bonjour

c’est hallucinant d’entendre toujours ce discourt des chômeurs volontaires, des gens qui se plaisent à gagner une misère c’est merveilleux. depuis que je milite je ne mettais pas rendu compte de cela qu’il y avait des citoyens qui perdaient leur emploi pour être enfin pauvre,

certains rêvent d’être pauvres, comme d’autres d’être riches, pendant des lustres j’ai siégé dans des commissions paritaires pour l’emploi et je ne mettais pas rendu compte de cela. quand je pense à toute l’énergie que j’ai dépenser pour défendre des systèmes de solidarité devant l’installation d’un chômage structurel, donc technique et non pas lié au volume possible de la demande du marché des biens.
heureusement que tout de même qu’il y a les immigrés pour se sentir riches avec aussi peu car d’où il viennent c’est bien pire. et heureusement que nous sommes loin de l’Inde et de la Chine.

c’est a désespérer, la première fois que j’ai entendu l’histoire des chômeurs professionnels (qui existent, mais ils ne se contentent pas de cela)) c’était en 1976 quand valérie giscard D’estain, à la suite des conséquences que nous allions connaitre en cascade du à la fin des trente glorieuses, avait mis en place les lois sur le licenciement économique, les salariés partaient avec prés de 90%du brut.
déjà j’avais du me quereller avec des copains qui disaient que ceux ci c’étaient des fainéant qui en profitaient. en cette année si mes souvenirs sont bons ils étaient 90 000 à en bénéficier.

depuis les courbes ont suivit une accession jusqu’à 2000, passant 2.4% en 1970 à 6.3% en 1980, 9.2% en %1990, puis 10% environ depuis 2000. la durée moyenne de recherche d’un emploi se situe actuellement autour de 15 mois. nous sommes donc dans un chômage structurel, le turn over en est un instrument d’ajustement, et les créations d’emplois sont la compensation des pertes subit par plusieurs phénomènes lié au technologie aux gains de productivité et aux développements des loisirs et services.

l’industrie de 1866 à 2005 représente toujours une occupation de 25% de l’effectif salarial en moyenne avec un pic à 36% en fin des d’années, 1970.

l’agriculture est passé de 47% à 3% et les services de 27% à 73% durant le même temps.

la fonction publique à compensé une part des pertes d’emploi du secteur agricoles et de la stabilité de l’industrie de 1936 avec 6% nous en sommes à 24% environ, c’est dire si le nombre de chômeur serait plus grands encore. sans entrer dans des détails plus précis, nous voyons clairement même si cela est grossier, d’où viennent les difficultés.

nous pouvons le résumer ainsi,en 1866 73% des français « faisaient vivre » 27% de services, aujourd’hui 28% des « français font vivre » 73% des services.

moi je veux bien que les chômeurs soient des fainéants, mais heureusement que l’on a eu les congés payés, les 35h qui permettent de consommer des services que sont les loisirs et le travail de bricolage, sinon nous aurions implosé depuis longtemps.

ce qui est ennuyeux c’est que tous les jours ils donnent ces chiffres à la télé au JT, et que malgré que 69% des personnes les regardent, personne ne s’en souvient. notre société doit être atteinte d’alsermer précoce.

cordialement.