« Bonjour, Devo et merci d’avoir pris le temps de réagir. »

De rien ^^ et bonjour à vous.

« Vous semblez être un ardent défenseur de la nouvelle »morale victimaire« décrite dans l’article. C’est votre droit le plus strict. »

C’est gentil de m’accorder le droit de prendre position pour les victimes :) Parcequ’on peut se justifier de défendre des agresseurs en fait ?

« Votre réaction est intéressante car elle permet de valider plusieurs aspects de mon article :
- les immigrés sont bien au top de la hiérarchie victimaire car vous m’accusez avant tout de racisme alors que vous auriez pu aussi m’accuser de machisme, homophobie,etc..A moins que dans votre esprit le mot »racisme« regroupe ces sous-produits. »

Euh oui ça regroupe aussi le machisme et l’homophobie, mais bon on voit bien que ce sont les sarassins qui nous menacent selon les mêmes médias qui vous empêchent de parler, donc pour le moment ce sont les premiers à défendre. Surtout quand ils sont parqués dans des ghettos et mis au chômage ou en prison.

«  »bercé trop près du mur«  : vous validez le dernier paragraphe » oui et je souscrit à votre dernière phrase « Ce qui est prouvé par le présent article à l’ironie déplacée et particulièrement stigmatisante » Vous avez mis le doigt sur qqch. Mais vous ne pouvez pas avoir tort sur tout là on est pas d’accord simplement sur la racine que vous trouvez dans les problèmes actuels. Comment lier crise financière et immigration ? Perso je lie crise financière et finance !!

Sinon :
- je ne revendique rien -> Bah alors tout va bien pour toi ? Laisse donc la bien pensance s’exprimer si elle ne te nuit pas.

- mon article ne pourrait effectivement pas être publié dans un média de masse « bien pensant » (c’est à dire soumis à la morale victimaire. Merci à internet et Agoravox d’exister pour notre libre expression à tous

-> Le problème des médias de masse est un chouïa plus complexe que de la bien-pensance et si vous ne voyez pas que c’est l’argent roi le problème vous ne risquez pas de comprendre que l’extrème droite est le chien de garde ou, comme vous aimez cette expression dans vos milieu, « l’idiot utile » du capitalisme.