Ne doivent entrer dans des 6 ème « normales » que les élèves maîtrisant
correctement la lecture , l’écriture , la grammaire et les 4
opérations. Ceux qui ne maîtrisent pas ces notions doivent être mis
dans des classes adaptées, avec enseignement très renforcé des matières
de base. Cela signifie la fin du collège unique, qui est une aberration
catastrophique.
>> Que faire d’un élève qui maitrise la langue française, l’analyse, la lecture, sait écrire correctement, sait apprendre ses leçons mais arrive difficilement à comprendre certaines règles mathématiques, ou encore est en difficulté face à certains calculs du type : divisions du type 0,0654 divisé par 0,25 ? On le laisse poireauter en primaire jusqu’à ce qu’il y arrive ?
Un élève exclu trois fois avant l’âge de quatorze ans d’établissements
d’enseignements devrait être considéré comme inapte à l’éducation et
dégagé de ses obligations scolaires. Cela éviterait qu’il perturbe à
longueur d’année des établissements d’enseignement jusqu’à l’âge de
seize ans et qu’il empêche par sa seule présence les autres de
progresser.
>> Et qu’en fait-on de cet élève ? De ce jeune ? On le laisse dans la rue pendant que ses parents travaillent ? Seul chez lui devant la télévision ? Il faut des structures pour encadrer alors ? Et ne me dites pas en apprentissage, les métiers manuels sont déjà suffisamment dévalués. Il faut donc une refonte du système d’acceuil et d’encadrement des jeunes, des nouveaux professionnels ?
Vous énoncer un retour comme avant Mai 68, mais aujourd’hui dans notre société est-ce réellement possible ? Vous n’avez pas dû voir beaucoup d’enfants de moins de 10 ans ces dernières années qui maitrise mieux la technologie et internet que leur propre parents... ce qui peut aussi les aider à lire ou a écrire... Alors que faire ?
Le chomage étant une assurance, il faut avoir travailler pour le percevoir. C’est une juste logique des choses.
Qui aujourd’hui peut affirmer être à l’abri du chômage, ceux là même qui aujourd’hui affirme que les chômeurs sont tous fainéants et qu’ils n’ont qu’à travailler pour des prunes ?
J’aimerai les voir, « vivre » avec 300 euros par mois... car le licenciement pens au nez de tout le monde... à moins que ces mêmes personnes soient suffisamment serviles pour tout accepter de leurs patrons... même travailler pour 2 euros 50 de l’heure ?