• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Aurélien Péréol

sur Les neiges du Kilimandjaro (3)


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Orélien Péréol Aurélien Péréol 16 décembre 2011 18:38

Dominitille

Dans tout ce que dit la femme sans nom dans ce film, il y a la fuite des hommes devant leur parentalité.
J’espère que ce terme de parentalité vous agréera par le fait qu’il contient, en lui-même, l’égalité des sexes qui est, en principe, le but du féminisme. C’est un terme qui réalise ce but, c’est donc un bon chemin pour aller vers une égalité des sexes des sexes généralisée (qui ne soit pas seulement dans les termes employés pour en parler).

Ce que vous me dites me fait subodorer que vous pensez que je juge. Je ne juge pas. Je décris.
Ce personnage, situé comme « la mère de Christophe », allez lire cela sur « allociné », alors qu’elle est mère de trois enfants (trois), n’accorde pas à ses enfants (à aucun des trois) le minimum d’attention que l’on doit à ses proches, surtout quand on les a faits. Que les deux pères de ses trois enfants se soient défilés, c’est sûr puisqu’elle le dit, cela ne change rien au fait qu’elle en fait de même.
Et ce que j’analyse, c’est qu’elle en a fait de même. Sans aucun jugement de ma part.

Je suis un homme féministe, réellement féministe, pas un accusateur des hommes avec des « argumentation » identitaires, et je suis choqué que ce personnage central n’ait pas de nom.



Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès