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Commentaire de jean-michel Bélouve

sur Climategate : signification et limites de l'enquête du parlement britannique


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jean-michel Bélouve jean-michel Bélouve 8 avril 2010 18:09

@ Asp explorer
Le GIEC ne fait pas que synthétiser. Il sélectionne les informations. On cherche en vain les références aux études de climatologues aussi considérables que Richard Lindzen, par exemple, les travaux sur les corrélations entre rayons cosmiques et nuages sont ignorés, les informations sur le cycle de l’eau sont extrêmement partielles, etc. J’ai exposé toutes ces recherches ignorées du GIEC dans mon livre.

Votre deuxième paragraphe tape dans le mille : il s’agit de mettre en oeuvre les préconisations du Club de Rome pour la décroissance. Cela a été soigneusement préparé par la Commission Brundtland, de 1983 à 1987, qui a inspiré les décisions du G7 de Toronto, en 1988, où fut créé le GIEC et lancé le mouvement politique de « développement durable », sacralisé au sommet de la Terre de 1992 à Rio, où fut adopté, entre autres, l’agenda 21 qui a été repris par les ministères de développement durable des pays occidentaux et par de nombreuses régions et communes du monde occidental. Le GIEC offre un alibi scientifique à cette idéologie qui domine actuellement les politiques des pays développés. 


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