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Commentaire de docdory

sur Apostasie & Débaptisation


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docdory docdory 2 avril 2011 00:22

@ Patrick Lefebvre 

Très intéressant article.
La débaptisation est, pour un ex-catholique, relève du paradoxe : demander la débaptisation à l’église ( qu’elle soit catholique ou autre ) revient à reconnaître à cette église une sorte d’autorité ou de pouvoir : celui de vous débaptiser. Par ailleurs, en se faisant débaptiser, on se retrouve dans la situation de donner une information à une autorité, l’information de son apostasie. Or, donner un savoir, c’est toujours donner un pouvoir.
Pour ce qui est de la circoncision, c’est un véritable scandale. Plusieurs actions pourraient être entreprises pour combattre la circoncision :
1°) Tout d’abord , poursuivre systématiquement pour exercice illégal de la médecine tous les imams ou les rabbins qui pratiquent des circoncisions .
2°) Dérembourser totalement la circoncision par la sécurité sociale. En effet, il n’y a pratiqueent plus d’indications médicales à la pratique de la circoncision.
On sait que le phimosis ( rétrécissement anormal du prépuce ) se traite maintenant dans plus de 80 % des cas par des applications locales d’une crème contenant un dérivé de la cortisone. 
En cas d’échec répété de ces applications, ont peut proposer , plutôt que la circoncision, une plastie préputiale, intervention qui consiste à élargir le prépuce et non le supprimer, et qui à l’immense avantage d’être moins douloureuse, de laisser en place des milliers de terminaisons nerveuses jouant un rôle important dans le plaisir sexuel, et d’éviter le remplacement de l’épithélium malpighien non kératinisé du gland par un épithélium malpighien kératinisé , beaucoup moins glissant, non lubrifié, et moins favorables aux rapports sexuels, transformation histologique qui résulte obligatoirement de la circoncision.
Celle ci ne devrait être pratiquée que dans les rarissimes cas de phimosis pour lesquels l’application de crèmes cortisonées puis la plastie préputiale ont été des échecs, et donc son remboursement ne devrait être accordé qu’après examen approfondi du dossier par le médecin conseil de la sécurité sociale.


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