et faire émerger la fameuse image « pas à l’aise dans leur pompe » ...
    ceux là .... mieux vaut qu’ils se taisent, et qu’ils s’occupent de ce qu’ils ne maîtrisent pas dans leur vie quotidienne.

     


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv