Ce théme fait l’actualité et prouve que cette question est une vraie priorité.
bonne analyse qui compléte l’approche de Albert RICCHI, sur AVOX d’hier « financement de la sécu, un peu de franchise SVP ». Je renvois le lecteur aux commentaires que j’ai cru devoir apporter ;
Pour être au coeur de cette problématique, et las de voir des intervenants peu concernés (les politiques) jouer avec cette matière, je vous invite a lire le billet que j’ai commis le 18 juillet sur mon blog http://providentielle.blogspot.com, sous le titre « BOUCLIER OU PARAPLUIE ».
Nous allons initier d’ici la fin de l’année une action/colloque pour essayer de remettre les choses en place.
Il y a ,de fait, 3 pistes, face a une donnée mécanique implacable (le vieillissement de la population et l’augementation du coût)
*augmenter les recettes, et dans ce cas, il faut parler d’impôt sur tous les revenus (revenu fiscal).
*laisser filer le déficit, mais en dépit des artifices de la débudgétisation, cela ne va pas abuser BRUXELLES bien longtemps et on met encore plus de« poussière sous le tapis » pour les générations futures.
*transférer la charge aux complémentaires (Mutuelles, Institutions Paritaires, Assureurs) et on va vers une médecine a 2 vitesses.
Il n’étonnera personne que c’est cette tendance que le pouvoir voulu par les français, adopte a petites touches ;
Il faut donc être en capacité de parer, en recherchant une autre approche de la gestion du risque, et sérier entre le socle solidaire et indispensable, et donc accessible à tous et le superflu ou « faschion » (monture de lunettes, cures, chambres particulières etc..).
C’est jouable si l’on prévient le citoyen et si on le rend véritablement « ACTEUR de sa SANTE ».A ce niveau le généraliste peut être le premier allié.
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