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Commentaire de JL

sur Je suis « objecteur de croissance »


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Francis, agnotologue JL 4 novembre 2008 09:17

Péripate, je n’attendais pas de réponse, mais puisque vous êtes là, je ne perdrai pas mon temps avec vous puisque vous êtes l’archétype de tous ceux que je honnis, et à travers vous je le leur dis ce que j’ai à dire.

D’abord je peux dire que j’ai travaillé 57 ans : Eh oui, depuis mon entrée à l’école jusqu’à mon départ à la retraite, j’ai travaillé sans relâche. Je ne m’en, plains pas, j’ai eu la chance de connaître une période de plein emploi. Mais je ne suis pas venu ici pour dparler de moi mais pour dire ceci :

Pour faire une redistribution à l’envers, l’État sera toujours trop gros ! Mais ...

"Septembre 2008. A la veille de la plus grosse crise financière que le capitalisme ait connue, les commentateurs des médias sont unanimes : les caisses de l’Etat sont vides, les impôts sont encore trop lourds et les fonctionnaires trop nombreux. Dès le début de la pandémie les mêmes sont de nouveau unanimes : cet Etat-là doit sauver le capitalisme. Mais comment le pourrait-il puisque les caisses sont vides, et les impôts déjà trop lourds ? C’est à n’y plus rien comprendre…

L’ancien communiste devenu sarkozyste, Jacques Marseille confirme, au moins à deux reprises, la confiance placée en lui par Ted Stanger. Une première fois dans Le Point : " Des dépenses en légère hausse par rapport à 2007, une baisse du nombre de fonctionnaires d’un peu moins de 23 000, soit 1 % des fonctionnaires d’Etat en poste, un déficit réduit de... 300 millions d’euros par rapport à celui constaté en 2007[...] A ce rythme, il faudra plus d’un demi-siècle pour ramener le nombre de fonctionnaires à ce qu’il était en 1984 ! " ( octobre 2007). Une seconde fois, sur Europe 1 (19 avril 2008) : " Il faut supprimer des postes, il faut diminuer les heures d’enseignement. "

Politique de sauvetage : vive l’Etat !...

En pleine bourrasque financière, les gardiens médiatiques de la pensée, toujours les mêmes, ont la tête qui tourne. Ils sont obligés de se résigner et en appellent aujourd’hui à l’intervention massive de l’Etat pour sauver le marché dont ils acclament l’autorégulation bienfaitrice depuis des lustres.

 

Les médias et la crise : Après " Vive la crise ! ", c’est " Vive l’Etat ! " Denis Perais

Publié le mardi 4 novembre 2008 là :



http://www.acrimed.org/article2997.html


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