les dealer coffré moi je crois que ces tf1 qui a refilé les vidéo non flouté au flic ces comme l’affaire des continental ,ces des chiens tf1 une chaine que je regarde que quand il y a du foot sinon ces une chaine de propagande on aurai pus penser que la propagande pourrai venir du service public mais non les ami de sarko on les outils de propagande adéquate lisez ca !
TF1 auxiliaire de police
On se souvient que sept salariés de Continental étaient poursuivis
par la justice pour le saccage de la sous-préfecture de Compiègne : "Pourquoi
eux et pas les autres ?, interrogeait le Courrier picard en janvier dernier. C’est
la question que se posent souvent les témoins du saccage. Ces sept-là
(six hommes et une femme dont le leader cégétiste, Xavier Mathieu) ont
été identifiés par la direction de l’usine sur les images de TF1, non
floutées et utilisées par les juges du tribunal correctionnel de
Compiègne, le 17 juillet." L’information est glissée mine de rien,
sans insistance. Le Monde était tout autant sibyllin : "Qui a dégradé quoi ?
Ils étaient plusieurs dizaines dans les locaux de la sous-préfecture
lorsque la situation a dérapé. Pourquoi ces sept-là plus que les
autres ? Ils ont été filmés par des caméras de TF1 et reconnus
par des membres de la direction de l’usine". L’Humanité le signale également, mais sans
commentaire, là encore : "La pièce principale du dossier est un
reportage de TF1, filmé le jour du grabuge à la
sous-préfecture. Les sept prévenus, qui font tous partie du comité de
grève, ont été identifiés sur ces images par… la direction de
Continental." Heureusement qu’il reste les blogs pour mettre les
points sur les i. Celui d’Harry Fandor par exemple : "à l’inverse
de tous les autres médias, TF1 n’avait pas flouté les visages des salariés qui occupaient
la sous-préfecture de l’Oise. Circonstance aggravante pour TF1, toujours selon
Xavier Mathieu (ci-contre), un accord avait été passé
avec l’ensemble des équipes de journalistes sur place. Pour que ceux-ci
puissent suivre l’occupation de la sous-préfecture, ils devaient
dissimuler les identités, avec les moyens techniques habituels, au
moment de la diffusion des reportages à l’antenne. Tant sur France
2, France 3, France 24 (équipes différentes ou montages différents)
que ITélé ou BFM, les rédactions avaient respecté
l’accord de principe — qui n’est après tout que l’observation d’une
règle déontologique fondamentale du journalisme. Les équipes de
reportage avaient donc bien pris garde de flouter les visages. La presse
écrite, de même, diffusait des photos avec des visages floutés. Par
exemple Le Parisien avec les photos d’Arnaud
Dumontier. Dérapage, incompétence, désir intériorisé de nuire, volonté
délibérée de donner des gages au pouvoir ? On aimerait que Denis Cadeau
(service économie) qui a effectué le reportage, ainsi que Catherine
Nayl, la directrice de la rédaction, s’expliquent. D’autant que celle-ci
occupe un poste si sensible qu’elle est directement rattachée à Nonce
Paolini, le PDG du groupe TF1. Quand on connaît les
liens qui unissent Nicolas Sarkozy à Martin Bouygues, on devient vite
soupçonneux et en droit de se poser des questions."
Siné hebdo se faisait plus précis dans son numéro du 9 septembre,
sauvant l’honneur des médias traditionnels : "Lors des incidents, de
nombreuses équipes de télévision étaient présentes sur les lieux.
Quelques heures plus tard, les JT y vont de leur reportage,
mais tous floutent les visages des protagonistes. Sauf la Une. "Le
reporter de TF1 m’avait pourtant dit à 15 h : "T’inquiètes
pas, les images seront floutées", se souvient Mathieu. Mais
le soir même c’était : « désolé, on a eu un problème technique ».
Que la chaîne n’ait pas réussi en cinq heures à opacifier les
images est invraisemblable, comme le confirme à Siné hebdo un
journaliste maison dont nous conserverons l’anonymat, nous",
écrivait Jérôme Bonnet. Le dessin illustrant l’article, signé Lindingre,
est plus éloquent que n’importe quelle conclusion écrite.