Je suis tout de même un peu déçu
que ce chapitre n’ait suscité que si peu de réactions.
Que je sois impopulaire, pour répondre à Capone en
particulier, ne me dérange pas plus que ça. Nombre
d’entre vous doivent connaître la citation de schopenhauer :
“Toute vérité franchit trois étapes : d’abord
elle est ridiculisée, ensuite elle subit une forte opposition,
puis elle est considérée comme aynt toujours été
une évidence.” En ce moment je mange mon pain noir... Le
meilleur est devant moi.
Néanmoins, il semblerait que
peu aient compris l’objectif majeur de ce chapitre : là où
les conspirationnistes y voient dans le rapport du PNAC les indices
d’une précognition des attentats, j’ai voulu montrer qu’elle
révélait l’esprit de prévoyance et le
professionnalisme de ses rédacteurs.
Oui, ce sont des membres de la future
administration W Bush qui ont écrit le rapport du PNAC, non ce
rapport n’a rien à voir avec la plannificatrion des attentats.
Dans un monde qui devient de plus en
plus dangereux, je me félicite que le monde civilisé
puisse faire preuve de répondant face à la menace
terroriste. Sans l’accroissmeent drastique des budgets militaires
étasuniens, les Talibans continueraient à cultiver leur
pavot, less femmes afghanes sueraient encore sous leurs burkas, et
deux ou trois autres “11 septembre” auraient été
perpétrés.
Je montrerai dans le prochain chapitre
que la guerre de libération de l’Irak, quoqiue fondée
sur un mensonge, n’avait absolument pas besoin (bien au contraire !)
de cet événément inattendu et bouleversant que
furent les attentats de NY et Washington.