Une nouvelle étude indique un lien possible entre HAARP et le séisme au Japon
http://www.alterinfo.net/Qui-a-declenche-la-catastrophe-de-Fukushima-_a60097.html
Natural News, Ethan A. Huff, 10 juin 2011
Des données récentes, publiées par Dimitar Ouzounov et ses collègues du Goddard Space Flight Center
de la NASA, dans le Maryland, mettent en évidence certaines anomalies
atmosphériques étranges au-dessus du Japon quelques jours avant le
séisme et le tsunami qui ont frappé le 11 mars 2011. Selon les
observations par satellite, un réchauffement rapide apparemment
inexplicables de l’ionosphère au-dessus de l’épicentre a atteint son
maximum trois jours seulement avant le tremblement de terre. Cela
suggère que de l’énergie dirigée, émise par les émetteurs du High Frequency Active Auroral Research Program (HAARP), puisse être responsable de l’induction du séisme.
Signalée dans la publication Technology Review du Massachusetts Institute of Technology (MIT), la présentation des conclusions s’accompagne d’une théorie différente, appelée Couplage entre lithosphère, atmosphère et ionosphère,
qui admet l’hypothèse que le réchauffement de l’ionosphère était
peut-être dû à l’imminence du tremblement de terre, car la ligne de
faille libère du radon radioactif. Cette théorie n’est bien sûr pas
vraiment prouvée, mais est plutôt présentée comme une explication
possible de la présence de la forte densité d’électrons et de l’émission
de rayonnement infrarouge qui ont été observées.
Une autre
explication de ce réchauffement étrange – et qui, après analyse, semble
bien plus probable –, c’est que c’était la marque de l’énergie focalisée ayant servi à induire le séisme,
et non l’inverse. De nombreux rapports crédibles et des observations
scientifiques révèlent que la technique de HAARP est parfaitement
utilisable comme arme scalaire, dans le sens où il peut émettre des
explosions de fortes impulsions électromagnétiques capables de modifier
les conditions météo ou de déclencher des ruptures de lignes de failles.
Non seulement HAARP à la capacité d’induire des séismes, mais il semble aussi avoir été utilisé contre le Japon
Un coup d’œil
rapide sur les graphiques de données présentés dans le cadre de la
recherche d’Ouzounov, montre la présence d’anneaux de chaleur presque
parfaits au-dessus de l’épicentre du tremblement de terre. Si le radon
émis par la ligne de faille était vraiment responsable de la formation
de ces zones de chaleur, leur apparence serait plus que
vraisemblablement irrégulière et éparpillée, plutôt que celle de cercles
concentriques. Cette anomalie à elle seule détruit la théorie selon
laquelle l’imminence du séisme a provoqué ces motifs de la chaleur.
Par ailleurs, les
mesures du Magnétomètre à induction de HAARP, qui visualise le spectre
de fréquence des signaux détectés dans le champ géomagnétique de la
Terre, montrent qu’une fréquence ultra-basse (ULF) stable d’environ 2,5
Hertz a été émise les jours avant le séisme. Il se trouve que l’ULF de
2,5Hz correspond exactement à la fréquence de résonance produite par un
tremblement de terre – et puisque aucun séisme n’est survenu dans les
jours avant le tremblement de terre que le Magnétomètre à induction de
HAARP a paru indiquer, la conclusion logique est que le signal a été émis pour l’induire.
Certains
soutiendront que HAARP est incapable de produire de telles fréquences,
en particulier au niveau de puissance que requerrait le déclenchement
d’un énorme tremblement de terre comme le 9,0+ survenu au Japon. Mais le
témoignage de divers gouvernements dit le contraire.
Le 28 avril 1997, à l’université de Géorgie de Athens, lors de la Conférence sur le terrorisme, les armes de destruction massive, et la stratégie zunienne,
William S. Cohen, alors ministre à la Défense, a prononcé un important
discours. Interrogé sur le terrorisme, Cohen avait ceci à dire dans le
cadre de sa réponse à propos du type de moyens existant même à cette
époque :
« D’autres se livrent même à un terrorisme
de type écologique, grâce auquel ils peuvent à distance modifier le
climat, déclencher des séismes, des éruptions volcaniques, en utilisant
des ondes électromagnétiques. »
Cet aveu va à l’encontre
des affirmations formulées par certains, selon qui aucune technique
n’existerait, et qu’il est impossible de déclencher l’activité sismique
grâce à l’énergie dirigée. Il est clair que ces moyens sont là depuis un
moment, et l’idée qu’ils servent d’arme est tout sauf une théorie du
complot sans fondement.
Ensuite, il y a la Résolution sur l’environnement, la sécurité et la politique étrangère
[en français] de l’Union européenne, qui a été publié le 14 janvier
1999. Ce rapport, qui décrit différents types de menaces d’armes,
contient une section intitulée « HAARP – Un système d’armement modifiant
le climat. »
Ce document
explique que HAARP « est conduit conjointement par l’armée de l’air et
la marine de guerre de Zunie [et par l’Institut de géophysique de
l’université d’Alaska à Fairbanks], » et que l’un de ses objectifs est
de « réchauffer des parties de l’ionosphère au moyen d’ondes radio
puissantes. » Il indique également les détails suivants :
« HAARP peut avoir de
multiples applications. La manipulation des particularités électriques
de l’atmosphère permet de contrôler des énergies gigantesques. Utilisée à
des fins militaires contre un ennemi, cette technique peut avoir des
conséquences terribles. HAARP permet d’envoyer à un endroit déterminé
des millions de fois plus d’énergie que tout autre émetteur
traditionnel. L’énergie peut aussi être dirigée contre un objectif
mobile, notamment contre des missiles ennemis. »
Plus tard, les références à
HAARP le décrivent comme « un sujet d’inquiétude mondiale, » et
soulignent que la plupart des gens ne savent même pas qu’il existe.
Évidemment, cela a été écrit il y a plus de dix ans – et pourtant rien
n’a vraiment changé depuis, en dépit de plusieurs efforts visant à
rendre HAARP plus transparent. Seulement, si HAARP aide vraiment à
induire quelques-unes des catastrophes d’apparence naturelle qui se
produisent dans le monde, il ne surprendra guère que ce dessein soit
toujours gardé essentiellement secret.
Lien sur les mesures de la sonde magnétométrique de HAARP :
maestro.haarp.alaska.edu/cgi-bin/scmag/disp-scmag.cgi