là où certains parlent de détruire, d’autres amortiront par le terme changer. Nonobstant que le mieux puisse être l’ennemi du bien, lorsque les rouages en place semblent être incapables à faire tourner la machine, il y en aura beaucoup pour envisager de lui en substituer une autre. Cela se traduira par exemple par la casse des modèles établis, voire aussi par le choix de confier sa voix à des partis encore jamais anoblis. C’est que quand hier désillusionne, demain autrement n’est souvent vu que sous une meilleure augure...quitte à ne pas trop songer qu’il puisse avoir encore moins fière allure.
mouais...la jouissance issue d’une pénétration (étroite, s’il vous plait)...bien sexuel que tout cela. Nicolas Mahut et Pierre-Hugues Herbert ont confirmé leur victoire en double à Wimbledon. Pourtant, comme si nous avions boudé notre plaisir, incapables d’ y trouver une leçon de puissance et d’énergie susceptible de dépasser et
même de renverser les pouvoirs tristes des puissants de ce monde.
« François Hollande a pourtant bien parlé de baisses des impôts »
Oui, mais il parlait de ceux d’État. Qui par un habile jeu de transfert de charges réduit ses dépenses en fermant le robinet des dotations aux autres entités, à charge pour elles, via leurs pouvoirs décisionnaires en matière de fiscalité (l’État ne se subrogeant que pour la collecte, pas l’assiette), de combler les absences de rentrées budgétaires en levant des impositions de type locales supplémentaires. Sauf qu’au final, le contribuable se moque bien de savoir à qui exactement il paie, lui important beaucoup plus la question du combien, tous comptes faits. L’incidence n’est pas toujours aisée à mesurer, mais en l’occurrence il semble bien que ce soit un transfert de charges d’impôts sur les revenus vers ceux du patrimoine.