« L’école » en france est devenue la honte de notre civilisation et la protagoniste de sa degénérescence.
Elle a contribuée a creuser encore plus l’écart entre les classes sociales, les quelques uns, qui peuvent se permettre de payer pour faire éduquer convenablement, donc ailleurs leur progéniture et celles, la multitude, qui ne peuvent faire autrement que de livrer leurs enfants à l’école publique.
Qu’elle honte d’avoir placé à l’éducation nationale, certes, de fidèles serviteurs du parti au pouvoir, mais dont l’arrogance n’avait d’égale que la stupidité, et qui se sont permis de faire des expériences contre nature de pédagogie et d’enseignement, sur nos enfants.
La méthode globale, (non, pas la solution finale..) à elle seule, n’a t elle pas relègué des millions de nos enfants au rang de néo analphabètes. Les DRH s’esclaffent en lisant les curriculum vitae...avant de les jeter au panier.
Seuls les enfants de familles aisées et cultivées ont pu s’en sortir et ont creusé l’écart...Et quel écart ! Insurmontable !
Aujourd’hui l’on s’étonne qu’il y ait tant de laissés pour compte, de jeunes chomeurs, de pré adultes au tapis !
Nul part ailleurs il y a un tel mépris pour l’apprentissage des langues étrangères alors que nous sommes entrés dans l’ère de la mondialisation dont les médias nous rabattent presque quotidiennement les oreilles.
Mais les enseignants bien douillets dans le cocon protecteur de leurs syndicats hyper puissants, capables de tenir en respect le pouvoir et les parents d’élèves, savent ils seulement ce que ce mot veut dire.
A quoi assiste t on à la télévision lorsque l’on nous parle de l’école ? Ecole de la violence, de la drogue, du racket ! Même l’autorité a disparu ! Et avec l’autorité, le respect et le sens civique !
Qu’elle honte lorsque l’on a connu l’école de Jules Ferry et ces générations d’instituteurs et professeurs compétents, attentifs aux évolutions sociales, dévoués corps et âme à leur métier, et à leurs élèves qu’ils disaient être la relève de la France.