@Matlemat C’est plus compliqué que cela, il faut prendre en compte tout ce qui pourrait ce passer
Un accident grave est possible tout les éléments suivants sont réunis -Si fusion du cœur (pour une raison ou autre) -défaillance/indisponibilité des circuits de refroidissement et d’injection (RRA, RCV, ASG, SEC et RIS) -défaillance de l’EAS pendant plus de 48 h (72 h sur EPR) -incapacité de la FARN (force d’action rapide nucléaire) à rétablir l’aspersion de l’enceinte durant les première 48 h (72 h sur EPR)
Dans, ce cas, au bout de 48 h, les premier rejets devraient avoir lieu, pour des rejets totaux de l’ordre de 5 à 10 000 TBq d’Iode et 200 TBq de Césium 137 (Fukushima 60 000 et 10 000 TBq respectivement)
Pour qu’un accident majeur se produise, il faut une rupture de l’enceinte, ce qui hautement improbable, et l’IRSN et EDF ont identifié 3 causes possibles
-La défaillance via explosion de l’hydrogène, qui est quasiment impossible car les réacteurs français ont des recombineurs catalytiques passifs
-Le risque de DCH, possible mais très improbable (effet très limités si arrive sur EPR)
-L’explosion de vapeur via la présence d’eau dans le puits de cuve en cas de coulée du corium, pouvant projeter des débris (impossible sur EPR), très improbable aussi
@Ruut Le principe du stockage géologique, c’est justement de faire en sorte qu’il n’y ai pas besoin de gérer les déchet, tout comme personne n’a eu a gérer les filon de minerai d’uranium
Et pour votre passage, les déchets deviennent moins radioactifs que le minerai d’uranium moyen après 10 000 ans
Et je vois mal un bombardement ou un acte terroriste à 500 m sous terre