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Volontaires

Ingénieur, économiste, je m’intéresse notamment aux questions énergétiques.

Tableau de bord

  • Premier article le 18/04/2008
  • Modérateur depuis le 17/03/2009
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Derniers commentaires



  • Volontaires 8 septembre 2009 11:24

    Mon point n’est pas de trouver « scandaleux » le fait d’avoir pris une couverture. Elle peut avoir un sens (quoique, voir ma réponse à Chalousse, ceci puisse être discutable en l’espèce, mais ce n’était pas le point de mon billet).

    Mon point est que le fait que cette couverture « coûte » de l’argent à EDF traduit une perte et, concrètement, une sortie de cash (ce n’est pas de la moins value « latente »).

    Enfin, quand vous investissez, vous attendez une rémunération supérieure au coût de la dete (différence entre le coût moyen pondéré du capital et la taux de la dette, qui correspond au coût du « risque », un investissement industriel étant plus risqué qu’une créance), et vous devez aussi rémunérer l’amortissement de votre investissement.

    La communication financière d’EDF laisse à penser que ce n’est pas le cas, puisqu’ils indiquent que la « charge financière de la dette d’acquisition couverte par le cash flow généré par British Energy ». Cela laisse à pense que le coût de la dette est couvert. D’où ma remarque.

    Les Echos titraient le 30 juillet (date de la publication des comptes) sur « EDF : l’international soutient la croissance au premier semestre », ne parlaient pas de ce point. Et reprenaient la contribution de BE à la hausse de l’EBITDA (qui ne prend évidemment pas en compte le coût de la couverture).



  • Volontaires 8 septembre 2009 07:17

    xa,
    Le mot « scandaleux » n’est pas dans mon billet. Je dis simplement que cette perte, qui est liée à une couverture de change faite pour l’opération British Energy, doit évidemment être prise en compte dans le bilan de l’opération considérée. C’est bien une perte de 700 millions liée au rachat de BE.
    Et EDF pour le moment se garde bien de la mentionner dans sa communication officielle (ils disent simplement que les revenus de BE couvrent les frais financiers de l’acquisition... ce qui est un peu effrayant car ça voudrait dire que ni l’amortissement ni le risque ne seraient rémunérés).
    Je vous renvoie par ailleurs à mon blog pour d’autres éléments d’appréciation sur l’’opération BE.



  • Volontaires 7 septembre 2009 20:05

    Vous êtes, si je puis me permettre, quelque peu hors sujet. Mon point est d’estimer le coût de l’opération « British Energy » et les chiffres que vous mentionnez concernent a priori les autres activités d’EDF. Encore heureux qu’EDF fasse des bénéfices par ailleurs...
    Cependant, aucun contrôleur de gestion d’une entreprise normale ne se contentera d’une réponse sur les revenus des autres activités pour justifier des pertes -car pertes il y a- sur une opération particulière qu’il s’agit d’évaluer.
    En tout cas, s’il souhaite être un peu plus précis que vous.



  • Volontaires 7 septembre 2009 13:53

    Voir mon autre commentaire.

    Pour ce qui est du rachat de British Energy, j’ai toujours considéré qu’EDF payait bien trop cher... mais c’est une autre histoire.

    Je suis totalement incompétent sur les domaines en dehors de l’énergie (et un peu des télécoms), je n’oserai donc regarder Air France.



  • Volontaires 7 septembre 2009 13:49

    Par ailleurs, mais il faudrait sans doute y réfléchir un peu plus, je n’ai pas l’impression qu’EDF a bien géré son risque global.
    EDF était certes « court £ » du fait de son obligation d’achat de BE, mais il était aussi « long £ » du fait que les revenus futurs une fois le rachat fait sont en £. Normalement, les deux doivent en gros s’équilibrer. Sauf qu’EDF se souciait probablement avant tout du risque en terme de communication et voulait à tout prix éviter de devoir afficher une facture en euro plus élevée que 15 Mds€ pour le rachat de BE. D’où sa décision de couverture.
    Qu’en pensez-vous (on pourrait poursuivre par des méls directs, ce serait plus simple...) ?

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